lundi 30 novembre 2015

Un voyage...

Et si vous ne réussissiez pas ?
Et si ce but que vous vous êtes donné ne vous était jamais offert ?
Qu'importe ! 
L'art est un voyage.
Le but importe peu.
L'important est de partir.
L'important est de marcher.

Un pas, puis un pas, puis un pas !

vendredi 27 novembre 2015

De la nécessité d'abandonner...

Abandonner peut être salutaire. Il est impossible pour un être humain de tout faire, de répondre positivement à toutes les opportunités.
Abandonner peut aussi être la pire des choses.
De tout ce que vous pourriez être tenté d'abandonner, il est une chose à laquelle vous ne vous pardonnerez jamais d'avoir renoncé : votre rêve.
Mais l'accomplissement de ce rêve peut signifier aussi des centaines d'abandons.

La vraie difficulté : savoir choisir entre ce à quoi il est nécessaire de renoncer et que garder.

jeudi 26 novembre 2015

Au milieu de tout ce bruit !

La plupart des entreprises se voient comme différentes des autres. La plupart de ceux qui communiquent considèrent que ce qu'ils ont à dire a une réelle importance. Que tout ce bruit ambiant, ces pubs, ces billets de blog, ces commentaires, ne sont rien comparés à la valeur des messages qu'ils souhaitent communiquer.
Vous n'êtes pas spéciaux. Votre bruit est du bruit qui se mêle au bruit général.

Une fois que vous aurez accepté cela, pourra commencer le vrai travail.

mercredi 25 novembre 2015

Un génie est né...

Le mythe que nous continuons de nourrir : celui de cet individu venu de nulle part ou d'un endroit obscur et isolé, totalement préparé et compétent, d'une expertise et d'un art parfaitement mature, vainqueur du jour au lendemain d'un César, d'un Goncourt, d'un Nobel…
Cela n'existe pas. Aussi fort que vous puissiez vouloir y croire.

L'excellence ne vient jamais de nulle part.

mardi 24 novembre 2015

La bonne histoire

Chacune de vos diapositives PowerPoint est là pour raconter une histoire.
Chacun des graphiques, des photos, des "bullet-points" que vous souhaitez faire figurer sur une diapositive doit raconter quelque chose.
L'alternative à "raconter quelque chose" est de "donner de l'information brute". Pour transférer de l'information brute, un document est suffisant.
Rédiger un mémo avec cette liste d'informations brutes et envoyez-le. Cela sera suffisant.
Mais si vous faites le choix d'aller en parler, de vous adresser à eux, d'aller à leur rencontre, alors vous devez avoir la bonne histoire pour eux, celle qui les fera changer d'avis, changer d'opinion, changer de vision.
Personne n'a jamais changé d'avis ou d'opinion à la vue d'une liste sur une diapositive PowerPoint. 

lundi 23 novembre 2015

Au village, sans prétention...

Votre réputation est basée sur ce que vous faites. Si vous êtes partie d'une entreprise, cette réputation sera basée sur ce que feront l'ensemble des collaborateurs.
D'où l'intérêt de vous assurer que ce que vous faites correspond bien à la réputation que vous souhaitez avoir et aussi, mais surtout, que ce que vous faites correspond bien à ce que vous clients attendent de vous. Alignez ce que vous faites sur les actions qu'ils attendent de vous et votre réputation sera faite : pour le meilleur ou pour le pire. 

vendredi 20 novembre 2015

La première présentation d'un leader...

À la question de savoir ce que font les "leaders", la réponse que je donne est : ils sont ce qui savent le mieux faire agir. 
Un "leader" n'est autre qu'un individu capable de transmettre sa vision et de conduire à l'action autour de cette vision.
C'est simple. Le premier job du leader est de trouver des relais d'actions.
La première chose à faire dans cette quête est de commencer par trouver des gens qui ont envie d'agir, motivés par la même chose. Trouver ceux qui sont déjà convaincus !
Si vos auditoires n'auront pas tous à être faciles, avant de vous frotter à de tels obstacles, commencez par entraîner ceux qui ne demandent que ça, ceux qui ont en eux déjà assez de motivation.
Ils seront votre premier cercle, vos premiers relais, les premiers de votre tribus. 

jeudi 19 novembre 2015

Le meilleur endroit pour vendre votre projet n'est pas un ascenseur...

Récemment, un stagiaire m'annonce que parmi les présentations sur lesquelles il souhaiterait travailler, se trouve son "elevator pitch".
Une version condensée de ce qu'il vend, propose et, globalement, de son projet. Le problème, c'est qu'il est impossible de faire une présentation de deux minutes sur un sujet aussi large, aussi vaste. Il est impossible de vendre correctement quelque chose en aussi peu de temps, c'est ainsi et c'est tant mieux. 
Le meilleur "elevator pitch" ne "pitch" pas votre projet. Il ne le pourrait en aussi peu de temps. Ce que vous allez "pitcher" dans l'ascenseur, c'est vous ! Vous et votre passion, votre enthousiasme, votre plaisir dans la réalisation de ce projet. Ce que vous allez "pitcher", c'est tout ce qu'il y aurait à gagner à passer plus de temps ensemble, à prendre un rendez-vous. 
Pour cela, votre "elevator pitch" ne peut pas être une phrase hautement peaufinée dans laquelle le moindre mot a été pesé et repesé, mais c'est un extrait de conversation, c'est quelque chose d'authentique et de réel, c'est une fulgurance, un teaser, la promesse d'une conversation passionnante... 
Votre objectif n'est pas de résumer, mais d'ouvrir. De faire en sorte que la personne à qui vous donnez ce "pitch" ait envie de vous revoir. Que vous l'ayez  touchée, émue, remuée.
Un "elevator pitch" n'est autre qu'une conversation, un intense moment de connexion et non un condensé de vos accomplissements. 

mercredi 18 novembre 2015

La sécu... Merci qui ?

On le sait peu, mais nous devons, par la bande il est vrai, notre "sécu" aux nazi.
D'abord, il est important de dire que la sécu, cela fonctionne. C'est un coût et ça le sera toujours, mais cela ne représente en France que 10% du PIB, contre 15% aux USA où la santé est confiée à des intérêts privés.
Ensuite, cela m'intéresse parce que cela permet de questionner le système dans lequel nous évoluons, système qui doit changer, qui changera plus nous serons nombreux à le remettre en question !
À l'origine, la santé, comme le reste, en France comme ailleurs, devait être du ressort de la sphère privée. Le système capitaliste dans lequel nous vivions y veillait.
Puis il y eut la guerre. La deuxième guerre mondiale. Les capitalistes, dans leur majorité coopérèrent avec l'occupant. Pas les communistes. À la libération, ceux-ci arrachèrent des pans entiers de l'économie de l'influence de la sphère privée, que sa honteuse collaboration privait du droit d'y trouver à redire. Les cotisations sociales étaient nées et notre système, imparfait, mais aussi tellement plus juste que tout ce qu'il est possible de trouver ailleurs.

Nous pouvons penser notre économie autrement que par la Loi du marché.

mardi 17 novembre 2015

Lendemains...

Ils sont si nombreux à nous avoir quitté.
Ils nous rappellent à notre devoir de vie. 
Ils nous rappellent de revenir à cet objectif que nous nous étions donnés et sur lequel nous n'avons pas progressé depuis des mois.
Ils nous rappellent aux risques que nous devons prendre et à la générosité que nous devons montrer à ceux qui nous entourent.
Ils nous rappellent tout ce que nous pourrions faire et que n'osons pas.
La mort est utile lorsqu'elle inspire et illumine le monde des actes de ceux qui furent épargnés.

lundi 16 novembre 2015

Peur

Nous avons peur. Il serait presque insensé d'affirmer le contraire. Savoir que près de 130 de nos concitoyens, des gens que nous croisons dans les rues de nos quartiers sont morts assassinés par des meurtriers fanatiques est terrifiant.
Mais il serait absurde de nous lancer dans une chasse aux sorcières, de chercher des coupables trop évidents et de vouloir se rassurer dans la danse inutile qui consiste à pointer du doigt le premier venu pour se sentir mieux.
La situation est complexe. Les solutions le sont aussi. Le terrorisme fait peur. Mais le terrorisme ne l'emporte qu'au moment où cette peur nous conduit à faire n'importe quoi - à changer qui nous sommes, ce que nous sommes. 

Il est certainement plus efficace de reconnaître cette peur. D'en rester là. Puis de résoudre le problème. 


vendredi 13 novembre 2015

Les gens vous détestent-ils vraiment ?

Je le dis souvent, mais il ne fait pas de mal de le répéter : ce n'est jamais personnel. Ce n'est pas vous que les gens détestent lorsque vous venez de finir de parler, mais c'est le changement que ce que venez de dire risque de produire dans leur vie. Les gens détestent le changement. À un tel point que cela peut les conduire à des comportements parfaitement irrationnels et absurdes. Mais toute cette irrationalité ne doit pas vous faire oublier que ce n'est pas de vous dont il s'agit. Les gens ne vous détestent pas. Il déteste le changement.

Face à cela, pour difficile que cela puisse paraître, le changement reste nécessaire ! Ce changement continue d'avoir besoin de votre voix pour avoir lieu.

jeudi 12 novembre 2015

Succès et échec : les deux sont certains...

Ce que vous faites n'est pas pour tout le monde. Ce que cela veut dire, c'est que dans une certaine proportion, quoi que vous fassiez, vous allez échouer ! Vous allez vous planter aux yeux d'une minorité d'individus. Mais cela veut aussi dire que votre réussite est tout aussi certaine, puisqu'aux yeux d'une majorité, ce sera un succès.
Je n'ai pas le souvenir, alors que j'étais encore comédien, d'une représentation après laquelle 100% des spectateurs dans la salle soient venus me dire que j'avais été parfait. Je n'avais d'ailleurs qu'à me souvenir des quelques visages impassibles repérés dans le public pour savoir que pour certains, nous venions de nous planter. Que notre interprétation de la pièce n'était pas bonne à leur goût. Mais tout cela est évident. Si certains n'apprécient pas, l'important est que le plus grand nombre se rangent du côté de ceux qui soutiennent, qui supportent et qui accompagnent. Du côté de ceux qui vont en parler, pour créer le public de demain.

Succès et échec sont les deux faces d'une même pièce. Le reste est question de point de vue qui est lui-même question de choix. 

mardi 10 novembre 2015

Ce n'est sûrement pas de sa faute...

J'assiste à l'enterrement d'un être cher, très cher. 
Arrive le moment de la mise en terre et le caveau n'est pas ouvert. Le cercueil doit être placé dans un caveau provisoire et il s'en suit un moment surréaliste où la personne en charge de l'ouverture nous explique que ce n'est pas de sa faute, que le caveau n'a pas été scellé avec soin, que d'autres personnes ont fait du mauvais travail, que ces autres personnes auront à rendre des comptes. Que ce n'est pas de sa faute.
Ce n'est peut-être pas de sa faute, mais c'est sûrement de sa responsabilité...
Il y a des jours où l'amateurisme ajoute à la peine... et c'est tout bonnement pathétique.

lundi 9 novembre 2015

Si vous n'êtes pas un avocat, n'écrivez pas comme un avocat...

Écrire un email, une lettre, à un client, devrait être une opportunité pour raffermir le lien, renforcer la connexion que vous avez su créer… et le plus souvent, cette opportunité est gaspillée par ce réflexe, cette habitude désastreuse : l'écrire façon entreprise.
Les "Je reviens vers vous suite à votre email du 18 courant dans lequel vous me signifiez qu'il sera désormais inutile de vous envoyer les commandes enregistrées durant les jours ouvrés…" ou les " J'accuse réception de votre message et vous remercie de ce qu'il contient. Nous sommes bien entendu très conscient des problèmes que vous ont causé les défauts de fabrication de notre dernier modèle de moteurs et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous…" donner l'impression que nous n'en avons pas grand chose à faire !
L'écrire entreprise est une plaie parce qu'il met de la distance là où devrait se trouver de la proximité. Vous devriez penser ces lettres comme des dialogues, comme de petites présentations faites face à face dans le secret de votre bureau… et retranscrire sur le papier ce que vous diriez si cette conversation avait lieu.
"Cher Jean, ce que je viens d'apprendre m'a stupéfié. On me dit que notre dernier modèle de moteur aurait ruiné une semaine de production du produit x, celui sur lequel nous avons tant travaillé, et dieu sait si nous y avons mis tout notre cœur. Nous nous connaissons bien et vous savez que je n'exagère pas quand j'écris que j'ai les boules ! Nous avions vu… etc…"
Écrivez comme vous le diriez et oubliez ce style abscons qui n'est là que pour vous aider à vous cacher, à masquer le vrai sens de vos mots, à ne pas prendre le risque de la relation.

Les avocats éplucheront peut-être un jour vos emails, certes, mais à moins de mentir de façon éhonté, on ne vous reprochera jamais d'avoir pris soin de vos clients et de leur avoir épargné ce charabia.

vendredi 6 novembre 2015

Des mots qui guérissent ?...

Face à quelqu'un qui souffre, la tentation est bien souvent de trouver les mots qui soignent, qui soulagent, qui allègent. 
Ces mots n'existent pas.
Dans la marée sombre de la peine, de la tristesse et de la difficulté, il n'y a pas de mots qui puissent réellement aider, soulager... Ou si peu...
Face à quelqu'un qui souffre, la seule chose que vous puissiez faire qui ait un tant soit peu de sens, c'est d'entendre cette souffrance, de la voir en l'autre, de  reconnaître sa présence et de tenter, autant qu'il est possible, de la comprendre. 
Peut-être alors vous viendront des mots.
Bien souvent, le silence s'imposera.

jeudi 5 novembre 2015

Chance ou méthode ?

Passionné de narration, je vous recommande chaudement l'ouvrage : Story Grid. Si comprendre la mécanique d'une histoire qui fonctionne fait partie de vos objectifs dans l'existence, pour, sait-on jamais, nous raconter un jour votre version de "Cinquante nuance de Grey" !
Dans ce livre, je tombe sur la phrase suivante :

" It took me twenty-two years [Shawn writes] to figure out The Story Grid was not something that any other book editor I knew used. After innumerable lunch and drink dates, I found out that they didn’t create their own method to evaluate work by studying Story structure. And they thought I was kind of a nerd for doing that myself. "

Il est frappant de voir à quelle point nous nous reposons sur ce que nous appelons notre instinct ou les habitudes que nous avons acquises pour faire notre travail. Le risque est alors de faire pour faire, de ne plus progresser, de ne plus questionner.

Nous avons créé une méthode pour vous permettre de comprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas pour vos présentations et ce qu'il vous faut pour les réussir de façon systématique .
La plupart de ceux que je croise doute que cela puisse seulement exister. Et pourtant !
Je vais même plus loin, nombreux sont ceux qui ne l'utilisent pas, même si elle est à leur disposition…

Faire preuve de méthode demande un effort, c'est sûr, mais cela ôte sans aucune ambiguïté toute forme de magie dans ce que vous faites, réduit le rôle de l'inspiration à la portion congrue, exige de vous un travail concret et réfléchi et enfin, cela gomme le facteur chance… Et cela ne plaît pas à tout le monde !

mercredi 4 novembre 2015

Qu'est-ce qui vous rend intéressant ?

Qu'est ce qui vous rend intéressant ? Lorsque nous prenons la parole en public, notre intention première est de les intéresser, qu'ils ne s'ennuient pas... S'ils s'ennuyaient, ne quitteraient-ils pas la salle, nous laissant seul avec l'éternité des étoiles pour digérer cette humiliation !...
La question se pose, bien sûr, de savoir ce qui vous rend intéressant.
Je pense qu'il y faut assez peu de chose.
La première, ce qui vous rendra intéressant à leur yeux, c'est tout d'abord que vous parliez de votre expérience, de votre vision des choses, de votre vérité. C'est en exprimant ce que vous avez vécu dans telle ou telle circonstance qu'ils pourront comprendre et envisager de quoi il retourne vraiment. Si vous vous contentez de lister les conséquences de vos décisions, vous abandonnez tout ce qui rend votre expérience humaine en une liste aride de faits.
La seconde, sortir de l'ordinaire. Ils attendent de vous que vous les surpreniez. Qui apprécie de voir deux fois le même film ? Personne ! Pourtant, toutes les présentations professionnelles se ressemblent, sonnent de la même manière et mènent aux mêmes résultats : nul !
Si vous faites le choix de parlez de vous (non, parler de vous n'est pas prétentieux, c'est courageux !) et le choix de les surprendre, vous (re)deviendrez intéressant.
Avant d'être une question de maîtrise et de technique, être intéressant est d'abord une question de choix !

mardi 3 novembre 2015

Côte à côte

L'objectif de toutes présentations faites en face à face devrait être d'avoir en point de mire de s'assoir du même côté de la table.
Lorsque vous vous adressez à un prospect ou un client, que vous avez quelque chose à lui proposer, ce dernier vous donnera, à un moment ou à un autre, son opinion sur votre proposition.
Le réflexe est de répondre, de lever les objections, de trouver, dans l'instant les bonnes solutions aux problèmes qui vous sont posés.
Que se passerait-il si au lieu de vouloir trouver la bonne solution, vous preniez en considération ce que vous veniez d'entendre et proposiez à votre client ou à votre prospects de travailler avec lui à trouver cette solution. Si vous faisiez le choix de prendre le feedback que vous venez d'entendre et changiez de place pour venir vous assoir côte à côte.
Lorsque vous associez vos prospects ou vos clients à la solution dont ils ont besoin, ils deviennent naturellement bien plus enclin à vous suivre, à acheter ce que vous proposez et vous faciliter la tâche dans l'exécution future.

lundi 2 novembre 2015

Le mythe de la page blanche !

Il peut vous arriver de faire face à la fameuse page blanche. Ce grand mythe des temps modernes…
Je suis toujours étonné par ce mythe, parce que s'il existait vraiment un blocage face à la page blanche, ce type de blocage devrait aussi se produire à l'oral. Or, en plus de 15 ans de pratique, je n'ai encore vu personne me dire : " Je suis bloqué. Je suis face à quelque chose de blanc ! Je ne peux plus dire un mot ! ".

Il n'y a pas de blocage à l'oral (autre que ceux, possibles, liés au stress, mais je parle là de ce mythe qui veut que la page blanche puisse nous bloquer par le seul fait que tout reste à faire, que l'inspiration ne vient pas, qu'il manque quelque chose de divin pour que la main s'anime et écrive !) parce qu'il faut bien parler !
La page blanche ne vous bloquera plus lorsque vous aurez accepté qu'il faut bien écrire... quoiqu'il sorte de votre plume !
Mieux, lorsque la page blanche vous semble devenir bloquante, prenez le dictaphone de votre smartphone et parlez ! Puis posez sur papier ce que vous venez de dire... Le blocage n'y résistera pas !