La raison est simple : la violence engendre la violence et rien n'avance.
Certes, en situation de légitime défense, le recours à la violence peut s'avérer nécessaire. Au quotidien, dans nos relations à autrui et à nos institutions, la violence n'est pas pertinente si l'efficacité est l'objectif.
Pourtant, elle est fréquemment utilisée. Sabotage, terrorisme, harcèlement, agressions verbales... La violence fait partie de notre quotidien, même si nous savons ou avons conscience qu'elle ne mène nulle part.
Pourquoi ?
Parce que la violence soulage une émotion de colère, de frustration ou d'anxiété.
Ce qui est recherché, ce n'est pas l'efficacité de l'acte, mais le soulagement, quelles qu'en puissent être les conséquences.
Ce besoin de soulagement ne doit pas nous faire oublier que lorsque nous passons à l'acte, nous sommes responsables de nos actions et que notre intention doit être conduite par un objectif d'efficacité.
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