Un secret...

À votre avis, qu'est-ce qui est le plus intéressant pour vous :

Donnez de l'information à qui veut bien l'entendre ?

Recevoir de l'information de qui veut en donner ?

À l'évidence, la seconde affirmation.

Il y a plus de valeur à ajouter de l'information à ce que vous savez déjà, qu'il n'y a à en donner... Même si donner ne vous prive de rien et ne diminue en rien ce que vous savez.

En pratique, la première affirmation correspond à « Parler ».

La seconde correspond à « Écouter ». 

Il y a plus de valeur à écouter et à écouter avec attention et avec intention, qu'il n'y en a à parler, même avec verve et talent !

Question magique

Ma question magique lorsque je fais un coaching : 

« Quel est le problème ?... »

Je ne considère jamais que la personne qui fait appel à moi est consciente de son problème, de ce qui est vraiment la cause des difficultés. 
Une fois que le problème est posé, et bien posé, une fois que la cible est parfaitement définie, je considère que 95 % du travail est fait.

Je peux même aller jusqu'à 98 % en ajoutant à la question précédente :

« Comment puis-je t'aider à résoudre ce problème ? »

Vos cellules sont idiotes...

Votre cerveau, vos cellules, sont tous de petites usines à survivre.

C'est le jeu qu'ils ont joué pendant des millénaires. Qu'ils continuent de jouer aujourd'hui encore.
Tout ce qui participe de ces mécanismes de survie vient huiler une biomécanique rodée en ce sens et donc vient participer à son bon entretien.

Pour être en bonne santé, il faut convoquer les tigres à dents de sabre et les ours des cavernes et un peu de votre imaginaire.

Commencez par vous mettre en tenue décontractée. Tenue de sport, diraient certains. 

Puis rendez-vous dans un parc, un lieu de détente. 

Marchez lentement, calmement. Vous dites à votre corps : « je marche ». Vos cellules comprennent : " nous marchons, c'est bien. "

Puis, par surprise, sprintez, comme si une bête sauvage se trouvait derrière vous. La pire de toutes. Courez comme si votre vie en dépendait. Vite. 30 secondes.

Puis, arrêtez-vous. Détendez-vous. Allongez-vous.

Jusqu'à ce que votre cœur ait retrouvé son rythme de croisière. 

Vos cellules ne comprendront bien sûr rien à ce qui se sera passé. Elles ne voient ni le tigre, ni le parc, ni le temps passé à courir. Pour elles, il y a eu une urgence, un moment où il y a dû y avoir un tigre quelque part ! Vos cellules comprennent : " Nous avons survécu, nous avons réussi ! "...

Dans votre corps, une petite fête se produit et vos cellules sont récompensées par un surcroît d'énergie et de nutri-éléments... Parce que ce n'est pas tous les jours qu'on survit à l'attaque d'un tigre à dents de sabre...

La seule bonne résolution digne d'intérêt !

Se former est au cœur de tout. 

Que seriez-vous aujourd'hui si vous n'aviez pas été à l'école ?

Un sauvage ! Un hérisson ! Un inadapté !

L'éducation, c'est ce qui fait de nous des humains capables de vies en société, capable de carrières professionnelles, capable d'exister.

L'éducation est la clé de l'avenir. La seule clé. 

 

Pour une raison assez farfelue, il est accepté, dans notre belle société, qu'une fois que se terminent l'école ou l'université, se termine aussi l'importance de l'éducation et de la formation.

Cela devient une sorte de passe-temps, un moment hors de ce qui compte vraiment, un luxe.

Embrasser cette croyance est une erreur. 

De toutes les erreurs que vous puissiez faire, c'est sans doute celle qui vous coûtera le plus.

Se former, être au-devant des connaissances de votre temps, être investi dans votre développement personnel est Le meilleur des investissements que vous puissiez faire. S'il ne devait y en avoir qu'un, ce serait celui-là !

La principale raison pour laquelle les gens que je rencontre renoncent à se former est le temps. 

Pour cela, je vous propose une formation dont vous pourrez choisir le rythme, le tempo, les temps de mises en pratique. 

Se former au 21ᵉ siècle, c'est user des outils du 21ᵉ siècle.

J'anime pour Unow une formation en ligne, efficace, pertinente, avec des temps où vous vous formez, où vous pratiquez et où nous sommes en relation.

Cette formation s'appelle : « Communication impactante en entreprise ».

En plus de répondre à cette nécessité de continuer d'apprendre, elle répond aussi à la nécessité de bien communiquer pour mieux exister au sein du monde.

Vous faites, mine de rien, d'une pierre deux coups !

Suivez ce lien et retrouvez-moi de l'autre côté !

https://www.unow.fr/formations/communication-impactante-entreprise/

Réchauffement climatique...

Vous l'avez entendu et vous le savez : l'ennemi, c'est le dioxyde de carbone. C'est ce gaz qui occasionne le réchauffement de notre climat. Il y a trop de CO2 dans l'atmosphère.

Ce que vous ignorez peut-être, c'est que la concentration de CO2 dans l'atmosphère au moment où j'écris ces mots est de 0,04 %. Infime.

Ce que vous ignorez sûrement, c'est que les plantes commencent à mourir lorsque la concentration de CO2 dans l'atmosphère passe en dessous des 0,02 %, le dioxyde de carbone étant essentiel à la photosynthèse.

La concentration de CO2 qui pose un problème ne peut être indiquée en pourcentage, parce qu'elle est dans l'épaisseur d'un trait infime !

Il faut donc exprimer cette concentration en Parties Par Millions : PPM.

Avant l'ère industrielle, il y avait 280 PPM de CO2 dans l'atmosphère. Infime.

Aujourd'hui : 415 PPM (toujours infime) et l'on considère que cette concentration a un effet sur le climat à partir de 350 PPM. Mais, à des concentrations aussi faibles, il est difficile d'être certain de quoi que ce soit. Il est probable que le réchauffement climatique soit, lui aussi, multifactoriel et que les effets combinés des différents gaz rejetés dans l'atmosphère par l'humanité sont à l'origine du réchauffement. 

Les concentrations capables d'affecter notre climat sont incroyablement basses.

Fascinant, non ?

Si vous le voulez, vous le pouvez... Vraiment ?

Bien sûr que non.

Vouloir n'est pas pouvoir. La réalité a mille et une astuces pour vous contraindre à bien le comprendre.

Vouloir un enfant, ce n'est pas pouvoir faire un enfant. Vouloir se sortir d'une addiction, ce n'est pas le pouvoir. Vouloir devenir célèbre, ce n'est pas le pouvoir. Pas immédiatement. Jamais avec une probabilité de 100 %.

Pourtant, ce que cette phrase nous rappelle, c'est que vouloir, si ce n'est pouvoir réussir, c'est au moins pouvoir commencer, goûter, avancer, entamer le chemin... Se jeter dans le vide...

La vie ensuite prendra ce qu'elle prendra, donnera ce qu'elle donnera. 

Parce qu'une fois sur le chemin, il est plus facile d'oublier le but, l'enfant, la libération des alcools et de lâcher prise pour n'embrasser que le plaisir de marcher sur ce chemin. Chemin qui devient une école d'abandon à ce qui est là, et de renoncement à ce qui devrait y être...

Le plus grand tueur de tous les temps...

Ce n’est pas un homme. Ce n'est pas une femme non plus...

C’est une phrase.

« Peut-être, un jour ?… »

Si vous ne vous lancez pas maintenant, alors quand ?

Quand ce sera le bon moment ? : qu’est-ce que cela veut dire ?

Quand vous aurez le temps ? : cela n’arrivera jamais.

Quand vous serez prêt ? : cela non plus 

"Peut-être un jour..." ruine votre potentiel, ruine ce que la vie pourrait vous offrir.

Maintenant !

THE job...

"I love my job" 

Vous l'avez sûrement déjà lu quelque part. 

Ces heureux, ces "happy few" qui ont trouvé le job de leur rêve... 

Pourtant, je vous le dis, si vous en quête du job de vos rêves, sachez que ce job sera... un job.

Il y aura des hauts et des bas. Il y aura des moments de fatigue. Il y aura des moments de doute.

Les rêves n'enlèvent rien à la réalité, aux exigences des clients, des partenaires, de la vie en général.

Pour cela, lorsque vous aurez trouvé ce job de rêve, souvenez-vous que le bonheur dans la vie ne tient que rarement en un seul mot, surtout si ce mot est « job ».

Plastoc

Face au spectacle de ces millions de bouteilles en plastique nappant les océans de notre planète, ceux qui s'obstinent encore à boire de l'eau en bouteille avaient pour motivation une représentation de ce qu'est leur santé.

Qu'importe, après tout, les océans et ce contenant imputrescible, puisque je trie les plastiques, puisque les océans sont loin, puisque cela semble inévitable.

C'est compréhensible. Notre santé est une préoccupation bien plus proche que celle des océans.

Seulement voilà, l'eau en bouteille ne serait pas aussi sûre qu'elle n'en aurait l'air ou que les responsables commerciaux des sociétés qui la commercialisent, au mépris des océans, ne voudraient bien le dire.
L'eau en bouteille est contaminée de dizaine de milliers de microparticules de plastique. 100 fois plus que cela n'avait été estimé par le passé.

Des centaines, des milliers, des millions, des milliards de nanoparticules, suffisamment petites et sournoises pour entrer dans le flux sanguin et chacune d'entre elles, représenter un risque pour cette santé si précieuse.

Il est grand temps de changer.

Eau du robinet et filtrée. C'est maintenant plus sûr.

Même s'ils sont loin, les océans méritent que changent nos représentations et les endroits où nous plaçons notre confiance.

Face à une borne et les nouvelles technologies...

Vous l'ignorez peut-être, mais Internet existait bien avant Internet.

Pendant des décennies, des chercheurs, des scientifiques se sont servis de ce réseau, de ces connexions pour faire avancer leurs travaux, jusqu'à ce qu'un jour, cela marche et que l'Internet puisse prendre son envol. Qui imaginerait aujourd'hui un monde sans ce réseau mondial, sans tout ce qu'Internet a transformé dans nos vies et dans nos quotidiens.

Les nouvelles technologies ne reçoivent pas notre adhésion du jour au lendemain. Il y a toujours la question de l'utilité, de la facilité et la balance entre ce monde-ci et le monde qui se profile.

J'entendais ce matin quelqu'un prendre en pitié un conducteur de véhicule électrique face à une série de cinq ou six bornes, toutes occupées. 

L'évidence est que nous avons besoin de passer à l'électrique, ce n'est presque plus un choix, c'est une nécessité. Parce que la voiture électrique et ses futurs avatars, représentent moins de dépenses de santé, un climat plus apaisé et des catastrophes climatiques évitées. Même si aujourd'hui, rien n'est parfait, si les batteries sont ceci, les bornes cela, etc. Toute nouvelle technologie a besoin de temps pour faire la preuve qu'elle est la bonne réponse à des besoins de demain. Pendant ce temps, il n'est pas rare d'en voir certains perdre patience, parce que c'est plus cher, moins pratique, moins facile. 

Cela ne leur donne pas raison pour autant.

Remplir ses objectifs...

Comme il est dit qu'il n'y a pas de vent favorable pour le navire qui ne sait où il va, il semble évident que vous allez avoir besoin de fixer des objectifs. 

Savoir ce que vous voulez et quand vous le voulez est une bonne manière de se mettre en mouvement ! A moins de cela, il ne se passera pas grand-chose qui puisse vous satisfaire.

Une fois que ce que vous voulez accomplir est clair dans votre esprit, il vous reste à savoir comment y aller !

Notre monde performatif vous verrait bien le couteau entre les dents, recourir à toutes les ressources disponibles, demander ce dont vous avez besoin et l'obtenir à force de persévérance et d'endurance. Notre culture valorise le héros, le self-made man, le leader...

Il est aussi possible de voir les choses autrement, de prendre la décision de servir. Plutôt que de demander ce que vous voulez, plutôt que de rester fixé sur votre objectif et votre objectif seulement, de donner et d'accompagner d'autres à se réaliser. De partir d'eux, tout en gardant en tête là où vous souhaiter aller. D'aller au vent des rencontres, de la générosité, de la rencontre.

Il est aussi dit que ce qui se prend est ce qui se donne.

Si vous vous sentez coincé…

Qu’est-ce qui fait que vous voilà coincé ? Dans ce projet, dans cette envie, dans cet apprentissage ?

Il y a sans doute des milliers d’explications possibles.

Une seule est intéressante : vous êtes coincé parce que vous n’arrivez pas à faire ce pas supplémentaire qui vous permettrait d’avancer de nouveau.

Un pas. Et, vous voilà libre. 

L’angoisse n’est pas cette lumière au bout du tunnel, la fin du voyage, l’accomplissement ultime. 

L’angoisse, c’est ce prochain pas. Le suivant. Et le suivant…

Ce que nous désirons le plus…

Existe cette affirmation pleine de bon sens voulant que nous ne devrions jamais infliger aux autres ce que nous n'aimerions pas qu'ils nous fassent subir.

Bon sens.

Pourtant, ce n’est jamais le cas. Nous passons notre temps à vouloir être respectés des autres sans jamais leur donner notre respect et notre pleine attention.

Nous passons notre temps à désirer le regard de l’autre, lui être connecté, être entendu de lui et pourtant, nous restons dans notre bulle, incapable d’initier cette connexion, de faire le premier pas.

Nous nous épuisons à vouloir la confiance d’autrui et nous ne lui donnons pour ainsi dire jamais le bénéfice du doute, sans parler de notre confiance pleine et entière.

Il y aurait pourtant là un univers d’opportunités et de possibilités…

Coupable et responsable...

Vous n'êtes certes pas responsable des pensées qui vous traversent l'esprit, pas plus que vous n'êtes responsable des émotions qui vous saisissent.

Vous restez toutefois responsable des actions qui s'ensuivent !

Si ces actions devaient être répréhensibles, vous seriez jugé coupable. 

Cette colère est la vôtre. Quelle qu'en soit l'origine.

Vérité

Dans vos prises de parole et votre communication au sens large, vous constaterez bien souvent que vos performances les plus captivantes sont rarement le fruit d'un désir d'originalité, mais plutôt d'un appel à plus d'authenticité. 

Il y a plus à gagner à une connexion sincère avec vos auditoires, qu'à subir la pression de vouloir apparaître unique. 

la nouvelle désobéissance...

Quand il n'y a que quelques boulons à resserrer, que la tâche est simple, reproductible à l'infini, disposer de collaborateurs parfaitement obéissants est utile. 

"Faites ce qu'on vous dit, quand on vous le dit et au rythme auquel il vous est demandé de le faire."

Un jour après l'autre.

Obéissez et vous recevrez les fruits de cette obéissance.

Le problème, c'est que notre monde a depuis longtemps délégué les boulons et les tâches reproductibles à la machine. Machine qui n'est, pour l'instant, que parfaite obéissance.

Les êtres humains, eux, sont attendus sur leur capacité d'adaptation, d'initiative, de compréhension.

Il n'y a aucun sens à attendre de collaborateurs qu'ils exécutent à l'identique ce qu'il leur est demandé. Ce serait donner de la confiture aux cochons.

Pourtant, nous sommes encore trop nombreux à considérer le lien hiérarchique comme un lien d'allégeance et d'obéissance. Un patron serait censé donner les directives et ces directives seraient censées être suivies.

Pas aujourd'hui, pas dans un monde fait de complexité et dans lequel, les collaborateurs, parce qu'ils sont au contact quotidien de cette complexité, savent bien mieux que leurs patrons ce qui doit être fait.

Prendre des initiatives, agir au mieux en fonction d'une situation donnée, ne pas respecter les directives, ce n'est pas désobéir, c'est faire preuve d'implication, et c'est bien souvent ce qu'on attend de vous.

Deux types de productivité

Aspirer à plus de productivité est une bonne chose.
Encore faut-il se mettre d'accord avec ce que cette productivité incarne ? Que signifie-t-elle et qu'avez-vous à y gagner ?

S'il ne s'agit que de cocher les cases de votre liste de tâches quotidienne sans jamais vous demander si d'agir de la sorte vous rend service d'une façon ou d'une autre, difficile de qualifier cela de productif.

Pourtant, c'est bien ainsi que nous sommes éduqués. Finir la liste, finir les devoirs, sans jamais questionner en quoi cela nous est utile.

Il est possible d'être productif de deux manières. 

Soit, il s'agit de tâches à accomplir. Une recette de cuisine, un projet, une mission. Une fois la liste de ces tâches accomplies, c'est terminé.

Soit, il n'y a pas de tâches à proprement parler, et c'est le domaine de la créativité, de l'initiative. Un nouveau problème à résoudre.

Il est pour ainsi dire impossible de tenter l'un tout en accomplissant l'autre. Difficile d'être de ceux qui complètent la liste de tâches et restent capables d'initiative et de créativité.

C'est soit l'un, soit l'autre.

Ainsi, lorsqu'il vous est demandé d'être créatif, il sera sûrement utile de vous couper de votre liste de tâches à accomplir. De vous isoler de tout ce qui pourrait vous y ramener. 

Faire plus et faire mieux...

Devant l'adversité, il est tentant de vouloir ajouter de l'énergie, de l'effort à ce qui est déjà pratiqué. En y mettant plus de force, il est possible que cela finisse par passer. 

Mais c'est assez rare.

Plus de force ne conduit que très exceptionnellement à un résultat satisfaisant.

Parce que ce n'est pas de force dont il est besoin, mais d'agir avec plus d'intention, de faire mieux et non pas plus.

Changement ou pas ?

La plupart d'entre nous ferions tout pour que rien ne change. Avant d'envisager le changement, nos efforts se tourneront vers tout ce qu'il serait possible de faire pour que rien ne change, pour que le problème puisse trouver une solution sans les efforts, les contraintes et l'inconnu que représente le changement.

Ainsi, la plupart des gens que je rencontre en coaching ont presque tous une demande claire : je veux aller mieux, mais je veux aussi que rien ne change !

Les dirigeants ont quasiment tous la même problématique : je veux que mes équipes interagissent avec fluidité, que leur communication soit efficace... et je désire tout cela sans que le système ne change...

Changer est à la racine de toute transformation et changer, pour le dire simplement, c'est faire ce que vous n'avez jamais fait ! Voire, ce que personne d'autre ne fait ! 

Oui, c'est inconfortable et terrifiant. Mais à moins de cela, en faisant toujours plus de la même chose, comment espérer des résultats différents ?

Cases à cocher !

Le débuts d'année sont propices au To Do List !

Tout ce qu'il faut faire ! 

Et pourtant, au milieu de tout ce "faire", nous en oublierions presque notre besoin de connexion à autrui, notre attention à nos collègues, à nos amis, à nos familles.

La vie n'est pas un jeu de cases à cocher ! 

Rêveries...

J'ai une nouvelle fois constaté la puissance de la rêverie.

Marcher seul, sur un sentier isolé, l'esprit se libère et va directement là où se trouve le cœur...

Les idées abondent, les envies grandissent.

Il importe, bien sûr, de les noter.

Puis, de les rendre réelles. J'ai toute une année pour cela !

Une nouvelle année...

Le début d'une année est, bien sûr, aux yeux de l'univers, un jour comme les autres.

Le temps suit son cours.

Pour nous, il est un temps particulier. Un passage. Une marque qui nous rappelle que la seule chose dont nous disposions est la Vie elle-même.

C'est tout ce que nous possédons vraiment.

Cela vaut la peine de se le rappeler et de s'en féliciter !