lundi 30 janvier 2017

Forest Trump

(traduction française juste en dessous !)

I had a dream...
On January the 29th 2017, an amazing discovery took place in a remote laboratory in Syria. By accident, a Syrian technician discovered the secret to immortality.
The guy made sure his discovery could be shared amongst all arabic nations, but also with Europe and Asia and Russia and all over the world basicaly. Not with America. Not with the Donald and his people. Of course, this was unjust. Most american were not like the Donald, but this is how the world goes. A good american was an american that could die. Still, some americans, selected with extreme caution and through a relentless screaning were offered the precious elixir and could migrate to a place where death was no longer a problem and where the ultimate richness : time, had become the property of all.
In my dream, 60 years later, the Donald was dead, most of the people who'd voted for him were dead too...  and all the Syrian and the Yemeni and the Iraki and the Irani and the Soudani and the Lybiani and the Somalian who'd witness what happened on the January the 27th were still there, enjoying their never ending life and their family in a long renovated Syria, in a peaceful Libya, in a gardenlike Somalia, in a welcoming Irak or in a friendly Iran...
America was the only place in the world where people were still dying, while in the rest of the world, because they had so much time ahead of them, people could plan in advance, understand the long run, share more, be more sympathetic to one another... and it was just like heaven.

Like the Forest* used to say: "Life is like a box of chocolate, you never know what you gonna get."







J'ai fait un rêve...
Le 29 janvier 2017, dans un laboratoire isolé de la banlieu de Damas, une incroyable découverte vient d'avoir lieu : un technicien vient de découvrir par accident le secret de l'immortalité.
Cette homme, dans toute sa sagesse, s'arrange pour que sa découverte puisse être partagée entre tous les peuples : les nations arabes, mais aussi l'Europe, l'Asie et la Russie... Mais pas l'Amérique... Pas pour Donald et son peuple. Bien sûr, c'est une injustice. Tous les américains, loin de là, ne sont pas comme Donald... Mais c'est ainsi que va le monde. A ce moment là de l'histoire, un bon américain était un américain qui peut mourir. Quelques américains, sélectionnés par des services spéciaux et après un processus extrêmement poussé se voient offrir le précieux elixir et autorisé à émigrer dans un pays, à condition qu'il fut Arabe, où la mort ne pose plus de problème et où la richesse ultime : le temps est devenu la propriété de tous !
Dans ce rêve, 60 ans plus tard, Donald a disparu de sa belle mort et avec lui la plupart des gens qui avaient voté pour lui... et tous les Syriens, les Libyens, les Iraniens, les Irakiens, les Somaliens, les Soudanais et les Yéménites qui avaient été témoins des événements du 27 janvier continuent de vivre leur vie sans fin entourés de leurs familles dans une Syrie rénovées et splendide, une Libye en paix, une Somalie fleurie, une Irak accueillante ou une Iran fraternelle ou un Soudan réconcilié ou un Yemen détendu...
60 ans plus tard, les USA demeurait le seul endroit sur terre où les hommes et les femmes continuaient de mourir tandis que dans le reste du monde, parce que les Hommes avaient enfin toute l'éternité devant eux, ils ont pu apprendre à anticiper, comprendre le long terme, prendre de meilleures décisions et être plus accueillant et fraternel avec leur prochain... et créer ce qui ressemble à un paradis sur terre.

Comme le disait si bien Forest* : "La vie, c'est comme une  boîte de chocolat, on ne sait jamais sur lequel on va tomber."


* : Forest Gump est un personnage du film qui porte son nom - "Forest Gump".

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