vendredi 25 juillet 2014

Vacances...

Le blog de François Maurin se met en vacances pour quelques jours... 
Bon repos estival à tous !


jeudi 24 juillet 2014

Celle qui a le dernier mot...

Dans la continuité de ce que j'écrivais hier, si le corps humain s'est construit sur des millions d'années, cette construction lente et laborieuse s'est faite en puisant dans l'environnement les ressources énergétiques nécessaires à cette construction : principalement la chasse et la cueillette... Pendant des millions d'années le corps a lentement appris à transformer les aliments en énergie puis à maximiser cette énergie (grâce à la cuisson) pour nous permettre de développer des cerveaux uniques en leur genre...
Les aliments qui ont permis ce prodige sont restés les mêmes pendant des millions d'années : fruits, légumes, viande crue, céréales sauvages, etc... jusqu'à ce que tout change à la fin des années soixante et qu'apparaissent des aliments jamais vus, des espèces transformées et mutées, des produits frits, et bien d'autres préparation totalement inédites pour des organismes habitués, et depuis des millions d'années à autre chose...
Notre monde change vite, parce que notre capacité à anticiper et à inventer est sans limite, mais cette vitesse n'est pas celle des parties les plus anciennes de notre cerveau (les parties reptilienne et limbique) ou de notre corps.
Pour vos présentations, vous devez garder en mémoire ces deux vitesses et toujours parler à la partie la plus lente, qui, parce qu'elle est la plus ancienne est toujours celle qui a le dernier mot !

mercredi 23 juillet 2014

Des millions d'années...

Le corps humain s'est construit sur une période infiniment longue. Plusieurs centaines de millions d'années pour parvenir à cette machine biologique auto réparatrice et formidablement complexe.
La psyché humaine s'est elle aussi construite sur une période très longue et le rôle premier de notre cerveau fut de nous permettre de nous déplacer. De tout ce que nous permet d'accomplir notre cerveau, c'est la plus complexe et nous ne parvenons toujours pas à la répliquer. Il faut des centaines de milliers d'heures de travail en robotique pour parvenir à fabriquer un bras qui sache servir un verre d'eau sans en renverser une goutte. Alors que nous avons inventé il y a bien longtemps des ordinateurs capables de battre n'importe quel être humain aux échecs, nous n'avons toujours pas de machine qui sache déplacer les pièces avec adresse !
Au-delà du déplacement, le cerveau avait pour mission de garantir notre survie. De trouver des manières, de plus en plus ingénieuses d'assurer un temps de vie suffisant à notre reproduction. Et cela fut pendant des millions d'années sa mission principale : éviter le danger, gérer la relation en ami ou ennemi, disposer d'outils qui assurent un avantage sur l'environnement. Parce que ce fut sa mission si longtemps, il continue.
Alors que tout a profondément changé pour nous : les conditions de notre survie sont beaucoup moins hypothétiques qu'elles n'étaient, pour notre cerveau, rien n'est vraiment différent et il continue à fonctionner de façon à garantir cette survie.
C'est pour cela qu'il est important d'en avoir conscience. Bien souvent, votre cerveau vous ordonnera de ne pas agir, estimant que le danger est important, alors que selon les standards d'aujourd'hui, vous êtes en sécurité. Lorsque votre cerveau vous engage à la prudence, il est vital pour vous de vous demander si cela est justifié. L'être humain est la plus formidable des machines à survivre et nous avons réussi à dominer cette planète alors que les statistiques ne nous étaient pas favorables... pourtant, user des programmes qui nous ont permis cette domination dans les relations que vous entretenez au quotidien ne pourra vous mener qu'au désastre !

mardi 22 juillet 2014

Quelle humiliation !

Lorsque vous vous lancerez à produire quelque chose de nouveau dans vos présentations, il est probable que cela ne marchera pas du premier coup. La présentation que vous donnerez ne vous permettra pas d'obtenir tout ce que vous en auriez souhaité. C'est naturel.

Pourtant, les réactions que vous verrez autour de vous correspondront à une variation plus ou moins difficile à supporter sur le thème :
- Ils vous disent que c'était formidable, et vous savez qu'il n'en est rien.
- Ils vous regardent gêné, avec une sorte de sourire que vous ne savez que trop bien décrypter.
- Ils vous évitent pendant quelques jours.
- Vous vous approchez d'eux et le silence s'installe, chacun le nez dans son verre avec un sourire gêné.
- Ils vous encouragent maladroitement : "C'était sympa, ouais... très sympa..."
- Ils font comme s'ils n'y avait pas assisté : " j'ai du sortir ! C'était comment ?..."
Et le pire de tous : ils ne vous disent rien.

Désagréable.

Mais nous en sommes tous passés par là. Tous ceux qui aujourd'hui présentent, font des conférences, sont devenus orateurs professionnels, tous ont connu ce genre de moments étranges, cette sorte de suspension émotionnelle !

Oubliez tout ça ! Continuez ! Ne ruminez pas. Il est normal est naturel de se planter quelque fois avant de réussir.

Si vous saviez à quel point vous êtes près du but !

lundi 21 juillet 2014

Manipuler...

Je suis toujours surpris par la mauvaises énergie que créé le mot : "manipulation"...
C'est assez surprenant, parce que toute communication est à visée manipulatoire ! Demandez à quelqu'un de faire quelque chose, c'est le manipuler ! Au sens littéral du terme.

Pourtant ce mot est fortement connoté négativement.

Une bonne façon de savoir si vous êtes en train d'être manipulé ou si vous êtes vous même en train de manipuler quelqu'un est de vous poser cette simple, toute simple question :

Ce que je lui demande de faire, est-ce bon pour lui ou est-ce bon pour moi ?


vendredi 18 juillet 2014

La question à vous poser...

La question que vous devez vous poser n'est pas :
Serai-je assez intéressant ?
Seront-ils présents et concentrés ?
Est-ce que je réponds bien à la demande ?
Est-ce que ce que je propose à une chance de les intéresser ?

Lorsque vous présentez, la seule question à vous poser est : croiront-ils suffisamment ce que je dis pour accepter de faire ce que je veux qu'ils fassent ?

Si vous ne répondez pas à cette question, vous parlez dans le vide, vous présentez à vous-même...

S'ils ne vous connaissent pas, s'ils n'ont jamais vu ce projet que vous allez présenter, s'ils doutent, alors il y a des chances pour qu'ils ne vous accordent pas leur confiance...

Votre premier job de présentateur : construire cette confiance. Un mot après l'autre, un regard après l'autre, une slide après l'autre.

jeudi 17 juillet 2014

Débriefer !

Comment transformer vos présentations en présentations vraiment différentes ? Commencez par débriefer celles que vous faites. Achetez-vous un cahier ou un carnet et notez dessus tout ce qui vous vient une fois que vous avez quitté la scène. Notez ce qui selon vous a marché et ce qui n'a pas marché, notez-y aussi le feedback que vous aurez reçu, celui que vous aurez demandé.
Notez aussi ce que vous avez pensé de votre audience...
Avant la préparation de votre prochaine présentation : sortez ce carnet... Il vous aidera à gagner du temps et à mieux comprendre ce qui est en jeu...

mercredi 16 juillet 2014

Avant toute chose...

La règle de base de vos présentations : votre auditoire a raison. Il a toujours raison.
Dès l'instant où vous vous surprenez à vous lamenter qu'ils n'écoutent pas alors que la semaine dernière tous étaient attentifs, que d'habitude vous n'avez pas de problème à les engager, que vous avez déjà captivé avec succès des centaines de gens, qu'il est évident que ceux là sont trop jeunes, trop fatigués, trop idiots (et la liste pourrait continuer ainsi sur des pages)... vous aurez peut-être raison, mais vous les aurez perdu. Définitivement.

Vos auditoires ont le choix de vous écouter ou de ne pas vous écouter et si vous les considérez avec le moindre manque de respect, d'attention ou de considération, si vous ne préparez pas ou pas assez, si vous leur faites porter un chapeau qu'ils n'ont pas demandé à porter, alors ils cesseront de vous écouter.

Une fois encore, vous n'avez pas besoin de présenter si vous considérez que ce ne sera pas utile ou qu'ils sont définitivement trop idiots pour vous comprendre, mais dès l'instant où vous avez fait le choix de vous adresser à eux, la balle est dans votre camp... Toutes les balles sont dans votre camps... Et s'ils ne vous la renvoient pas de temps à autre, c'est que vous ne la lancez pas correctement !

mardi 15 juillet 2014

Mieux utiliser PowerPoint

J'ai cette réputation d'être de ceux qui n'apprécient pas le logiciel PowerPoint... Lorsque je croise d'anciens stagiaires, certains commencent, avant même m'avoir salué par me préciser qu'ils utilisent toujours PowerPoint !
Cette réputation est étrange, parce que je considère PowerPoint comme un logiciel hautement sophistiqué et, s'il est utilisé correctement, comme un logiciel efficace et performant.
Le vrai problème avec PowerPoint, ce n'est pas son existence, ce n'est pas de savoir s'il faut ou non l'utiliser, c'est que vous ne savez pas vous en servir. Ce qui, sommes toutes, n'est pas si étonnant, puisque vous n'avez jamais appris à vous en servir.
J'ai rédigé un petit ebook, simple et court, qui vous expliquera les rudiments de l'utilisation de ce logiciel.
Le suivre et vous ne tomberez plus dans les plus grossiers des pièges que vous tend ce logiciel lorsqu'il n'est pas utilisé correctement...

Il est en téléchargement libre ici.


vendredi 11 juillet 2014

La pression...

J'ai revue hier une stagiaire que j'avais aidée pour une présentation. Tout s'étant bien passé, les résultats furent au rendez-vous et le projet pouvait démarrer. Il lui restait donc à donner le meilleur d'elle-même et à fournir son meilleur travail !

Je la retrouve quelques mois plus tard. Ses premiers mots : "je suis sous pression...".

A l'évidence, cette pression, c'est à elle-même qu'elle la doit. Ceux qui ont fait le choix de financer son projet l'ont fait pour lui donner une chance de produire ce meilleur. Pas pour le résultat, qui n'est jamais garanti.

Si la pression n'est pas celle des actionnaires, n'est pas celle de l'équipe, alors elle lui appartient entièrement... et si elle lui appartient, il lui est donc possible de l'ignorer !

Si la pression vous aide à donner le meilleur de vous-même, servez-vous en.
Sinon, ignorez-là.


jeudi 10 juillet 2014

Apprendre à marcher...

Lorsque j'évoque le changement et la difficulté qu'éprouve tout être humain devant le challenge d'embrasser un nouveau comportement ou la nécessité d'un nouvel apprentissage, je cite l'exemple des bébés qui tombent plus de 400 fois avant de réussir leur premier pas !
400 échecs avant d'entrevoir le bout du tunnel, avant de recevoir un premier indice sur le fait qu'il se pourrait bien que cela marche !
N'importe quel adulte dans la même situation aurait sans doute craqué bien, bien avant...

La vraie difficulté pour le bébé est qu'il n'y a pas de milieu, pas de courbe bien nette de ses progrès... Pendant toute la période de chute, il n'y a que cela : des chutes. Impossible de se dire : ça va de mieux en mieux, je chute moins, je me rapproche du but. Pour le bébé, c'est la chute jusqu'au moment où : tada ! Le premier pas et le succès !

Pour vous et vos présentations, il n'en va pas tout à fait de même : vous progresserez, d'abord lentement, mais très vite et très tôt (d'expérience : une demi-journée suffit !) vous constaterez du mieux, du meilleur...

Apprendre à marcher commence par ressembler à apprendre à tomber. Apprendre à présenter est nettement moins difficile. Puisque vous savez marcher, cela ne devrait pas vous faire peur ! 

mercredi 9 juillet 2014

Dites-nous comment vous voyez le monde...

Il est bon de cliquer sur "like", sur "follow" ou sur "share", de retweeter... Vous aimez un contenu et vous souhaitez le faire savoir : bien.
Mon challenge pour vous : à chaque clic sur "like", rédigez et éditez quelque chose qui pourra être "liké" par votre réseau. Chaque fois que retweetez un tweet, tweetez quelque chose que d'autres pourront retweeter !
Nous avons besoin de votre contenu, de vos idées, de votre vision du monde... Le fait que vous nous la montriez par personne interposée n'est pas suffisant ! Montrez-nous !

mardi 8 juillet 2014

Le conteur et le plombier

Lorsque plus rien ne fonctionne dans votre salle de bain, il est temps d'appeler un plombier. Ce que vous attendez de ce professionnel : qu'il répare ce qui ne marche plus. Vous attendez une solution, définitive, claire et garantie.
Le présentateur, le leader, voire le manager que vous êtes, n'êtes pas de la même partie. Votre job, lorsque vous parlez, n'est pas de trouver pour vos auditoires ou vos collaborateurs une solution définitive, claire et garantie. Ce n'est pas ainsi que cela marche. Votre job est de les inspirer, de leur montrer le chemin avec suffisamment de verve et d'enthousiasme pour qu'ils trouvent, eux, les solutions qui contribueront à conduire votre organisation au bon endroit. La meilleure façon d'inspirer, de captiver et de convaincre, reste de raconter des histoires. Les bons narrateurs font les bons présentateurs, parce que c'est ce dont les gens ont besoin pour aller chercher le meilleur d'eux-mêmes...
Pourtant, même si le plombier et vous n'avez manifestement pas le même job, il me paraît capital que vous envisagiez le vôtre, celui de narrateur, de présentateur comme le plombier envisage le sien. Comme un job.

lundi 7 juillet 2014

Votre pire cauchemar...

Je ne suis plus que très rarement sur scène, mon métier de formateur et de coach m'occupant maintenant à plein temps, mais je continue de faire ce cauchemar - régulièrement :
J'arrive sur les lieux d'une représentation, tout le monde est là, en costume, prêt, enthousiaste et je ne sais pas mon texte, je ne me sens pas prêt... Le sentiment d'inconfort est saisissant et l'impossibilité d'échapper à cette torture la rend insupportable ! Je tente de faire bonne figure, de m'isoler pour trouver ce texte que je vais devoir apprendre en quelques minutes.
Le cauchemar...

Pour que ce genre de situation n'arrive pas dans la vraie vie, jamais, même de loin,  je prépare, je répète et je répète encore jusqu'à devenir convaincu qu'il n'est pas possible d'en faire plus, jusqu'à ce que la pièce soit autant dans ma bouche que dans ma tête...

Le vrai métier du comédien : répéter. Jouer, c'est pour le fun, c'est le côté sympa des choses. Ce pour quoi ils sont réellement payés : répéter. Même s'ils ne toucheront un chèque qu'une fois les spectateurs dans la salle...

A l'évidence, cela vaut pour vos présentations... Le jour où vous prendrez vos présentations sérieusement, il est possible que ce cauchemar vienne, de temps à autre, hanter vos nuits !
Pour le meilleur !

vendredi 4 juillet 2014

La confiance est un choix...

Lorsque vous présentez, il s'en trouvera sûrement devant vous qui ne prendront pas ce que vous dites, le mettront en doute ou considéreront purement et simplement que cela n'a pas d'intérêt, à leurs yeux...
Ce type de comportements, même s'ils se produisent sous vos yeux, n'ont aucune raison de modifier ou d'altérer la confiance que vous avez en vous-même et dans ce travail que vous présentez... Aucune raison, à moins que vous n'en fassiez le choix !

jeudi 3 juillet 2014

A qui devez-vous désobéir ?

Vous êtes programmés pour obéir. Vous le savez, vous le sentez. 
Parce que désobéir représente un risque, vous êtes aussi programmé pour abhorrer le risque. 
En agissant comme tout le monde agit, vous obéissez à ce programme. Vous limitez les risques, et ce faisant vous ne produisez rien d’utile, ni pour vous ni pour votre entourage. 

Devenir un présentateur de bon niveau, cela veut dire prendre le risque d’agir autrement et donc de prendre le contre-pied de ce qui est pratiqué par le plus grand nombre… 

Mais lorsque autant d’individus pratiquent la même chose, même si celle-ci ne marche pas, certains sont tentés d’y voir une règle, un modus operandi tacite qui doit être respecté... Si tout le monde fait pareil, alors c'est que cela doit être la norme, la règle...

En prenant le contre-pied de ce que tout le monde fait, vous aurez le sentiment de désobéir : d’aller contre cette règle tacite qui veut que les présentations de haut niveau ne peuvent exister dans l’univers professionnel parce qu’elles sont la chasse gardée des grands leaders et de quelques vernis, gâtés par la nature et la génétique… 

C’est en cela que désobéir est salutaire. Il ne s’agit pas de désobéir à votre hiérarchie, qui serait sans doute ravie de vous voir captiver et convaincre vos auditoires ; il s’agit de désobéir à ce programme. 

mercredi 2 juillet 2014

La règle absolue...

Il n’y a qu’une règle absolue, c’est qu’il n’y a pas de règle absolue !

Et cela est vrai, il n’existe pas de règle absolue en matière de présentations et de performances orales. Mais s’il devait en exister une et une seule, de mon point de vue, ce serait celle-ci : apprenez à voir les choses à travers leurs yeux. Comprenez ce qui les intéresse et les motive. Si vous ne le comprenez pas ou si cela vous paraît difficile, trouvez quelqu’un qui puisse vous l’expliquer. 

Une présentation, c’est avant tout un exercice de compréhension de l’autre et de tout ce qu’il a besoin de vous entendre dire… et non, comme cela est bien trop souvent le cas, le fait de parler de ce dont vous avez envie de parler sans plus vous soucier de qui est en face de vous…

mardi 1 juillet 2014

D'abord, voir...

La plupart des gens que je rencontre sont des gens intelligents. L’entreprise regorge d’individus aux capacités remarquables. Leurs réussites et leurs accomplissements sont bien souvent uniques et quelles que soient leurs industries, les pas en avant qui sont réalisés quotidiennement transforment le monde dans lequel nous vivons. Chacun de ces objets connectés que vous avez devant vous ou que vous utilisez régulièrement est le fruit du travail de ces individus là ! 

Pourtant, la plupart d’entre eux produisent des présentations d’un niveau médiocre. Lorsqu’il leur est demandé de parler de ce qu’ils font, la qualité de leur performance est le plus souvent décevante, pour ne pas dire désolante. 

Parce que la plupart de ces gens intelligents refusent de voir et de reconnaître la qualité objective de leurs prestations. S’ils travaillaient dans une telle inconscience des résultats obtenus dans leurs domaines respectifs, nous en serions toujours à utiliser le télégraphe en lieu et place de ces superbes smartphones !

La première chose dont vous allez avoir besoin en matière de présentation, c’est de VOIR où vous en êtes. Je ne parle pas de juger ou d’estimer ou d’évaluer, juste de constater ce qui est… 

A partir de là, de cette conscience, il vous sera alors possible de prendre les décisions qui s’imposent. Aussi longtemps que vous vous aveuglez d’excuses ou de déni, il ne se passera rien…