Aimer ce que nous faisons est une bénédiction.
Lorsque c'est de notre métier dont il s'agit, c'est la meilleure façon de ne pas réellement travailler. De s'alléger.
Il est aussi possible d'avoir un métier, « un vrai », de ceux qui font bouillir la marmite et à côté, une passion, quelque chose d'épanouissant, de joyeux.
Il est tentant de vouloir combiner les deux : si la passion devient rémunératrice, cela ouvre bien des possibles.
Cela marche parfois.
La plupart du temps, vouloir être rémunéré d'une passion tend bien souvent à porter notre attention sur le profit et cela se fait bien souvent, hélas, au détriment de la passion.
Il peut être sage de se contenter de garder un métier et une passion.
Ce qui est déjà miraculeux, comme le dirait le facteur Cheval !
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