vendredi 29 juin 2018

Est-elle courte ?

On le dit, nous le savons tous et vous le pensez sûrement : la vie est courte.
Qu'est ce que cela veut dire concrètement :
- Évitez sans relâche toutes les conneries, celles que la vie vous envoie, celle dans lesquelles vous vous complaisez et les autres. Toutes les autres. Vous saurez que c'est une connerie quand vous en croiserez une.
- N'attendez pas pour faire ce qui compte vraiment à vos yeux.
- Savourez le bon temps lorsqu'il est là.

C'est tout.
C'est ce qu'on fait, quand on sait que la vie est courte.
Rien d'autre.

jeudi 28 juin 2018

La couleur de la peau

Le pire que mon éducation ait laissé en moi, comme en beaucoup de mes compatriotes, c'est cette croyance que la couleur de la peau a une importance.
Qu'elle est la partie visible d'un océan de différence.
Que la couleur de la peau est une donnée viable, intelligible et pertinente.
Qu'il est possible de juger quelqu'un en ce basant sur la couleur de sa peau.

J'ai ce résidu en moi. Cette sorte de programmation. Ce besoin de catégoriser.

Je le combat tous les jours.

La couleur de la peau n'est rien.

Tout comme l'appartenance à une religion, le genre, la taille, le handicap...

mercredi 27 juin 2018

Petite astuce pour gagner du temps et de l'énergie...

Vous voulez vous épargner une réelle perte de temps.
Ne répondez plus aux appels anonymes.
Laissez-les aller directement sur votre boîte vocale.
C'est certes une surprise, c'est à chaque fois l'espoir d'un nouveau prospect, d'une nouvelle opportunité ? Mais en vérité, ce n'est que rarement le cas.
Et lorsque c'est le cas, lorsque c'est un nouveau prospect qui vient s'enquérir de ce que vous faites et qui aimerait en savoir plus, vous voilà pris au dépourvu, au mauvais endroit et dans de mauvaises conditions.
Si c'est important, la personne laissera un message et vous donnera le temps de rappeler dans de bonnes conditions, préparé et détendu.

mardi 26 juin 2018

The Taos of Bezos

Cette année marque le vingtième anniversaire d'Amazon.
Jeff Bezos, il y a 20 ans a envoyé à ses partenaires et ses actionnaires une lettre dans lequel il leur signifiait ce qu'il voulait pour Amazon et comment il comptait s'y prendre pour les quelques années à venir.
La dernière lettre envoyé à ces mêmes actionnaires contenait ce passage :


“This year marks the 20th anniversary of our first shareholder letter, and our core values and approach remain unchanged. We continue to aspire to be Earth’s most customer-centric company, and we recognize this to be no small or easy challenge. We know there is much we can do better, and we find tremendous energy in the many challenges and opportunities that lie ahead.”


A partir de cette direction général, de cette idée, de cette façon de concevoir les choses et le monde et les affaires, Bezos a construit l'une des plus importantes sociétés de notre époque.

S'il est compréhensible que vous ne souhaitiez pas construire le prochain Amazon, cette approche est intéressante. Quelle est l'idée sur laquelle vous vous appuyez, cette idée à laquelle vous ne pourriez renoncer sans renoncer à tout, quelle est cette idée qui vous guide, cette attitude qui vous défini, qui transpire dans tout ce que vous faites ?

lundi 25 juin 2018

Accrocs...


Parlons smartphone.
La plupart d’entre nous sommes déjà « addicts ». Bien sûr, la plupart d’entre nous n’en avons pas conscience. Cet outil a pris sa place puis des habitudes délétères ce sont installées. Le rapport que la plupart d’entre nous entretenons avec nos téléphones nous oblige à mettre l’autre à distance, à lui signifier cette distance alors que cela ne devrait pas être.
Coup d’œil répété sur l’écran de son smartphone pendant une réunion, qui signifie aux personnes présentes qu’il existe à l’extérieur de cette pièce quelque chose de plus important que les personnes présentes autour de la table.
Intervenir dans une conversation avec son téléphone en main, qui signifie que la conversation peut être interrompue à tout instant si ce qui se présente sur l’écran semble plus important !
C’est une attitude que nous expérimentons tous et face à laquelle nous sommes désarmés. Comme on le serait devant un cocaïnomane !... «Je vais bien, de quoi tu parles ? J’arrête quand je veux. C’est peu de chose. Tous le monde le fait dans le milieu. »
Tout cela nuit à nos interactions. Le smartphone parle pour nous, raconte quelque chose sur nous qui n’est pas bon. Il dit de nous que nous ne sommes pas là, pour eux, pour être ave eux. Il dit que nous sommes ailleurs. Et que cet ailleurs a plus de valeur que notre ici !
Il devient urgent de poser les téléphones.
D’aller au devant des autres l’esprit libre des sphères digitales, du cloud, des notifications, des text, des posts, des sms,… pour sortir de l’addiction et retrouver un rapport sain avec cet outil formidable.

vendredi 22 juin 2018

Êtes-vous accroc à votre smartphone : le test !


Il existe une façon de savoir si votre rapport à vous smartphone à pris une dimension qui vous dépasse et si vous êtes menacé par l’addiction.
Que se passe-t-il en vous lorsque vous oubliez votre smartphone à la maison ?
Un court moment de gêne aussitôt disparue ?
Alors tout va bien !
Une angoisse difficile à surmonter qui vous donne envie de faire demi-tour toutes affaires cessantes…
Vous êtes sur la pente savonneuse de l’addiction.
Temps de réfléchir, de poser votre téléphone ou de revenir au Nokia 3310.

jeudi 21 juin 2018

L'accélérateur créatif...

Je l'ai écrit il y a quelques jours, j'aime chanter. Ce que la chanson m'a appris, lorsqu'il s'agit de créer, de composer de meilleures chanson, c'est qu'on ne fait rien seul. Mes chansons ne seraient pas ce qu'elles sont sans la générosité de certains et l'immense valeur de leurs apports.
Mais à bien y regarder, il est beaucoup plus facile d'avoir de belles idées sur les chansons d'un autre. Ce n'est pas votre chanson, il n'y a pas autant d'investissement émotionnel, il est plus facile d'apporter une posture ou une vision différente sur une chanson, ou un projet !
Il est plus facile de donner des idées aux autres, de les aider à gagner que de vouloir à tout prix trouver pour soi l'idée gagnante. 

mercredi 20 juin 2018

L’erreur que commettent la plupart des orateurs... et qui leur coûte cher !

La plupart de ceux à qui il est demandé de présenter, d’intervenir en réunion, de prendre la parole au sens large font une erreur cruciale qui bien souvent leur coûte l’attention de leurs auditoires.
Cette erreur est de croire qu’ils sont le sujet de la présentation. Que c’est d’eux dont il s’agit. De leur capacité à parler, travailler, gérer, manager…
Vous n’êtes pas le sujet de vos présentations !
La pertinence d’une présentation ne se mesure pas à l’accroissement de la popularité de l’orateur ! Ce serait bien vain et somme toute absurde !
La pertinence d’une présentation se mesure à votre capacité à créer du mouvement ! A faire bouger les choses !

Si c’est eux que vous devez conduire à bouger, il est fort possible que ce soit eux… le sujet de votre présentation !
Eux… et pas vous !

mardi 19 juin 2018

Bad, bad songs

J’aime chanter, mais plus que chanter, j’aime composer ! La joie de trouver une nouvelle mélodie, de la faire grandir, de lui donner ses paroles... Tout ce process créatif est fascinant
Pour composer de belles chansons, il existe une règle simple : il faut d’abord composer de mauvaises chansons.
Beaucoup.
J’ai composé des centaines de chansons lamentable, sans intérêt.
Mais toutes ces mauvaises chansons ont pavé le chemin qui menait vers les plus belles de mes compositions.
Sans elles, rien n’existerait. Elles sont mes travailleuses de l’ombre. Personne ne leur donnera jamais la moindre attention, mais cela n’enlève rien à leur valeur. Elles sont le terreau dans lequel la beauté peut exister. Elles font comme un nid mélodique, comme une atmosphère de possibilité.
Les grands compositeurs sont d’abord les compositeurs du pire... puis surgit la fulgurance. Sans mauvaises chansons, pas de chansons !

lundi 18 juin 2018

ENCORE

Il est important de comprendre que ce que vous ne savez pas faire aujourd'hui n'a pas d'incidence sur ce que vous saurez faire demain.
Constater que vous n'êtes pas capable aujourd'hui de jouer de la clarinette ne veut pas dire que vous ne serez jamais capable de jouer de cet instrument.
Pour de nombreuses personnes, leurs incapacités de l'instant signalent leur valeur dans l'absolu.
"Je ne sais pas dessiner.", "Je ne sais pas chanter.", "Je ne suis pas bon avec les noms", "Je n'y connais rien à la musique classique". Et cela sonne comme une sentence. Comme si dessiner sera toujours quelque chose hors de portée, hors d'atteinte. Comme si la nature avait choisi de faire de vous un piètre dessinateur.
Rien de tout cela n'est vrai. Vous ne savez pas dessiner, c'est un fait... Mais vous pouvez apprendre ! Vous ne savez pas ENCORE dessiner. Et à partir de là, quelque chose peut commencer...
C'est ce ENCORE qui manque à la révélation de tant de talents...

vendredi 15 juin 2018

Brisez la vitre, mais pas la chaine !

Ne pas briser la chaine... C'est un moteur d'une puissance insoupçonnée. Il est ce principe sur lequel des succès planétaires se sont construit
Ne pas briser la chaine.
Ce blog ne fonctionne que sur ce principe. Ne pas briser la chaine, celle qui consiste à faire un billet tous les jours ouvrés et continuer, et continuer encore... sans jamais briser la chaine. Un jour après l'autre. Une fois passé un certain seuil, le pourquoi n'a plus d'intérêt. Pourquoi écrire ce blog ? Parce qu'il est la preuve qu'en ne brisant pas la chaine, en agissant tous les jours pour ce qu'on s'est fixé, il est possible d'obtenir un résultat hors du commun.

jeudi 14 juin 2018

Champion dans votre catégorie...

Tout aussi obsolète : l'avantage compétitif.
En quoi vous différenciez-vous de vos concurrents ? La plupart de vos clients n'en ont cure. Ils travaillent avec vous, parce que c'est vous et que si vous n'étiez plus là, cela leur poserait problème.
Si vous leur posiez la question de savoir ce que vous avez en plus sur vos concurrents ou ce que vos concurrents ne font pas que vous faites, vous seriez sans doute surpris de constater que la plupart de vos clients n'en ont aucune idée.
Dès lors, puisqu'il ne s'agit plus d'un avantage, puisque vous avez su créer avec vos clients une catégorie à laquelle vous êtes le seul à appartenir, puisque la comparaison n'est plus de mise, il convient de se demander en quoi votre produit, votre service satisfait ceux qui vous ont choisi. En quoi il est adapté à leur façon d'être et de comprendre les choses.
Puis de trouver d'autres clients qui leur ressemblent.

mercredi 13 juin 2018

Pas besoin d'eux !

Ce n'est pas tant de trouver de nouveaux clients, mais c'est de continuer à satisfaire, jour après jour, les clients qui sont les vôtres.
Rares sont les entreprises dont le marketing soit dédié à satisfaire et à garder les clients existants.
L'idée derrière ce constat est que la notion de conquête est une notion de plus en plus obsolète. Pas besoin de séduire tout le monde pour faire de son entreprise un succès. Il suffit d'en séduire certains, ceux qui sont prêts à se laisser séduire, ceux qui pensent et raisonnent comme vous... et d'agir ensuite pour que cette relation continue.
Séduire la masse est démodé. C'est aussi simple que cela. 

mardi 12 juin 2018

Les deux postures qui feront de vous les pires boulets de votre entreprise !

Il est entendu qu'il est nécessaire de sortir de la zone de confort pour progresser. L'inconfort est créé par le changement et sans changement, pas de progrès. Si vous êtes restés confortable toute la journée derrière votre bureau, il est probable que vous n'aurez que peu progressé vers les buts que vous vous êtes fixés.
Mais sortir de la zone de confort ne suffit pas !
Encore faut-il aller vers les limites de votre compétences et vous élancer vers ce que vous ne connaissez pas, n'avez jamais fait et n'envisagez même pas encore d'être capable de réaliser.
Cette élancement, c'est ce qui permet l'apprentissage. C'est votre capacité à étirer les compétences d'aujourd'hui, les porter à leur limite, pour créer les compétences de demain.
Ceci est hautement inconfortable, hautement incertain et, à moins d'y être invité, de s'en rendre responsable et d'y être encouragé (par, disons, un bon formateur ou un bon coach), la plupart des gens renoncent avant même d'avoir commencé.
Ceci est l'une des raisons pour lesquelles il est essentiel de compléter les apprentissages à distance pour un temps en présence d'un formateur qui va occasionner cet étirement, cet élancement... Sans lequel il ne se sera rien passé, si ce n'est qu'après un temps passé à écouter, la plupart des gens reviennent à ce qu'ils ont toujours fait. Confortable et pépère.
Même s'il n'en est pas un seul qui ne vaille mieux que "confortable et pépère"...

lundi 11 juin 2018

Dans les entrailles de Londres...


Sur le même thème que mon billet d’hier, me revient cette anecdote :
Dans le métro de Londres, un saxophoniste s’apprête à monter dans le wagon dans lequel je voyage pour tenter de gagner quelques pences !
Il n’a pas fait mine de franchir le pas de la porte qu’une voix sortie de nulle part, forte et intense, féminine : « Not in MY train! ».
Le pauvre musicien n’a pas d’autres choix que de reculer et de laisser repartir le train.
Pour moi, je ne me trouvais plus dans un métro, mais dans le train de cette femme. J’étais son passager et elle s’assurait de mon confort. Sentiment de satisfaction, alors que je suis saxophoniste et que, dans l’absolu, un peu de musique ne nuit à personne !
Rendre humain, donner un nom et donner à comprendre qu'il y aura quelqu'un pour vous entendre, pour vous comprendre et vous accompagner, c'est de cela dont nous avons besoin… et pas d'un autre rasoir à 13 lames ou d'un nième yaourt au trifidus…

vendredi 8 juin 2018

Petit, petit, petit...

On l'a beaucoup dit : "small is beautiful"...
Small - petit - présente un intérêt parce que c'est la garanti de quelque chose d'humain, fait par des humains, produit par des humains aux services d'autres être humains. Ce qui est petit, suffisamment petit pour pouvoir se planter et disparaître, par opposition au fameux "too big to fail", doit sa survie à la qualité de ce qu'il est produit. Petit veut dire petite quantité, petite série et pour survivre : grande attention, grande concentration sur le client.
Nous avons tout intérêt à entretenir et à valoriser ce qui est petit. Petit comme "Monsieur Moustache", "Maison cornichon", "Conid", "Paires et fils", "Rehnsen", "Balibaris", "Grado", "Seagale"...
A l'inverse, les grandes entreprises ont pour objectif de retirer de leur process tout ce qui est humain, tout ce qui rendrait le produit identifiable. Personne ne sait qui a fabriqué le Mars que vous dégustez, le danone qui est dans votre frigo. Personne ne le sait et c'est exprès. Anonyme veut dire remplaçable. A l'envie.
Nous avons le monde que nous choisissons.
Reconnaissons que nous avons tous eu un intérêt à ces produits de masse, à cette déshumanisation, à cette remplaçabilité qui nous a garanti des prix plus bas, la possibilité de consommer sans se soucier des conséquences.
Reconnaissons aussi qu'il est temps de changer et de revenir à ce qui est petit, local, humain, identifiable.
Je sais que c'est Francis de la société Conid qui va s'occuper de la plume en titane que j'ai commandée, c'est Thibaut de Maison Cornichon qui s'assure que mon t-shirt me va et m'envoie un mail pour s'en assurer...
Achetez humain, c'est bien !

jeudi 7 juin 2018

Le blabla habituel

La plupart des gens, avant de parler, prennent trop de précautions, trop de temps, trop de préliminaires.
Les préliminaires sont une bonne chose, mais point trop n'en faut !
À trop vouloir les préparer à ce que vous allez dire, à trop décrire qui vous êtes et ce que vous faites et pourquoi vous êtes là, vous perdez votre auditoire. Auditoire qui ne vous laissera que rarement une seconde chance d'accrocher leur attention.
Attaquez directement dans le gras du sujet. Tapez droit dans la matière. Commencez tout de suite là où il y a du sens, de la chair, de l'intérêt... et laissez le blabla habituel que l'on entend au début de toutes les présentations pour celui ou celle qui parlera après vous !

mercredi 6 juin 2018

Le beefsteak de vos auditoires

Vous connaissez le "wiifm" !
Sûrement ! C'est le "What's in it for me"... A quoi ça va me servir ? Qu'est-ce que je vais recevoir ? En quoi cela va m'être utile.
Lorsque vous parlez, quelque chose dans leur tête ne cesse de se poser cette question : En quoi tout cela est pour moi ? Que vais-je en faire qui va me permettre d'y gagner quelque chose.
Si vous n'êtes pas en mesure de répondre à cette question, il est probable qu'ils ne vous écoutent déjà plus.
Il est temps d'être un peu cynique. Ils ne sont pas là à vous écouter parce que vous avez de beaux yeux. Ils sont là pour leur beefsteak et vous avez plutôt intérêt à le leur servir...

mardi 5 juin 2018

La leçon de Fonzie...

Si vous souhaitez les convaincre, leur donner envie de vous suivre et éventuellement de faire ce que vous souhaitez, pensez à rester... cool.
N'y allez pas trop fort, pas trop vite, pas tout de suite !
Vous n'avez pas séduit votre compagne ou votre compagnon en vous jetant dessus de toute vos forces et en lui hurlant au visage que dans moins de deux semaines vous seriez mariés !
Vous y avez mis les formes, pris votre temps, montré que vous n'aviez rien d'un fou, d'un empressé, d'un impatient... Vous avez su prendre les chemins de traverses. C'est cela la séduction.
Eh bien, c'est aussi ainsi que cela marche avec votre art.
Prenez les chemins de traverses, parlez leur doucement, avec attention. Revenez régulièrement sous leur fenêtre. Donnez leur ce qu'ils veulent entendre, reprenez-en une part, surprenez-les de temps à autre.
Je ne connais personne qui ne désire pas être séduit.
Je vous le dit : restez cool. Séduire prend du temps. Mais c'est du temps qui le vaut bien !

Et pour tous ceux qui ne connaissent pas Fonzie...


lundi 4 juin 2018

Avoir l'air un peu moins con...


Phénomène des temps nouveaux...
Il est sans sans doute temps que quelqu’un vous l’avoue : vous avez l’air con (conne) quand vous marchez en regardant votre téléphone.
C’est dangereux. C’est gênant pour les autres au point qu’il y a fallu un nouveau signe dans le métro de Sao Paulo au Brésil. Vous manquez ces courts échanges de regard dont le prochain pourrait bien venir de celle ou de celui qui aurait pu partager votre vie si seulement vous l'aviez rencontré(e) !… Vous manquez aussi ces moments de contemplation dont seule la marche a le secret et durant l'un desquels vous pourriez avoir cette idée qui changera votre vie. Vous vous fermez à ces moments d’attention à vous-mêmes qu'il est devenus si difficile de trouver. 
La technologie nous reprend parfois d’une main ce qu’elle nous donne de l’autre !
A moins de choisir autrement !

vendredi 1 juin 2018

Le petit au service du grand...

Ce sont les champions qui le disent : le succès se construit un jour après l'autre. Chaque jour accomplir de petits progrès.
Petits progrès.
Et de petits progrès en petits progrès, l'excellence s'installe, la performance exceptionnelle devient possible.
Jour après jour.
Ok.
Mais petits comment ?
Chaque mot que vous prononcez, chaque action dans laquelle vous vous engagez, à chaque instant, vous aident-ils à aller dans la direction que vous vous êtes fixés ?
Ces progrès se logent dans le moindre de nos gestes, la moindre de nos croyances, la moindre de nos pensées. Cela peut paraître intimidant. Mais souvenez-vous : petits progrès. Petits.