mardi 12 septembre 2017

Des fainéants !

C'est ce que nous sommes, la plupart d'entre nous… 
Tous fainéants, mais aussi tous talentueux…


Dès lors il est possible de travailler à devenir plus talentueux. Il est aussi possible de travailler à devenir moins fainéant ! Mieux connaître et reconnaître ce qui en nous résiste au plein épanouissement de nos talents. Quelles peurs, quelles croyances, quelles histoires nous nous racontons qui font que nous préférons attendre, plutôt que nous consacrer pleinement à ce que nous sommes censés faire.

lundi 11 septembre 2017

Arny bébé...



Ces deux images sont de la même personne : Arnold Schwarzenegger. Ce qu'elles ont en commun ? Ce sont deux images d'un enfant dont la musculature est semblable à celle de n'importe quel autre enfant. Ni plus, ni moins développée. On ne devine rien à regarder ces deux images de ce que deviendra Arnold Schwarzenegger une vingtaine d'années plus tard.
A l'évidence, Arnold Schwarzenegger n'est pas né Monsieur Univers et c'est heureux pour sa mère qui lui a donné naissance ! Non, ces muscles, cette symétrie, cette sculpture musculaire proviennent d'un entraînement drastique et quotidien. Beaucoup d'efforts pour un résultat d'exception.
Personne ne me contredira là dessus.
Je pense qu'il en est de même pour les scientifiques, les musiciens, les dirigeants d'entreprises, les athlètes de tout bord, les médecins… Tous ont fourni les efforts nécessaires pour atteindre les objectifs qu'ils s'étaient fixés. Et ce ne fut, pour aucun d'entre eux, quelque chose de facile ou de prédestiné.

Si cela fut possible pour eux, je suppose que cela l'est pour nous tous… Nous sommes tous capables d'apprendre à prendre de meilleures décisions, devenir de meilleurs personnes pour le bien de tous et de nous-même. Encore faut-il s'en donner la peine…



vendredi 8 septembre 2017

Le paradoxe du serrurier

Un serrurier se souvient de ses premiers jours. Il n'était pas bon, maladroit et pour lui, ouvrir une porte, forcer un cadenas prenait des heures d'un travail parfois pénible. Les gens le regardait lutter contre la serrure, transpirer pendant des heures avant de parvenir à un résultat. Devant tant de bonne volonté, la plupart de ses clients acceptait de le payer grassement et même de lui donner un petit extra, pour la peine… Puis notre serrurier s'est amélioré, il a appris son métier, compris le fonctionnement des choses… ça n'est pas arrivé du jour au lendemain, à l'évidence, mais à force de travail et d'investissement et aujourd'hui, le voilà capable d'ouvrir une porte, de forcer un cadenas en quelques secondes, sans même y penser. C'est le métier… Mais lorsqu'il demande à être payé, les gens le regarde avec dégoût : comment, vous voulez autant d'argent pour un travail qui ne vous a pris que quelques secondes, c'est une véritable arnaque ! Jamais de la vie !

jeudi 7 septembre 2017

Le choix de Charles Mochet...





En 1928, un nouveau modèle de vélo couché est mis sur le marché par les pères et fils Mochet. Il permet aux coureurs de gagner en pénétration dans l'air et donc d'améliorer significativement leur temps. Il est confié en 1933 à un coureur d'origine modeste, inconnu sur le circuit : Francis Faure. Celui-ci bat alors sept records internationaux face à ses concurrents assis. Un an plus tard, l'UCI bannit ce type de cycle des compétitions officielles. Le motif officieux : préserver le marché des constructeurs de vélos classiques, mais aussi sécuriser les autres cyclistes qui avaient dû travailler dur pour parvenir à leur niveau de performance alors que Francis Faure semblait sorti de nulle part.

Nous sommes aujourd'hui en 2017, et ce bannissement injustifié se prolonge. Les cyclistes qu'il fallait protéger sont morts, les constructeurs et leur lobby se sont éteint, mais la règle persiste.

L'habitude, l'obéissance, la résistance au changement, sont des explications… mais a bien y regarder, combien de ces règles absurdes continuent d'être appliquées alors que plus rien ne le justifie ?

mercredi 6 septembre 2017

In Me I trust...

Dans vos affaires, vos échanges, vos contacts, il y un ingrédient que vous vous devez de maintenir à un niveau suffisant : votre confiance en vous-même.
Cette fameuse "estime de soi", si elle n'est pas au rendez-vous, si elle vous fait défaut au moment crucial, alors tous vos efforts l'auront été en vain.
La confiance en soi, c'est se savoir capable de quelque chose avant de réaliser ce quelque chose. C'est se dire : je saurai faire. Et cela ne dépend que de vous, de vos expériences passées et de ce que vous avez su en retenir ; de l'histoire que vous vous en racontez.

La confiance en soi est une histoire, une construction et cette histoire vous appartient…

mardi 5 septembre 2017

Calife à la place du Calife...


Une chose est certaine, on ne devient pas Calife à la place du Calife du jour au lendemain. On ne devient pas pianiste virtuose en quelques semaines. On ne change pas les choses, les gens, les idées, les manières de faire... en un discours, une action, un face à face… Mais à force, à la longue, un échange après l'autre… La persévérance paie. Il n'y a même qu'elle qui paie…

lundi 4 septembre 2017

Risky business

Il y a bien souvent un écart, significatif, entre le risque effectif d'une action et la représentation que nous nous en faisons.
Prendre la parole devant vos paires semble risqué, et le ressenti est là pour le confirmer. Pourtant, ça ne l'est pas… ou plutôt, ça l'est beaucoup moins que de traverser la rue en dehors des clous ou de couper du pain avec une lame de rasoir parfaitement affutée.
Le problème est que nous prenons la décisions d'agir en fonction de nos ressentis et non de la réalité avérés du risque.

Pour cette raison, il est de bon aloi de toujours mesurer le ressenti qui est le vôtre du risque que vous prenez et le risque effectif.