mercredi 31 mai 2017

Au programme...

Je regardais hier le tableau récapitulatif des formations prévues cette semaine chez ce client chez qui je travaille.
Sur la semaine, je suis le seul à venir donner une formation qui ne soit pas technique. 634 heures de formation et seulement 16h de savoir-être...

Votre attitude compte, votre façon de faire ou de dire ou de vous comporter compte. Plus que vous ne l'imaginez.




mardi 30 mai 2017

If you have a meeting today...

As I read recently in an article published on LinkedIn:
  • There are 25 million meetings per day in the United States
  • More than $37 billion per year is spent on unproductive meetings
  • $338 is the average salary cost per meeting (this skyrockets when high-paid business leaders attend)
  • Approximately 50 percent of meeting time is wasted


Cost busters!!

Toute blague à part, il est possible de traiter ce problème. Le problème, ce ne sont pas les réunions - il est bon de se réunir pour prendre des décisions fondées sur le savoir du plus grand nombre. Le problème est que le plus grand nombre n'a aucune idée de ce qui est en jeu lorsque le moment est venu de prendre la parole. S'en suivent des interventions trop longues, vagues, durant lesquelles il ne s'agit que de parler de ce dont on a envie de parler, de digressions confuses et j'en passe. 
Ceci peut changer !

lundi 29 mai 2017

Changer...

Citation : “Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself.” - Leo Tolstoy

Ce qui donne dans la langue de Molière : " Tous pensent à changer le monde et jamais à se changer eux-mêmes. " Tolstoï

Le potentiel de transformation d'un individu est infini, immédiat et enthousiasmant.


vendredi 26 mai 2017

Avez-vous un mégaphone ?...

Dans le monde d'aujourd'hui, tel qu'il se construit, ce qui compte n'est plus de crier plus fort que les autres pour être entendu, ce qui compte et ce qui permet de réussir, c'est d'écouter plus attentivement et offrir exactement ce dont vos clients ou vos prospects ont besoin.
L'ère du mégaphone a vécu.

mercredi 24 mai 2017

Tout ce qu'il est possible de dire en 5 minutes...

On me pose la question : "Je dois intervenir 5 minutes lors d'un colloque… Cela me laisse le temps de développer 3 idées n'est ce pas ? Je n'aurais pas le temps d'en dire plus."

Et pourquoi pas une seule idée ? Une idée qui ait du poids et dont ils se souviendront. Une idée majeure qui pourrait bien tout changer pour eux, en 5 minutes. Une seule idée qui leur donne envie de venir vous parler pour en savoir plus et vous donner le temps de développer en face à face ou lors d'une autre occasion toutes les idées que vous portez et qui pourraient les intéresser. Il est tentant de vouloir tout dire, mais tout dire c'est bien souvent ne rien dire parce qu'en face, ils n'écoutent pas, ne sont pas concentrés… Pour toutes les bonnes raisons du monde. Alors une idée, mais une idée qui traverse l'indifférence et les force à vous écouter. 

mardi 23 mai 2017

Y a d'la joie...

La joie.
C'est la seule émotion que mère nature ait jugée digne de nous léguer qui soit "positive".
Les autres sont plutôt identifiées comme "négatives" : Tristesse, dégoût, peur et colère.
Pour cela, la joie est précieuse.
Elle n'apparaît que rarement, a des moments bien précis… et lorsque la joie est là il importe de ne laisser personne vous la voler… et ceux qui volent votre joie sont légions ! Ils sont partout ! Vos enfants, vos parents et tout ce qu'il faut faire pour eux, vos collègues qui ne comprennent pas vos intentions et cancanent dans votre dos, votre boss qui ne pense qu'à ses objectifs et ne comprend pas que vous ayez besoin de temps pour vous ou pour vous consacrer à un autre projet… Tous ceux-là, que vous aimez ou appréciez ou respectez pourtant, peuvent aussi voler votre joie et même s'il y a beaucoup de choses que vous devez à vos enfants, vous ne leur devez pas votre joie. Beaucoup à vos collègues, mais pas votre joie… et votre boss ne devrait pas, par ses exigences voler votre joie.
Nous n'avons qu'une émotions qui soit "positive"… ce qui veut dire qu'à moins d'être dans la joie...

Alors restez sur vos gardes et ne laissez personne voler votre joie !

lundi 22 mai 2017

Il y a de l'Alien chez votre dirigeant !...

"La valeur n'attend pas le nombre des années", certes, mais aussi : "Le nombre des années ne garanti pas la valeur"…
Perplexe devant le dernier opus de Monsieur Ridley Scott, réalisateur tant admiré en son temps… je me demandais comment il était possible qu'un homme qui réalisa autant de miracles créatifs (Alien, Blade Runner pour ne citer qu'eux) produit aujourd'hui des œuvres que je ne parviens pas à trouver à la hauteur (et c'est un euphémisme...).
Bien sûr, il est impossible de savoir le fond de l'histoire et ce qui fait que R. Scott n'a plus la même vista… et que devient le talent avec les années qui passent, mais tout au fil de ma réflexion, il m'est venu cette pensée…
Regardez autour de vous, qui vous dirige ? Qui a la main sur le devenir de votre organisation ? Et demandez-vous : de quand date ce moment au cours duquel cette personne a remis en question ses savoirs, ses connaissances des dessous de son environnement, s'est formée à quelque chose, s'est mis en position de se trouver en tension, hors de sa zone de confort, dans sa zone de risque, celle où l'on apprend, celle où le danger perçu aiguise les sens et permet de se dépasser…
La réponse, je la connais : les dirigeants ne se forment pas. Pas assez. Les statistiques sont édifiantes, pour ne pas dire affolantes. Jugez plutôt : 13% des patrons de PME n'ont jamais suivi de formations, 54% d'entre eux avouent ne se former qu'une fois par an et à 84% pour des raisons de manque de temps... 

Se former n'est pas une question d'âge ou de compétence, c'est la seule manière de rester dans la partie, de rester vif et alerte, de garder la main sur les perceptions de ce qui compose un environnement en complète et constante mutation. Ne pas se former, sérieusement et régulièrement et c'est la garanti de prendre les décisions d'aujourd'hui avec les réflexes d'hier avec tous les risques que cela suppose.


Alors pour éviter le syndrome "Covenant", du titre du dernier Alien… et pour en reprendre le ton : "Vous voilà prévenus !"…

vendredi 19 mai 2017

"Comme un avion sans aile..."

Je le vois parfois... des gens qui font le minimum, et le maximum pour ne pas être repéré, identifié, responsabilisé, viré...
Comme un bateau qui ne ferait que flotter...
Un bateau sans voile, sans moteur, sans énergie est encore pire qu'un avion sans aile. Il donne l'illusion de l'utilité, l'illusion d'être là, l'illusion de pouvoir encore larguer les amarres.
Mais qui a besoin d'un bateau s'il ne peut traverser les océans ?

jeudi 18 mai 2017

Chacun à sa place...

Important de le rappeler :
Vous n'êtes pas le problème.
Le problème est le problème.
Point.

mercredi 17 mai 2017

Patate chaude !

Il y une phrase que l'on entend trop souvent, que ce soit dans les organisations, mais aussi dans nos sociétés : " Ça n'est pas mon problème ! ".
Il se trouve que dans une organisation, lorsque nous sommes tous dans le même bateau, lorsque du travail des uns dépend la qualité du travail des autres, il devient quasiment impossible de se trouver confronté à un problème qui peut réellement ne pas être le vôtre ! Tout problème auquel vous faites face devient le vôtre, parce que si vous vous en désintéressez, un autre que vous devra en prendre la responsabilité. Avant que cela n'arrive, les dégâts seront peut-être considérables...
Au lieu de se dire : " Ça n'est pas mon problème ! ", pourquoi ne pas se demander : "Et si c'était mon problème ? quelles actions prendrais-je pour le résoudre ? ".
Pourquoi ne pas en prendre la responsabilité ?

mardi 16 mai 2017

Haute tension...

Je travaille bien souvent en deux temps, un premier temps pour  révéler et un deuxième temps pour installer ! L'orateur d'abord et son contenu ensuite. C'est comme cela que cela marche le mieux. Par conséquent, il m'arrive fréquemment de revoir ceux avec qui j'ai travaillé. De faire le point sur ce qui s'est passé pour eux depuis les révélations des deux premières journées de travail. L'une de ces anciennes stagiaires m'a confié se souvenir d'avoir été, pendant deux jours, sous tension. Elle se souvient de la constance de cette tension et de ce sentiment que rien ne se relâche, qu'à chaque instant il peut se passer quelque chose, qu'à chaque seconde une découverte peut se produire, un pas en avant avoir lieu… Je travaille avec cette tension. Je la souhaite. Je veux que ceux avec qui je travaille restent deux jours durant en tension. C'est le signe du possible. La tension est différente de la peur. La peur paralyse, menace, ondule.  La tension affute, soutient, engage.
Elle est inconfortable, mais c'est elle qui garantit qu'il se passe quelque chose, qu'un apprentissage est en cours et qu'au bout de ce processus, un changement aura lieu.

Pour être à l'aise avec la tension, il faut l'être avec le changement. Beaucoup renoncent.

lundi 15 mai 2017

Ce que coûte une autoroute...

On m'a rappelé il y a peu ce discours de Malraux, le 27 octobre 1966 devant l'Assemblée Nationale et sa conclusion :

" Je le dis clairement : nous tentons la culture pour chacun.
Cette tentative signifie que nous devrions, dans les dix ans, avoir en France une maison de la culture par département. Avec une maison par département nous ouvrons la France. Alors qu'il coûte extraordinairement cher de faire un ensemble de représentations réparties sur cinq maisons de la culture, il est extrêmement bon marché, quand on a réalisé un prototype, de le multiplier par quatre-vingts.
Par conséquent ne jouons pas à créer une maison de la culture par an bien gentiment ; agissons sérieusement, en sachant, mesdames, messieurs, que ce que je vous demande, c'est exactement vingt-cinq kilomètres d'autoroutes !
Pour le prix de vingt-cinq kilomètres d'autoroutes, nous maintenons que la France qui a été le premier pays culturel du monde en son temps, qui est en train de refaire des expériences sur lesquelles le monde entier a l'œil fixé, la France pour cette somme misérable, peut, dans les dix ans qui viendront, redevenir le premier pays culturel du monde. "


En ces temps d'élection, j'aimerais assez que nous revenions à ces projets lumineux. A ces envies prometteuses. Et que nous nous souvenions que 80 maisons de la culture coûtent ce que coûtent 25km d'autoroutes.
J'aimerais assez qu'un ministre de la culture reprenne ces mots à son compte. Puisque la place est à prendre...

vendredi 12 mai 2017

Un os dès le début...

Il n'en est pas un pour être né de la dernière pluie, pour avoir reçu le ticket gagnant d'une page blanche à la naissance et pouvoir se dire : tout commence ici !
En fait, nous naissons tous avec des siècles d'histoire, avec cette pression du temps, de la famille, les névroses et les secrets... Nous naissons tous avec un bagage.
Pour certains, il ne s'agira que d'une formalité. De belles rencontres, quelques conseils avisés et tout ira bien. Pour d'autres, ce sera plus difficile : rien n'avancera, le doute s'installera et il faudra du temps et de belles rencontres pour s'en sortir. Mais pour nous tous, existe cette nécessité, celle de se construire avec qui nous sommes et avec ce qui nous est remis dès la naissance et même avant. Je ne parle pas de génétique, je parle ici de ce que l'environnement, les circonstances, placent de pression sur ce que nous aspirons à devenir.
Bien sûr, il y a les chanceux, mais ils ne sont pas si nombreux que cela.
Pour l'immense majorité d'entre nous, vivre appelle un travail.

Puisque nous sommes tous à la même enseigne, ne vaut-il pas mieux nous entraider ? 

jeudi 11 mai 2017

Face à l'éternité...

Avant que vous ne veniez au monde, l'univers existait depuis, selon les dernières estimations, depuis environ 14 milliards d'années. Nous ne sommes pas encore bien certains de ce qu'il y avait avant le Big Bang.
Après votre mort, ce déroulera une éternité de temps sans que vous ne reveniez jamais.
Entre les deux, 7, 8 peut-être 9 décennies. Votre vie.
Bref, une éternité derrière, une éternité devant et entre les deux, cette infime moment, cette fraction de seconde à l'échelle de notre univers...

Il est peut-être temps de cesser de vous inquiéter de ce que les autres pensent de vous...

mercredi 10 mai 2017

PIXAR

Parce que leurs équipes sont à ce point brillantes et talentueuses, elles sont parvenus à réaliser une sorte de miracle. Leur travail parle à une audience plus large et plus vaste que l'immense majorité des long-métrages sortis ces dernières années. Un film de Pixar, c'est un film qui s'adresse à la masse et qui réussit à la séduire. C'est un travail qui touche et émeut les plus intelligents parmi nous, mais aussi les plus idiots.
Ceci est rare. Voire, il est déconseillé de tenter d'égaler une telle performance…
Pour un artiste, l'important est de fournir le travail et de l'offrir, sans se demander ce que le public en pensera, s'il aimera et si le succès sera au rendez-vous.
Ce que vous devez exiger de vous, c'est de travailler au meilleur de ce que vous vous sentez capable de donner, de votre intelligence (de l'œuvre, de la situation…). Au bout du compte, il s'agit de produire ce que vous aimez, ce qui vous stimule, votre art. De le proposer au reste du monde, de le rendre visible, pour qu'il existe. Le reste n'est pas de votre ressort. Il n'y pas d'autres manières de produire quelque chose d'humainement intéressant. Tenter de comprendre, d'analyser votre public et de produire quelque chose qui serait susceptible de lui plaire pour garantir votre succès, c'est devenir un Justin Bieber, un Ed Sheeran… (et c'est au passage exactement ce que le "Big Data" a à vous offrir…).


mardi 9 mai 2017

Un arbre

Un ami me rappelait récemment cette phrase de sagesse : "Un arbre qui tombe fait plus de bruit que mille arbres qui poussent...".
Et je vous imagine, dans votre coin, à produire votre art, lentement, patiemment, calmement, loin de la furie et du bruit extérieur, loin de ceux qui voudraient que tout arrive du jour au lendemain, dans la seconde et sans attendre.
Patience.

vendredi 5 mai 2017

Passer !

On le dit souvent, on le sait : les murs ne marchent pas... Les murs ne sont là que pour rappeler au devoir d'obéissance. Le mur de Berlin, la "clotûre de sécurité" en Cisjordanie, le mur que s'apprête à construire Trump sur les frontières des USA avec le Mexique, tous ces édifices ne sont pas grand chose face à un individu déterminé à passer de l'autre côté.
Existent d'autres murs. Dans nos têtes. Construit sur le ciment d'années d'éducation. Aucun d'entre eux n'est infranchissable. 

jeudi 4 mai 2017

Le problème est que ça ne se voit pas...

Alors que je regardais le débat entre nos deux candidats il m'est venu cette réflexion.
Il y a une injustice, quelque chose dans notre communication et dans notre compréhension de cette communication qui nous dessert gravement et peut parfois nous conduire à prendre de mauvaises décisions.
Pour la plupart d'entre nous, lorsque nous intervenons en public, lorsque nous prenons la parole devant des pairs en réunion, lorsque nous devons répondre à une question devant un parterre d'individus qui soudainement se taisent pour écouter notre réponse, nous sommes pris de stress. Ce stress génère toute une batterie de réactions somatiques : coeur qui bat, respiration accélérée, tremblement de la voix, sudation excessive... Réactions somatiques qui s'apparentent à celles qui nous assaillent lorsque nous racontons un mensonge, lorsque nous nous plaçons en rupture d'intégrité. Lorsque nous sommes pris de stress, nous ressemblons à des menteurs. Ce qui n'est évidemment pas une bonne chose pour nous et pour nos arguments.
Savoir détecter un mensonge, une duperie est l'une des choses à laquelle nous sommes le plus entraînés et le plus naturellement qui soit. Très tôt, nous apprenons à lire ces signes de mauvaises intentions et nous avons en nous des alertes automatiques qui nous préservent et sont là pour nous sauver la mise, quand ce n'était pas la vie.
Pour en revenir au débat, je regardais Mme Le Pen enchaîner mensonges et absurdités et d'indices physiques je ne voyais point. Son entraînement lui permet de raconter les pires avanités et cela ne se voit pas. Et cela donne l'illusion de la vérité. Et nos alertes internes, tout ce qui fait qu'habituellement nous réagissons vivement au mensonge ne se déclenchent pas et certains parmi nous se laissent duper par ce savoir-faire.
Pour vous, il est possible, à force d'entraînement, de ne plus montrer les indices qui révèlent un mensonge ou ceux qui se déclenchent lorsque vous êtes pris de stress. C'est ce que font la plupart des acteurs. Ils mentent et nous y voyons une réalité, même si elle est fiction, elle garde le goût du réel. Mais c'est un métier qui demande des heures de pratiques.
C'est pour cela que j'insiste sur la nécessité de la préparation et de la répétition. Seulement par ce biais parviendrez-vous à diminuer les symptômes du stress et à paraître authentique.

mercredi 3 mai 2017

Acquis...

Les événements récents nous rappellent, avec ce léger picotement dans le bas du dos, que ce que nous prenions pour acquis ne l'est pas tant que ça : l'Europe et la construction d'un continent uni et paisible est menacée comme jamais auparavant, nos institutions, nos valeurs sont mises en jeu dans une élection que l'on aurait tort de croire gagnée d'avance, les États-Unis sont aux mains d'un homme dont on peut, à tout le moins, douter des compétences politiques. L'avenir, s'il n'est pas noir est douteux, flou, incertain... Il y a quelques années, en dépit des crises et des difficultés, quelque chose semblait aller dans le bon sens. Plus aujourd'hui. Rien n'est acquis, rien n'est certain et c'est pour cela que nous devons tous, chacun à notre échelle, chacun avec nos moyens, lutter pour conserver la paix, la fraternité et notre liberté. Ce qui semble acquis pour toujours ne l'est en fait jamais. 

mardi 2 mai 2017

Ce dont nous avons besoin...

S'il y a une chose dont nous sommes bien pourvus, c'est d'instinct de survie. Nous prenons la plupart de nos décisions, même les plus anodines, avec quelque part aux fins fonds de notre cerveau quelque chose qui a trait à cet instinct premier. Manger du sucre au dessert : accumuler des calories pour survivre... ou encore refuser de se tenir debout face à tout un auditoire : ne pas prendre le risque d'être exclu de la tribu, pour mieux survivre. La survie fut notre seule passe-temps pendant une longue, très longue période de notre histoire.
Par voie de conséquence, cet instinct individuel de survie ne nous a pas permis de développer avec autant de perfection un instinct d'empathie. Nous ne sommes pas très doués, naturellement, à comprendre ce qui se passe chez les autres autour de nous. Nous sommes capables de comprendre ce qu'ils ressentent, mais il nous est difficile de nous mettre dans leurs chaussures et de vivre, d'accompagner, ces ressentis qu'ils éprouvent.
Pourtant, c'est cette empathie qui peut faire toute la différence dans votre communication. Là où la plupart sont le jouet de leur instinct de survie : je m'affirme, je parle de ce dont j'ai envie de parler, je taille ma route... vous pouvez changer la donne et être entendu rien qu'en faisant preuve d'empathie, de compréhension : qui sont-ils, que veulent-ils entendre, quels sont leurs besoins, comment puis-je les aider.
C'est d'empathie dont nous avons besoin, notre survie n'est plus le sujet et toute cette testostérone est bien lassante...