mardi 30 avril 2019

La meilleure offre dont vous puissiez bénéficier !

Je l'ai écrit maintes et maintes fois, la formation continue, ce désir de devenir meilleur, est celui qui pourrait vous mener le plus loin. Plus loin même que vous ne sauriez l'envisager avec les connaissances qui sont les vôtres aujourd'hui !
Le plus extraordinaire, c'est que la charge de ces formations et de l'accomplissement de ce désir n'ont pas à reposer sur vos épaules. La plupart des livres sont accessibles et personne ne trouvera rien à redire si leurs coûts se retrouvent sur votre note de frais. Votre patron n'est pas idiot, il paie deux ou trois dizaines d'euros pour un collaborateur plus malin, plus intelligent et donc plus efficace ! Un bon deal pour lui comme pour vous !
Mais cela va plus loin, la plupart des formations disponibles, dont les miennes, peuvent être à la charge de votre employeurs, qui lui-même peut transférer cette charge sur divers fonds, divers organismes de financement de la formation. Notre pays à ses limites et ses errances, mais s'il est un point sur lequel il ne se trompe pas, c'est bien celui de la nécessité de la formation...
En gros, ce que cela veut dire, c'est que si vous décidiez de vous former à quoi que ce soit, il est bien possible que cela soit gratuit pour vous et pour votre employeur ! Une aubaine incroyable ! Cette aubaine peut vous permettre de devenir plus intelligent, d'accroître votre employabilité et tout cela pour rien ! Rien, sauf l'effort que cela demande...
Alors pourquoi sont-ils aussi peu nombreux à se former ? Pourquoi les statistiques nous révèlent qu'une infime partie des cadres et des dirigeants de notre pays font le choix de continuer de se former ?
Parce qu'à l'évidence, se former n'est pas totalement gratuit ! Il y faut des efforts et surtout il faut se confronter à ses peurs : celles de l'inconfort que cela va générer, celle de remettre en question des schémas de pensées vieux de plusieurs décennies, celle de se retrouver sur les bancs de l'école, à se sentir jugé et maltraité...
Cette peur de retrouver ec sentiment de malaise et d'incongruité me semble être l'une des principales raisons pour lesquelles la plupart des gens ne se forment pas...
Mais aussi la peur de se confronter à un nouveau soi-même envers lequel on se montrera plus exigent, ou vis à vis duquel les attentes auront augmentées !
Bien sûr, tout cela n'a pas grand sens. Ce n'est pas en restant dans l'ignorance que les choses vont s'améliorer et doit venir le moment de confronter ces peurs. Il suffit de commencer. Le cercle vertueux de la formation et de la transformation est à un click...

lundi 29 avril 2019

Le plus face au moins...

Je suis un adepte de la pensée positive... et le problème c'est que la plupart des gens considèrent cela comme étant le chemin de la facilité. Penser positivement est facile, ce qui est difficile et donc gratifiant, c'est la pensée négative, celle, ardue, qui nous montre ce qui ne va pas chez nous, mais qui nous ouvre la voie de l'accomplissement.
La pensée positive n'est pas le chemin de la facilité. La pensée positive est ce qu'il y a de plus difficile. Il est bien plus facile pour un enseignant, pour un parent, pour nous-même, de ne voir que ce qui ne va pas, de le pointer et de le souligner puis de proposer une solution pour que le problème cesse d'exister... Bien sûr, cela nous rassure, nous les sachants, nous avons contribué, nous avons identifié la cause, énoncé une solution... le reste du travail n'est plus entre nos mains... c'est à l'élève de travailler et de faire le meilleur usage des conseils merveilleux que nous avons donné.
Bien sûr, cela ne marche pas et c'est abandonner bien tôt la responsabilité de l'enseignant !
Pour moi, si l'élève ou le stagiaire n'avance pas, c'est bien de la responsabilité de celui qui enseigne... et si cette responsabilité est reconnue, alors voilà l'enseignant confronté à la nécessité de fournir un enseignement qui marche, qui produit du résultat, du changement ! Et combien en sont capables ?!
Un enseignement qui marche s'appuie sur la pensée positive, parce que cela marche, parce que cela est difficile (sinon nous le ferions tous), parce que c'est cela d'enseigner et enfin parce que la science le dit : la pensée positive nous conduit toujours plus loin que la pensée négative !

vendredi 26 avril 2019

La formation paie !


La valeur de la formation est reconnue par la plupart d'entre nous. Il paraît évident qu'une personne formée, entraînée, compétente et en pleine connaissance de son produit, de la qualité de ses interactions est une personne dont la valeur pour l'organisation qui l'emploie est immense. Une personne capable de générer de la valeur et du résultat quotidiennement. Un Retour Sur Investissement quasi infini !
Cette évidence a beau être partagée par la plupart des gens et des dirigeants que je rencontre, je suis surpris par le petit nombre de personnes qui se forment en réalité et qui ont une approche stratégique de la façon dont ils se forment, car il ne suffit pas de faire une formation par ci par là pour qu'il puisse être dit que vous voilà formé et paré à faire face…
Je suis surpris du petit nombre de gens qui me contactent une année ou deux années après avoir travaillé avec moi ou avec un autre formateur de la même spécialité pour me demander des rappels, des compléments, des perfectionnements !
Je suis tout aussi surpris du peu d'engagement stratégique de la plupart des organisations que je côtoie, dans la formation… Ce que j'entends pas là, c'est l'investissement en une politique de formation dont le résultat est anticipé et suivi. Il est aisé d'investir dans la formation sans trop savoir ce qu'il se passe ensuite…
Globalement, se former n'est pas compliqué. C'est obligatoire dans notre beau pays et il n'est pas une entreprise qui puisse vous refuser l'accès à une ou plusieurs formations… ce qui l'est moins est de prendre la responsabilité de se former, de s'assurer des changements que cela produit et de les quantifier…

jeudi 25 avril 2019

À toutes les nulles en sport ! Et les nuls aussi...

J'entends une jeune adolescente, en pleine possession de ses moyens, de sa jeunesse me dire : "je suis nulle en sport".
Vraiment ?
Comment peut-on être nulle en sport ? Comment peut-on en arriver à installer une croyance aussi absurde dans l'esprit d'une adolescente et qu'il n'y ait personne pour lui rappeler qu'être nulle en sport, c'est quelque chose qui n'existe pas. Que chacun a le corps qu'il a et que ce corps appelle le mouvement ! Ce mouvement peut s'appeler sport ou marche ou découverte ou yoga ou étirement ou que sais-je... mais il est essentiel !
Se dire et s'envisager nulle ou nul ou nul-le en sport, cela revient à se voir nul-le en respiration, nul-le en marche à pied, nul-le en promenade, nul-le en ce qui fait la vie !
Non, lui dis-je, tu n'es pas nulle en sport. Fini ton gigot et va courir ! 

mercredi 24 avril 2019

Faites entrer les jurés !

Bien sûr, vous allez être jugé... et plutôt deux fois qu'une... et ce jugement, quel qu'il soit, positif ou négatif, est injuste. Ceux qui jugent ne vous connaissent pas, n'ont aucune idée des efforts que cela vous aura demandé, ne se doutent pas de la journée calamiteuse que vous êtes en train de passer et pourtant, ils ne se gêneront pas pour exprimer leur opinion sur le travail que vous venez ou que vous vous apprêtez à fournir.
Je me rends hier dans un restaurant que j'apprécie. Je suis accueilli de façon calamiteuse par une jeune employée qui n'a apparemment pas envie d'être là. Elle me regarde à peine. S'affaire alors que je suis là devant elle. Fini par reconnaître ma présence, mais du bout des lèvres.
Bien sûr que j'ai jugé... et je n'ai pas seulement jugé cette personne, j'ai jugé l'établissement dans son entier. J'ai jugé qu'un restaurant ne devrait pas embaucher des gens qui ne font pas le job, qui est pour un restaurant d'accueillir sa clientèle comme si l'avenir de l'humanité en dépendait !
Bien sûr j'ai jugé... La cuisine était bonne, le moment fut plaisant... mais au bout du compte, il reste dans cette expérience ce moment d'égarement...
Dans un restaurant, la cuisine est ce pour quoi vous venez, mais tout compte... tout à une importance ! Et le goût du navarin n'est pas le même s'il est servi par quelqu'un qui attache de l'importance à ce qu'il ou elle fait ou par quelqu'un qui n'en a que faire !

mardi 23 avril 2019

Suffisant ?

Tout compte. Les détails parlent. Les détails vous décrivent, racontent leur histoire. Et vos clients, vos prospects, vos élèves, vos stagiaires, surveillent, guettent le détail, guettent ce moment d'inattention, de relâchement, qui leur fera se dire : "ok, si même eux ne vont pas au bout, alors pourquoi je le ferai...". L'excellence, l'attention aux détails est une façon de dire : il est possible d'aller jusque là, de se donner du mal à ce point et si nous l'avons fait, pourquoi ne le feriez vous pas ?
La question revient toujours à cela : est-ce vraiment suffisant et si cela est suffisant, est-ce que suffisant est suffisant pour vous ?
La réponse nous appartient. Les résultats aussi.

lundi 22 avril 2019

Passion !

Nous sommes une espèce qui a besoin de sens. La vie n'est pas spécialement porteuse de sens, en elle-même. Nous vivons et pour mère nature, c'est ainsi. Nous ne vivons pas avec un but spécifique. Nous n'avons pas fondamentalement de mission à accomplir. Pourtant, nous sommes sans cesse en quête de mission, de sens, d'objectif qui puisse nous nourrir et nous donner le sens d'aller de l'avant, de vivre notre histoire. Les animaux ne vivent pas d'histoire !
Pour cela, nous subissons une certaine pression : celle de découvrir ce qui fera sens pour nous, quelle est notre mission ? Quelle est notre passion, ce qui devrait nous appeler...
Au delà du fait que je ne pense pas qu'il existe, inscrit en chacun de nous une mission particulière et que c'est plus en choisissant celle-ci que nous la faisons notre, il me semble que cela commence avec une pratique simple : celle de développer notre sens de la curiosité.
Aller au devant des choses, se nourrir des histoires qui nous entourent, savoir les relayer et leur donner allure...
Il est alors probable que l'une d'entre elle vous semblera entrer en raisonnance avec qui vous êtes... et de là, une envie pourra donner naissance à ce qui pourra plus tard s'appeler une passion !

vendredi 19 avril 2019

N'importe qui ?

La qualité de toute interaction à une importance. Ces mots d'attention, de respect, d'écoute sont vitaux dans notre perception et dans ce qui défini nos choix.
Je suis toujours surpris par le temps et l'argent qui sont investi dans la conquête de clients nouveaux et par le peu de temps et d'argent qui le sont dans ce que devrait être la future interaction avec ces nouveaux clients.
Publicité, marketing fonctionnent à la condition qu'une fois le bénéfice du doute et l'envie de donner sa chance à votre produit vous soient acquis, ce ne soit pas n'importe qui pour assurer n'importe comment les premiers pas de ce prospect chèrement conquis... Sinon, c'est l'effet inverse qui se produit.
Investir dans la capacité relationnelle des équipes est un investissement qui joue bien au delà de la qualité de la relation elle-même, mais aussi sur le chiffre d'affaires des années à venir...

jeudi 18 avril 2019

Prendre la parole en public est facile : voilà pourquoi !

Présenter, parler à un auditoire, n'est pas difficile... Il suffit de parler. Puis encore de parler. Puis enfin de parler, jusqu'à ce que tout ce qu'il était prévu de dire soit épuisé. Et voilà. Parler en public vient d'avoir lieu !
Et c'est bien le problème ! Trop de gens, dans le monde professionnel d'aujourd'hui, parlent en public. Ils parlent. Plus ou moins bien. Plus ou moins à l'aise. Plus ou moins confiant. Mais ils parlent. Et cela ne sert à rien.
Non, prendre la parole en public n'est pas difficile. Ce qui est difficile, c'est d'obtenir quelque chose de toutes ces paroles, de tout ce temps passé à parler... Ce qui est difficile, c'est de les amener à signer votre contrat alors qu'ils n'ont que vos mots pour vous faire confiance. Ce qui est difficile, c'est de les voir travailler plus dur sur ce projet qui vous tient à coeur... tout cela est difficile et cela requiert de préparer et de produire une bonne présentation... et pour cela, je peux l'affirmer : parler ne suffira pas !

mercredi 17 avril 2019

Je dois, je veux...


Il faut !
Je dois !
Combien de fois par jour entendons-nous ces injonctions ?
Il faut, c'est le pouvoir de la date limite. Je dois avoir rempli ma feuille d'impôt avant le 30 avril, sinon je vais devoir payer des intérêts de retard… Je dois nourri mon chien, sinon il va mourir.
Oui, la vie est pavée de "il faut" et de "je dois" et la plupart du temps pour de très bonnes raisons. Oui, il faut nourrir son chien !
Pourtant, il est une certitude, c'est que notre enthousiasme diminue à la mesure des obligations qui nous sont faites. Devoir faire quelque chose ramène ladite chose à une obligation dont il est urgent de se débarrasser !
C'est pour cela qu'il est important de changer nos représentations de ces dead-lines et les voir comme non plus comme des obligations, mais plutôt comme des actions que nous souhaitons accomplir. "Je veux nourrir mon chien" ne sonne pas comme "Je dois nourrir mon chien". "Je dois payer des impôts" n'est pas la même chose que "je veux payer des impôts pour financer les hôpitaux, les routes, ce qui structure notre société bien portante et nantie…"
L'action reste la même, mais la représentation, l'histoire que nous nous en racontons change et ce n'est plus la même chose, à la fois dans notre perception, mais aussi dans notre manière d'agir…

mardi 16 avril 2019

Qu'est-ce que c'est qu'apprendre ?


Voici quelque chose qu'il peut être utile de savoir…
Répétition, pratique, entraînement : autant de mots qui qualifient ce qu'il est nécessaire de réaliser pour devenir meilleur à quelque chose, que cela soit un instrument de musique ou vos présentations professionnelles !
Pourquoi faut-il répéter et pourquoi ne devient-on pas meilleur du jour au lendemain une fois que nous avons compris ce qu'il fallait faire !?
Pour une raison simple, c'est que le cerveau doit intégrer un apprentissage. Il doit construire le chemin électrique qui conduit vers plus de dextérité, plus de confiance, plus de technique…
Cette construction est une construction au sens littéral de ce terme…
Lorsque nous répétons quelque chose, les axones sollicités, ces fibres nerveuses qui partent de la matière blanche de notre cerveau et qui acheminent aux muscles les ordres donnés par la matière grise, se transforment. Lorsqu'ils sont ainsi régulièrement sollicités, les axones se couvrent de myéline. Autrement dit, un axone auquel on demande une tâche avec constance va recevoir un traitement spécial. Il va se couvrir de couches et de couches supplémentaires de cette substance graisseuse qu'on appelle myéline. La myéline va agir sur l'axone comme un isolant et permettre une conservation optimale de l'énergie envoyée par le cerveau vers le muscle. Une fois l'intégration complétée, la couche de myéline optimisée, la rapidité avec laquelle l'information circule donne l'impression que ce sont nos muscles qui agissent, c'est pour cela qu'on parle de mémoire musculaire. En vérité, c'est toujours notre cerveau, mais dont les ordres naviguent maintenant sur une sorte d'autoroute nerveuse rendu ultra efficace par la répétition…
Apprendre quelque chose, c'est donc faire et refaire jusqu'à ce que vous ayez musclé vos axones de myéline.
Fascinant !

lundi 15 avril 2019

Premier écueil...

Le premier écueil que rencontrent les entrepreneurs ou les freelances que je rencontre est de vouloir gagner en activité. Etre occupé. Travailler. Faire quelque chose... Parceque c'est bien la preuve que cela marche !
Et être prêt à tout pour cela !
J'en vois beaucoup qui sont fort occupés. Le problème est que bien souvent pour être à ce point occupé, il leur a fallu sacrifier leur prix de vente et baisser drastiquement la valeur que perçoit leur client pour le travail qui est fourni.
A ce compte là, c'est tout bénéfice pour votre client... Vous voilà occupé à le servir, longtemps, pour un prix aussi bas qu'il est possible !
Mauvais calcul. Etre occupé est un mauvais indicateur. Etre occupé, travailler ne veut rien dire.
J'irais même jusqu'à dire qu'un bon freelance devrait travailler peu, ou moins, pour conserver à son offre toute sa valeur. Créer de la rareté. Etre perçu comme celle ou celui qui offre un service qui vaut cher, mais qui est remarquable.
Comme toujours, le but de ce jeu est de vendre très cher ce que vous faites facilement... 

vendredi 12 avril 2019

Walk the walk - period!

Dialogue avec une entrepreneuse :
- "Je suis nouvelle dans cette activité, je ne facture pas encore mes services comme il conviendrait. Je me fais la main, puis une fois que je me sentirai prête et légitime, je facturerai le juste montant..."
Ceci est une histoire. Une vision des choses.
Humilité, légitimité... autant de concepts auxquels vos prospects et vos clients ne doivent pas avoir accès lorsqu'il s'agit de vous et d'acheter vos services, si vous vous lancez dans le conseils !
Dès l'instant où vous vous lancez dans l'activité de proposer vos services à quelqu'un, vous devez faire un choix : celui d'accepter que vous êtes en première ligne, que vos conseils ont de la valeur, que vous êtes légitime (même s'il vous faudra des années pour le ressentir) et que vos conseils valent leur prix et que ce prix ne peut être inférieur à une valeur de marché qu'il va vous falloir découvrir ! C'est un risque, c'est un sentiment inconfortable parce qu'il vous met sur le devant de la scène. Impossible de se cacher !
Mais l'alternative est de dire à vos prospects que vous êtes amateur et que s'ils font appel à vous, ils auront le bonheur de vous former pour de futurs clients ! Que feriez-vous à leur place !?

jeudi 11 avril 2019

Changer sans changer...

Il importe de se souvenir, et plutôt deux fois qu'une, que l'humain n'est pas adepte du changement...
Amener quelqu'un à modifier ses attitudes ou ses comportements est une tâche de longue haleine et qui requiert du doigté. Je le constate tous les jours dans mon métier de formateur... La plupart des gens comprennent la logique, l'évidence que je leur présente lorsqu'ils se trouvent confrontés à tout ce qui ne marchent pas dans les façons de communiquer aujourd'hui dans le monde professionnel. Puis, quelques minutes plus tard, il ne manque jamais d'arriver une question ou un constat qui revient à ceci : "Comment fait-on pour continuer de faire la même chose, mais différemment !"...
Cela peut faire sourire, mais c'est ainsi que nous sommes... Notre cerveau cherche une issue confortable à ce changement qui s'annonce. Une manière de changer sans en subir l'inconfort et la prise de risque...
Pour nous, c'est un bon indicateur. Sans inconfort, pas de changement. Sans prise de risque, pas de transformation... et sans changement et sans transformation, pas de résultat différent de ceux obtenus jusqu'alors !

mercredi 10 avril 2019

Réviser vos classiques !

En matière de mode, il y a les classiques, les indémodables, les collections dites permanentes... Je ne suis pas un connaisseur, mais il me semble que si c'est indémodable il y a une raison et cette raison n'est pas forcément à aller chercher du côté du classicisme, mais plutôt dans le fait que si c'est encore apprécié aujourd'hui, c'est sans doute parce que c'est beau ! Parce que cela respecte une certaine justesse de proportion, de texture, de matière !
On peut vouloir être à la mode et bousculer les codes. C'est une chose et cela donne du résultat... mais il convient aussi de toujours se souvenir des basiques, des classiques... ils nous rappellent le bon sens, la logique. Ce qui est beau. Le beau est indémodable.

mardi 9 avril 2019

Marketing ?

Il est bien sûr possible de considérer que votre produit, votre entreprise, votre savoir-faire mérite une dose de marketing. Une dose de technique pour parvenir à ceux qui pourraient vous acheter ce que vous faites.
Il est aussi possible de considérer que vous voilà parti pour une aventure et de la vivre... et de laisser le marketing se faire tout seul, au grès des rencontres et de votre plaisir à avancer et à découvrir et à vous laisser surprendre en bien comme en mal, ce qui est le propre d'une aventure...
C'est un choix et une fois de plus, il n'en est pas un plus recommandable que l'autre... Simplement question d'attitude, de temporalité et de rapport à votre art.

lundi 8 avril 2019

Marcher !

"All truly great thoughts are conceived by walking" - F. Nietzsche

Marcher, mettre le corps en mouvement est la meilleure des manières de trouver de nouvelles idées, de résoudre les problèmes de la vie. L'immobilité n'est pas humaine. Elle est moderne.
D'une manière générale, il y a toujours un bénéfice à lâcher les commandes à ce qui de nous sait le mieux, comprend le mieux les situations qui nous dépassent. Notre corps a des réponses, des idées, des propositions qu'il est urgent d'écouter. 

vendredi 5 avril 2019

L'autre versant...

Le versant positif de cette société toute en consommation est une société toute en création.
Moins consommer - Créer plus.
Cela pourrait aussi commencer plus tard.
Ou maintenant !

jeudi 4 avril 2019

Croire ou ne pas croire...

Ce que nous croyons a le pouvoir de nous libérer ou de nous limiter.
Croire que le talent est inné est qu'il n'est aucune manière de gagner en expertise au delà de ce que dictent nos gènes et notre éducation produit de formidables limitations. Comment libérer son potentiel si, dès le départ, on est convaincu de ne pas contrôler le processus.
Croire en revanche que l'expertise s'acquiert et qu'un immense potentiel demande à s'exprimer me semble être une croyance qui libère et qui nous met aux commandes de ce que nous voulons devenir.
Il est aussi bien sûr possible de croire sans s'en rendre compte et de vivre sous la coupe de limitations dont nous n'aurons pour ainsi jamais conscience... et c'est peut-être le pire...

mercredi 3 avril 2019

Entre soi !

Le problème avec cette volonté de vouloir à tout prix avoir raison, c'est que nous avons ensuite tendance à rechercher la compagnie de ceux qui voient le monde comme nous le voyons pour confirmer plus encore, s'il était besoin, que notre vision des choses est bien la bonne.
Une fois confortablement installé au sein d'une tribu rassurante, il devient difficile d'accepter que d'autres puissent penser différemment et voir les choses d'une toute autre manière... Il devient facile de se convaincre que, oui, vous avez effectivement raison. Que votre vérité est universelle...
Elle ne l'est pas et le fait que ceux qui vous entourent pensent comme vous devrait vous inquiéter... Il vous manque un pan entier, une myriade d'histoires, une vision un peu plus complète du monde. Il n'est jamais trop tard pour aller la chercher !

mardi 2 avril 2019

Une personne, deux approches...

Deux façons de juger les gens : ne voir que d'où ils viennent ou ne voir que vers où ils vont.
Les deux sont judicieuses, les deux ont leur bénéfices, les deux ne donnent pas le même résultat.
C'est un choix, une façon de voir les choses et les gens. Leur histoire ou leur potentiel. Leur résultat ou leur promesse. 

lundi 1 avril 2019

La belle affaire !

La meilleure façon de s'éviter toute responsabilité, c'est de se voir ou de se dire dans l'incapacité de réagir à ce qui nous arrive : je n'ai pas le temps, je suis trop occupé, il pleuvait si fort...
Cela marche sans doute pour la personne que cela rassure ou tranquillise... mais pour toutes les autres, cela ne marche pas. Pas de compassion pour "Je suis débordée", pas de bénéfices exceptionnels pour les " Je n'ai pas le temps". Si vous achetez cette excuse, eux ne l'achèteront pas. Alors à quoi bon la leur proposer !?