vendredi 4 avril 2025
Quelques mots face au challenge...
jeudi 3 avril 2025
La valeur de l'incertitude...
Même lorsque nous prenons l’avion, il subsiste une infime probabilité de ne jamais arriver à destination. Pourtant, la rapidité de ce mode de transport compense ce risque. La question cesse alors d’être : “Suis-je certain d’arriver ?” pour devenir : “Le risque en vaut-il la peine ?”
Dans la majorité de nos activités, de nos apprentissages, ce raisonnement s’applique. Prendre un risque qui en vaut la peine est souvent au cœur de notre démarche. Se lancer dans l’inconnu, tenter ce que nous n’avons jamais fait, c’est s’ouvrir à la possibilité de l’échec. Mais cet échec potentiel pèse peu face aux bénéfices d’un nouvel apprentissage.
Mieux encore : cette posture de prise de risque peut devenir une façon d’être. Pour un artiste, un écrivain, un musicien. Pour un formateur, un leader. Choisir de se confronter à l’incertain, remettre en jeu ses certitudes, c’est le chemin le plus sûr vers le progrès, vers l’amélioration continue.
mercredi 2 avril 2025
Ouverture
mardi 1 avril 2025
Connectés les uns aux autres...
Il est bien plus facile de diviser que de rassembler, de critiquer que d'approuver et d'encourager...
Pourtant, il y a bien plus de valeur et de satisfaction à faciliter la relation entre les individus. Une fois ensemble, ils peuvent créer les conditions pour un avenir plus enrichissant et libérateur.
C'est cette connexion les uns aux autres qui fait de nous une espèce particulière. Nous avons pu être leurrés par l'idée que nous séparer les uns des autres pouvaient avoir une quelconque vertu. Il n'en est rien. Nous devenons la somme de ceux que nous côtoyons au quotidien...
lundi 31 mars 2025
Soyez vous-même ?
Vous l'avez sûrement déjà entendue, cette injonction : sois toi-même !
De qui s'agit-il ?
Qui êtes-vous ?
Et lorsque vous êtes vous-même, à quoi cela ressemble-t-il ?
Est-ce le vous que vous étiez il y a trente ans, lorsque vous étiez encore adolescent ? Ou enfant ? Ou jeune mariée ?
Vous-même est un choix. Lorsque vous souhaitez être vous-même, demandez-vous de qui vous parlez. Quel est ce vous-même que vous rêveriez d'être ou de devenir... et travaillez à partir de là !
jeudi 27 mars 2025
Exigeant ?
Vous le connaissez, ce client ?
Quoi que vous fassiez, c’est toujours un peu à côté. Il faut corriger, ajuster, recommencer. Le client exigeant, version jamais-satisfait.
Vous aimez le détester. Et pourtant… vous savez qu’il vous pousse à rester affûté. À ne jamais vous reposer. À rester dans le game.
Il vous fait perdre du temps, ne remercie pas autant que vous le souhaiteriez — mais il revient. Toujours.
Vous êtes son référent. Son point d’ancrage.
Et chaque fois que vous signez avec lui, vous vous dites que c’est la dernière. Spoiler : ça ne l’est jamais.
Et puis, il y a l’autre client.
Celui qui briefe clairement. Qui sait ce qu’il veut, et ne change pas d’avis à chaque nouvelle lune.
Celui qui fait appel à vous pour ce que vous savez faire. Qui vous respecte, vous écoute, vous valorise.
Exigeant lui aussi, mais autrement.
Avec lui, c’est fluide. C’est complice. C’est pro. Et, vos tarifs ne sont presque jamais discutés.
À vous de voir pour qui vous voulez être là.
mercredi 26 mars 2025
Ceux-ci, ceux-là...
Quoi que vous fassiez, quoi que vous soyez prêt à lancer, il y a fort à parier qu’un petit groupe de personnes s’y intéressera.
Il est tout aussi probable que la grande majorité n’y verra aucun intérêt.
Mais, il est très peu probable que personne ne s’y intéresse.
C’est donc une excellente nouvelle : votre travail a une résonance.
La vraie question, c’est : qui cherchez-vous à toucher ?
Gardez le cap, évitez de vouloir plaire à tout le monde… et faites confiance à ceux qui vous attendent déjà, quelque part.
mardi 25 mars 2025
Plus important encore !...
Toujours dans la veine ouverte récemment autour de l'alimentation et du bien-être.
Le plus important n'est pas ce que nous mangeons. Le plus important est ce que nous buvons.
Nous sommes des êtres composés d'eau salée. 72 % de ce que nous sommes est de l'eau et du sel.
C'est un peu comme si une épreuve d'un examen représentait 72 % de la note finale... Ne seriez-vous pas tenté de la réussir ?
L'eau que nous buvons est cruciale pour notre bien-être et notre santé.
vendredi 21 mars 2025
Ce que vous dites avant de dire...
jeudi 20 mars 2025
mercredi 19 mars 2025
L'habitude qui pourrait bien vous mener plus loin que vous ne l'imaginez...
mardi 18 mars 2025
À ces étranges colères...
Il se peut que nous éprouvions une puissante énergie devant certains comportements ou attitudes. Il se peut que cela génère de la colère, de l'anxiété ou de l'angoisse.
Il peut être déstabilisant de voir que la même situation ou les mêmes comportements ne produisent absolument pas les mêmes symptômes chez nos proches ou nos collègues.
Que se passe-t-il que nous soyons à ce point sensible là où d'autres n'y voient aucun problème ?
La réponse à cette question tient en une phrase :
La vie vous présentera des situations ou des challenges pour vous révéler tous les espaces de votre psyché dans lesquels vous n'êtes pas libres.
Cette énergie que vous ressentez n’est autre que le signal d’un point de friction en vous, un espace inconscient où quelque chose est déclenché. Ce sont ces mécanismes, ces représentations, ces filtres à travers lesquels vous percevez le monde, qui s’imposent à vous plutôt que d’être librement choisis.
La véritable liberté commence lorsque nous osons interroger cette énergie, la confronter, en comprendre l’origine. C’est en la traversant, et non en la fuyant, que nous élargissons notre conscience et, par extension, notre humanité.
lundi 17 mars 2025
Veggy ou carny, nous sommes du même monde !
Une réflexion suite à mon dernier billet...
L’être humain n’est sans doute pas exclusivement carnivore, sans être pour autant totalement végétarien…
Le point central de mon dernier billet, selon moi, est qu’il est essentiel d’être attentif à ce que nous mangeons. Nous sommes, au sens littéral du terme, ce que nous consommons. Nos choix alimentaires influencent directement notre santé, notre énergie et notre bien-être général.
Par ailleurs, il est tout aussi crucial de regarder de près la nature des ingrédients qui composent nos régimes alimentaires contemporains. L’industrie agroalimentaire a profondément transformé notre alimentation : nous consommons en grande partie des glucides ultratransformés (amidons raffinés, farines blanches), des huiles de graines extraites par procédés industriels et des sucres sous diverses formes… Or, ces éléments étaient absents de l’alimentation de l’Homo habilis.
Nous mangeons aujourd’hui des aliments qui n’existaient tout simplement pas dans l’environnement de nos prédécesseurs. Certes, ils connaissaient les végétaux, mais ils ne transformaient pas les graines en huiles hydrogénées. Ils ne mangeaient pas de fruits tels que nous les connaissons aujourd’hui, puisque ceux-ci sont le résultat de générations d’hybridations visant à maximiser leur teneur en sucre. De plus, ils ne consommaient quasiment pas de glucides d’origine céréalière : les végétaux à leur disposition poussaient naturellement à portée de main, principalement en surface, avec peu de tubercules, et en grande majorité verts (les couleurs vives signalant souvent un risque de toxicité). Quant aux céréales comme le blé, elles étaient encore rares avant la révolution agricole.
En somme, être végétarien est une excellente démarche, à condition de garder à l’esprit certaines précautions : limiter les glucides raffinés et transformés, réduire la consommation de sucre (y compris sous forme de fruits et de légumes sucrés) et éviter les huiles végétales industrielles, qui favorisent l’inflammation et nuisent au bon fonctionnement du cerveau et des organes.
vendredi 14 mars 2025
Alors ? Végétariens ou carnivores ? En finir avec cette question ?...
Il est toujours intéressant de voir les choses sous l’angle de l’évolution.
Prenons une stalagmite. Il est évident que cette colonne de calcaire s’est formée au fil des siècles. Là où certains ne verraient que de l’eau tombant goutte après goutte, force est de constater qu’il y a bien plus que cela : une matière qui s’accumule, une structure qui se construit lentement, dans le secret du temps et de la patience…
C’est un peu pareil pour nous, les humains.
Des générations et des générations – et encore des générations – ont fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. L’évolution n’explique pas tout, mais elle éclaire bien des choses.
Je discutais récemment avec une nutritionniste et je lui ai posé cette question, histoire d’en finir avec le débat : l’humain était-il végétarien avant de devenir omnivore ? Était-il herbivore par nature ?
Sa réponse a été catégorique : non, l’humain n’est pas végétarien.
Les animaux qui trouvent leur énergie exclusivement dans les plantes sont les ruminants. Et la rumination, ce n’est pas juste une digestion prolongée de végétaux, c’est une culture bactérienne sophistiquée, qui leur permet de produire les protéines nécessaires au développement de leur masse musculaire (comme les dinosaures !).
Les grands primates qui se nourrissent uniquement de plantes ont d’ailleurs des abdomens proéminents et des intestins très longs, car digérer ces végétaux est un processus lent et laborieux.
À l’inverse, il n’existe quasiment aucune viande que l’humain ne puisse consommer sans danger. Même faisandée, elle reste comestible – ce qui rappelle que l’humain a aussi été un charognard (une stratégie bien moins énergivore que la chasse).
Les plantes, en revanche, ont développé un véritable arsenal chimique pour se défendre, et nombre d’entre elles sont mortellement toxiques pour nous. En Europe seulement, on recense plus de 700 espèces végétales potentiellement létales. Un exemple ? Le laurier-rose : si vous aviez la mauvaise idée d’en faire des pics pour votre barbecue, il vous tuerait avant même que vos merguez et chipolatas ne soient cuites.
Si l’on se met à la place de nos ancêtres, il est probable que, voyant certains de leurs compagnons se tordre de douleur après avoir mangé une plante en apparence inoffensive, ils aient fini par se tourner vers une autre source de nourriture : la chasse.
Mais une chasse de cueilleurs.
D’où l’expression « chasseurs-cueilleurs ». Nos ancêtres ne couraient pas forcément après leur proie avec des lances affûtées : ils mettaient plutôt le feu à un carré de forêt et… partaient en cueillette. Mais pas de plantes : ils ramassaient les petits animaux rôtis par les flammes. Simple, efficace, et surtout, sans trop de risques.
L’homme est donc devenu carnivore par nécessité, après des milliers et des milliers d’années d’adaptation à ce régime. Puis, plus tard, il est devenu omnivore par choix.
Car il est le seul animal capable d’ingérer quelque chose qui, en réalité, n’est pas de la nourriture pour lui. Jamais un lion ne mangera de salade !
jeudi 13 mars 2025
Dans un tube !
La personne assise à côté de moi me demande de baisser le volet de hublot, car elle est gênée par le soleil qui l'empêche de voir son écran.
Il est aussi possible de rester curieux, émerveillé par ce que la technologie produit de magie.
Imaginez Louis XIV, l'homme le plus puissant de la planète en son temps si on lui avait proposé un tour en avion ! Imaginez sa tête !
mercredi 12 mars 2025
Surprise surprise !
mardi 11 mars 2025
Le mode passif est le meilleur !
Bob Dylan qui affirme qu'il n'a pas composé ses premières chansons, celles dont tout le monde se souvient ! Rimbaud qui écrivait : « Je est un autre » ou Michaud qui affirmait : « La poésie ne vient pas de soi, mais elle vient par soi »...
Il faut s'y résoudre, il se passe en nous des phénomènes qui nous dépassent.
Les neurosciences qui se penchent sur la créativité nous indiquent que les idées les plus créatives émergent souvent lorsque le cerveau est en mode passif et observateur et qu'il cesse de vouloir contrôler ou rester concentré sur une tâche particulière.
Pour cela, se surprendre soi-même est la clé de notre renouvellement. Nous inventons lorsque nous lâchons ce que nous croyons savoir de nous-mêmes et de nos capacités. Lorsque nous nous connectons parfaitement avec ce moi que nous sommes et cessons de nous identifier à ce moi que nous avons créé (notre ego).
Bien sûr, cela est plus facile à dire qu'à faire ! Notre ego, ce système de défense conçu pour nous protéger et nous défendre, ne lâche pas sa mission sans résistance. À force de pratique et de tentatives pour le rassurer, il devient possible de puiser dans une source qui n'a plus les mêmes limites et les mêmes frontières que celles que nous nous sommes inconsciemment imposées.
lundi 10 mars 2025
Votre excellence ?
vendredi 7 mars 2025
Bad buzz
jeudi 6 mars 2025
Sans garantie !
Nous ne sommes jamais garantis de réussir.
La seule façon de savoir s'il s'agit d'une bonne idée est de se lancer. À l'épreuve de la réalité, alors nous savons si cela valait la peine.
Cela veut dire qu'au moment de se lancer, il est important d'avoir conscience qu'il est tout à fait possible que cela ne fonctionne pas, que tout aille de travers et que nous nous retrouvions à notre point de départ.
Cela fait partie de l'aventure.
mercredi 5 mars 2025
Etre de choix
Enfin, nous disons "Je suis végétarien" ou "Je suis en retard" pour exprimer des choix que nous faisons et qui, eux, peuvent finir, à force de répétition, par définir qui nous sommes...
mardi 4 mars 2025
Identifier les idiots
lundi 3 mars 2025
Aller vers le remord...
Lorsque nous nous voyons agir d'une façon décevante, et cela arrive, il est tentant de s'en vouloir, de se mettre en colère...
Cela ne fait guère avancer les choses et nous surprenons bien souvent, quelque temps plus tard, pris dans les filets des mêmes comportements décevants.
La colère n'aide pas. La raison n'aide que rarement.
Ce qui peut nous aider à guérir, c'est d'accéder à la tristesse. De se permettre de ressentir cette tristesse. Celle de l'enfant qui nous étions qui n'a pas trouvé d'autres manières de faire que celle qui nous déçoit pour se dépatouiller du monde.
Une fois que nous avons accès à cette tristesse, il devient impossible de se reprocher quoi que ce soit et nous en sommes laissés avec le remords. Celui de n'avoir pas agi comme il le fallait jusqu'à aujourd'hui. Mais, un remords n'est pas un regret.
Un remords nous accompagne de sa sagesse.
Il est possible de guérir.
vendredi 28 février 2025
Mon élément ?
Je parlais avec quelqu'un qui me dit se chercher professionnellement. Je lui demande ce qu'elle ferait s'il n'y avait pas de contraintes. Si l'argent n'était pas un problème.
Réponse : c'est ce qui me passionne, mais je ne me vois pas gagner ma vie avec ça...
Heureusement que ce qui nous attire et nous plait devrait être notre piste numéro une lorsque nous nous cherchons un emploi.
jeudi 27 février 2025
Et rerererererere....
mardi 25 février 2025
Trois
Trois points majeurs à garder en vue :
Sur quoi vous travaillez et pourquoi ?
Qui côtoyez-vous et pourquoi ?
Comment entretenez-vous votre corps ?
À bien y regarder, tout le reste n'est que du bruit...
lundi 24 février 2025
À nos amies les abeilles...
vendredi 21 février 2025
TDM thoracique
jeudi 20 février 2025
L'équilibriste et la marmotte...
mercredi 19 février 2025
Le remède au syndrome de l'imposteur (L'un d'entre eux, au moins !)
Vous l’avez sûrement déjà ressenti, ce doute insidieux qui vous murmure que vous n’êtes pas à votre place. Le syndrome de l’imposteur fait partie de ces mécanismes qui nous bloquent, nous empêchent d’avancer et nous font croire que nous sommes des usurpateurs aux yeux des autres, alors qu’en réalité, il n’en est rien. Il naît principalement du doute que nous avons sur notre propre crédibilité : je n’ai pas de diplôme, je ne suis pas assez informé, je n’ai pas tout ce qu’il faudrait pour être ici, face à ces gens qui ont des attentes énormes. Pourtant, il existe un remède simple : soit vous restez enfermé dans ces pensées et continuez à douter, soit vous acceptez que ce qui ne dépend pas de vous – les diplômes, le parcours académique – ne définit pas votre valeur, et vous choisissez de développer votre capacité à faire quelque chose de remarquable. Quand j’ai commencé à être formateur en prise de parole, je n’avais aucun diplôme sur la question, seulement mon expérience de comédien, ce qui ne suffisait pas, en théorie, à me rendre crédible. Alors, j’ai travaillé sans relâche pour devenir l’un des meilleurs formateurs de Paris, et c’est cette compétence, pas un bout de papier, qui m’a permis de bâtir ma légitimité et de faire prospérer mon activité. Pour dépasser le syndrome de l’imposteur, il ne s’agit pas de lutter contre ses doutes, mais de les rendre insignifiants en développant une expertise qui parle d’elle-même. J’ai vu tant de gens avec tous les diplômes nécessaires mais incapables de produire un travail de qualité. Un diplôme ne garantit pas la compétence. Ce qui fera vraiment la différence, c’est votre capacité à créer quelque chose d’exceptionnel.
mardi 18 février 2025
Ascidies et Balanes, les animaux marins philosophent...
lundi 17 février 2025
Ce que vous oubliez toujours lorsque vous prenez la parole en public...
Enfin, si vous voilà devant un auditoire de plus de cent personnes, dans un auditorium ou un amphi, il va vous falloir envoyer les vitamines et dégager une énergie à la hauteur des lieux.
vendredi 14 février 2025
Défaillances...
jeudi 13 février 2025
"J'aime pas"...
Le problème avec l'humain, c'est qu'il se voit, se perçoit comme le centre de son monde et qu'il n'est pas d'autres mondes que le sien. Partant de ce constat, les autres, tous les autres, pensent et devraient se comporter de la même manière et selon les mêmes règles !
C'est bien sûr parfaitement faux. Nos règles, nos goûts, nos représentations du monde n'appartiennent qu'à nous. Il serait alors illusoire de vouloir expliquer pourquoi quelque chose qui ne nous plaît pas ne devrait pas plaire à tous !
Devant une œuvre d'art, par exemple, existe des millions de perceptions possibles, de compréhensions différentes. Il n'en est pas une qui soit plus juste que l'autre. Elles sont différentes et c'est tout.
Vouloir convaincre l'autre de la validité de notre point de vue sur le sien est une entreprise vaine et inutile. Parce qu'il faudrait alors recommencer le même processus aussitôt en présence d'une nouvelle œuvre, ou d'un autre travail créatif.
Pour cela, face au travail créatif d'un autre, il vous est possible de dire « Je n'aime pas », sans que cela ne soit dramatique. Le fait que vous n'aimiez pas ne signifiera jamais que personne d'autre n'aimera !
mercredi 12 février 2025
Créer
mardi 11 février 2025
Saint Valentin
lundi 10 février 2025
Le challenge de la formation...
jeudi 6 février 2025
Face aux vents
Vous savez que vous êtes au mieux de vos aptitudes lorsque vous vous savez en position de gérer les difficultés, les bugs, les catastrophes...
Un bon pilote est celui qui répond présent lorsque des vents cisaillant rendent un atterrissage dangereux, lorsque les deux moteurs tombent en panne ou lorsque la tempête fait rage.
La plupart du temps, c'est de cela que nous avons besoin. Les pilotes du dimanche sont appréciables et pourront certainement agrémenter un week-end de détente. Lorsqu'il s'agit de changer les choses, d'aller au bout d'un projet, de faire face à la difficulté, un vrai pro est nécessaire.
mercredi 5 février 2025
La joie
mardi 4 février 2025
Une bonne hygiène de vie, dans le bon ordre !
lundi 3 février 2025
Il y a 20 ans...
Vous vous demandez peut-être quel aurait été le meilleur moment pour investir une partie de votre salaire en vue de votre retraite. Ou quand commencer la pratique d’un instrument de musique. Ou encore, quand arrêter de fumer ou de boire en excès…
La réponse à toutes ces questions est, bien sûr : il y a 20 ans !
Mais puisque, il y a 20 ans, rien de tout cela ne s’est produit, il se pourrait bien que le meilleur moment soit… maintenant !
vendredi 31 janvier 2025
Le passé est passé
Il y a ce qui s’est passé. Ce qui s’est passé, vous en conviendrez, n’est plus. Cela appartient au passé. Fini, terminé.
Puis, il y a ce que nous aurions aimé voir se produire. Ce que nous nous reprochons d’avoir laissé advenir. Ce que nous reprochons aux autres d’avoir causé.
Tout cela n’est pas raisonnable.
Ce qui s’est passé s’est passé tel que cela s’est passé – et n’aurait pu se passer autrement, puisque cela ne s’est pas passé autrement !
Le premier pas vers la raison consiste à embrasser la réalité telle qu’elle est. Accepter ce qui fut, sans détour, ni artifice. Cela implique aussi de renoncer à s’accuser ou à accuser qui que ce soit pour ce qui n’est plus.
On peut apprendre du passé, en tirer des leçons. Mais, il n’est jamais raisonnable de souffrir de ce que l’on ne peut changer, car cela n’existe plus – sinon dans nos mémoires.
jeudi 30 janvier 2025
Débordé !
Il est assez facile d'être sur-occupé, débordé, dans l'urgence, tout le temps sur le qui-vive à enchaîner les rendez-vous.
Mais « débordé » est un piège, parce que « débordé » ne veut pas dire « productif ».
Tous ces mouvements, cette agitation ne produit rien, ne fait rien avancer. Une bonne façon de faire la différence entre « débordé » et « productif » est de compter à la fin du jour tout ce qui a été créé, tout ce qui n'existait pas et qui est là, maintenant, à la valeur que cela représente.
Une bonne façon de ne pas être productif est peut-être aussi de vouloir rester débordé !
mardi 28 janvier 2025
Un fil de vie
lundi 27 janvier 2025
Quelque chose
vendredi 24 janvier 2025
Apprendre, toujours apprendre
jeudi 23 janvier 2025
De la longueur du menu
Il est bien sûr tentant d’étoffer un menu, d’ajouter toujours plus de produits, de plats et de desserts, dans l’espoir de séduire par l’abondance et de briller grâce à un choix sans fin.
Si toute cette énergie était concentrée ailleurs ? Si elle servait à créer, chaque jour, un seul plat. Un plat si exceptionnel, si irrésistible, que vos clients traverseraient toute la ville rien que pour y goûter ?
Prendre le risque de signer un seul plat, c’est accepter de mettre sa réputation en jeu, sans artifice, sans dilution. Cela demande du courage. Mais, c’est précisément ce qui en fait l'importance.
mercredi 22 janvier 2025
Le mur du son !
mardi 21 janvier 2025
Facile
Facile.
La solution de facilité est souvent là, sous nos yeux... Tentante.
Facile de céder à l'égoïsme, au court terme, au moindre effort.
Facile de laisser parler les instincts les plus simplistes et de renoncer à toute compassion.
Facile de vouloir avoir raison à tout prix.
Facile ne présente aucun intérêt, parce que facile est ce que nous savons déjà faire et produire.
Le but n'est pas d'aller à la facilité, mais de nous améliorer.
lundi 20 janvier 2025
Graals
vendredi 17 janvier 2025
Pas le temps !
Il est possible de penser qu'être sur-occupé, débordé, assailli de toutes parts par les obligations de nos professions est le prix à payer pour notre existence.
"Je n'ai pas le temps", devient le credo. De cette croyance, le temps de vivre s'efface au profit d'un autre temps.
Il est sans doute plus probable que nous ayons tous le temps. Le temps pour nous, pour ce qui compte, pour qui nous sommes et qui nous aspirons à devenir et que ce sentiment d'être aspiré dans un puit sans fond passerait si nous ouvrions seulement les yeux !
Ou comme l'écrivait Sénèque :
“Mon retard à répondre à votre lettre n’est pas dû à un surcroît d’occupations. Ne prêtez pas attention à ce genre d’excuses ; je suis libre, tout comme quiconque souhaite être libre. Aucun homme n’est à la merci des affaires. Il s’y enlise de son propre gré, puis se flatte de croire que son activité est une preuve de bonheur.”
jeudi 16 janvier 2025
Consulting
mercredi 15 janvier 2025
Décider et choisir
lundi 13 janvier 2025
Une résolution utile
Puisque le temps est aux bonnes résolutions, j'en ai une pour vous :
Que cette année signe pour vous la fin de l'eau en bouteille, sauf cas exceptionnels !
L'eau du robinet n'est pas forcément d'une qualité exemplaire, je l'entends et je le comprends. Pour rehausser la qualité de l'eau que vous consommez quotidiennement, il y a d'autres façons plus efficaces que d'acheter de l'eau dans un contenant en plastique.
Vous pouvez filtrer cette eau, ce qui est tout de même le meilleur moyen de ne pas se faire arnaquer dans les très grandes lignes par des industriels peu scrupuleux !
L'eau en bouteille est vendue plusieurs centaines de fois (100 à 400) sa valeur réelle (celle du robinet) et si cela ne vous donne pas de l'urticaire, cela devrait !
Alors, à moins que vous n'acceptiez la contrainte de devoir brûler les bouteilles en plastique dans votre salon, achetez un filtre à eau et libérez notre planète de cette absurdité !
vendredi 10 janvier 2025
Maxime pour nos relations
Courte maxime pour nos relations à autrui :
Tout le monde mérite une deuxième chance. Rarement une troisième.