Exister

Nous faisons tout pour exister dans le regard des autres.

C'est existentiel.

Nous préférons, nous, humains, être battus qu'ignoré.

Nous avons besoin pour exister du regard de nos sœurs et de nos frères humains. À moins de leur regard, nous sommes morts.

Nous voulons émouvoir l'autre. Nous voulons le toucher.

Si cet autre ne peut nous aimer, alors nous souhaiterons qu'il nous admire. Si cela ne se peut, nous ferons tout pour qu'il nous redoute et nous craigne. Si c'était impossible, alors plutôt la haine et le mépris que l'indifférence.

Il n'y a pas de mauvais individus. Il n'y a que des gens qui souffrent. 

Le 1% formation... Apprendre au dépend de nos critiques !

Récemment, crucifié par un stagiaire, j'ai eu le (dé)plaisir de lire dans ses commentaires : 

"François est trop enthousiaste pour être sincère..." - "Overly enthusiastic", selon ses propres termes.

Ouch!

Je pourrais me dire que mon travail n'est pas pour cette personne (et c'est le cas) et que face à des centaines de clients satisfaits, peu me chaut un individu qui ne comprend pas ma démarche.

Je fais pourtant le choix du 1 %. Parce qu'il y a toujours quelque chose à prendre, venant de quelqu'un qui fait l'effort de parler de moi et de mon travail, même si c'est pour le démolir !

Si dans ce qu'affirme cet individu, il y avait 1 % de vérité. De quoi cela parlerait-il ? Qu'est-ce que ce serait ?

Les critiques ne sont que des critiques, et bien souvent il importe de les prendre avec distance. Mais, cela ne veut pas dire qu'elles sont totalement dénuées de vérité. S'il y a moyen d'avancer aux dépens de nos détracteurs, pourquoi pas ?

Résolution réputation...

La meilleure des bonnes résolutions qu'il soit possible de prendre au début d'une année, serait celle de se construire la réputation d'être quelqu'un de fiable.

Fiable.

Parce que cela est rare. Quelqu'un qui est à l'heure, qui est au rendez-vous. Qui s'engage à venir en aide. Qui répond présent. Qui dit "Oui !".

Une bonne réputation de ce type est difficile à construire (c'est pour cela qu'elle est rare) et très facile à détruire. Vous n'êtes jamais à la hauteur que de votre dernière action.

Pour ceux qui nous entourent, pas besoin de faire le meilleur café, s'ils savent que quoiqu'il arrive, le café sera chaud.

2024

La façon dont nous vivons chacune de nos journées définit la façon dont nous vivons nos vies entières.

Il n'y a rien à attendre de demain, de miracles ou de magie transformatrice. C'est aujourd'hui que tout se décide, c'est aujourd'hui que cela se passe !

Parce que si cela ne commence pas maintenant, alors quand ?

Si la journée qui s'annonce semble peser, semble s'annoncer difficile, alors autant l'affronter.

Si cette journée se répète au-delà d'une dizaine de fois, qu'il n'est pas possible de regarder cela avec recul et indifférence, alors peut-être est-ce le signe qu'il est temps de bouger, de changer, d'aller ailleurs.

Cela fait peur, inquiète et angoisse. Quelle alternative au mouvement devant une souffrance quotidienne ? 

Croyance divine...

Croire ou ne pas croire.

C'est une question de choix. 

Il n'est possible de croire qu'en quelque chose dont la réalité n'a jamais été prouvée, démontrée, rendue évidente.

Il est possible de croire que l'univers est infini, tout comme il est possible de croire le contraire. L'un comme l'autre n'ont pas été démontré. 

Il est possible de croire au Père Noël. Il est fort probable que ce dernier n'existe pas. Mais il est possible de croire que quelque part en Finlande, un vieux monsieur barbu prépare les cadeaux de Noël pour tous les enfants sages. 

Il est aussi possible de croire qu'il y a une vie après la mort, que la Lune est une mégastructure construite par des aliens, il y a des millions d'années.

Il est possible de croire en Dieu.

Croire en Dieu est une question de choix. Il est impossible de faire la démonstration que Dieu n'existe pas. Il est tout aussi impossible de faire la démonstration de son existence. Croire en Dieu ou croire en l'existence des Licornes procède du même raisonnement. 

Cela ne poserait aucun problème s'il n'y avait les religions...

Vous êtes parfait ainsi !

Je l'entends parfois : "Vous êtes parfait tel que vous êtes - cessez de vous poser toutes ces questions...".

Une sorte de mantra pour sortir de la culpabilité et de l'angoisse.

Pourtant, s'il est une vérité, c'est que je ne suis pas parfait ainsi. 

Pas plus que vous d'ailleurs !

Certes, la nature, après des millions d'années d'évolution, nous confie un organisme optimisé pour le vivant. Le corps qui nous est remis et sur lequel nous n'avons que peu de contrôle est une miraculeuse machine biologique qui, il est possible de le dire, frise la perfection. Mais je n'y suis pour rien !

En revanche pour tout le reste, tel que je suis, je ne suis pas grand-chose.

Je ne suis que potentiel.

Il m'appartient de réaliser ce potentiel. Ce que je suis aujourd'hui n'est parfait que dans la mesure où je m'applique à progresser, à m'affirmer, à exister et à expérimenter la vie de la façon la plus vibrante et la plus engagée possible.

Il faut bien savoir payer !

Spotify n'est pas assez cher.

C'est une évidence.

Toute la musique du monde pour 12 euros par mois, c'est presque ridicule. C'est la bonne affaire du siècle !

Le problème, bien sûr, n'est pas de trouver le juste prix dans l'absolu, mais de jeter un coup d'œil à la rémunération des artistes diffusés sur cette plateforme. 

Cette rémunération porte un nom : cacahuète. C'est-à-dire : rien. Ou presque.

Parce que Spotify n'est pas assez cher et que ceci ne semble pas être le problème des studios et des mega-stars, Spotify va devoir licencier près de 600 personnes... Tidal va abandonner la diffusion de musique. Les autres plateformes vont sans doute suivre. Les artistes qui font la vie de cette plateforme vont devoir continuer à ne pas être rémunérés, pendant qu'un petit nombre de leurs collègues, plus installés, recevront leur juste dû. 

Cela promet de nouvelles turbulences sur le marché de la musique.

J'avais envie de partager ceci avec vous.

Mauvais jugement...

Il est admis que la plupart des gens jugent. Ils prennent parti. 

La plupart du temps, ce jugement est douteux, limite, mal inspiré.

Par exemple, ceux qui jugent que votre dernier court-métrage n'a aucune valeur, que votre dernier roman est inepte, que votre tentative pour créer une chaîne Youtube est pathétique.

Et bien sûr, face à autant de critiques, il est facile de questionner ce qui nous anime, de renoncer ou de souffrir de ce manque de reconnaissance, à tout le moins de bienveillance...

D'un autre côté, il est aussi possible de partir de là.

Si ce jugement n'était pas aussi mauvais qu'il en avait l'air ? Si tous ces jugements n'étaient que le fruit de croyances anciennes, de culture ou d'éducation différentes. Si le vrai travail, maintenant, consistait justement à entendre le jugement et à changer les croyances.

Puisque ni l'un, ni l'autre ne sont réels, il est toujours possible de trouver un chemin vers plus d'entente et de compréhension.

Cela vaut toujours mieux que des heures de lamentation !

Si cela ne se mesure pas...

...cela n'existe pas !

Dans tout apprentissage, il est vital de noter les avancées et les progrès. 

Pour cela, il faut mesurer le point de départ et le tenir pour point de référence. C'est à cette référence initiale que tous les progrès à venir seront comparés.

S'il n'y a pas de mesure, si aucune référence n'existe, pas de progrès proprement mesurable, alors il devient difficile de persévérer et de réussir.

L'unité de mesure n'est pas toujours facile à trouver ! (Pour quelqu'un qui ferait de la musculation, le tour de poitrine ou le tour de biceps sont des indicateurs faciles à identifier, mais pour quelqu'un qui ferait de la musique, qui veut devenir meilleur communicant ?...)

De la bonne méthode...

Il y a toujours un intérêt à approcher un nouvel apprentissage avec méthode. 

Ceci d'autant plus que, dans bien des cas, la méthode a déjà été pensée par d'autres. 

La bonne méthode pour perdre du poids est bien connue de la plupart de ceux qui ont cet objectif... Même si cela ne garantit pas le succès, au moins est-il possible de savoir qu'il existe un chemin vers une certaine réussite.

Si une approche méthodique est toujours préférable à une approche chaotique, il est tout de même une évidence : choisissez la méthode qui vous convient !

Il vaut mieux, en effet, une méthode peu efficace, mais à laquelle vous vous tenez et continuez de persévérer, qu'une méthode efficace, mais que vous abandonnez aussitôt.

Plus c'est facile, meilleur c'est !...

Ma salle de gym est à 4 minutes de marche de chez moi.
Ma guitare est toujours sortie de son étui, sur un stand, prête à être jouée.
Mon ordinateur est toujours allumé et mon bureau parfaitement rangé et ordonné.

Tout le matériel pour faire un bon café est à portée de main, dans un même tiroir, prêt à être utilisé.

Mon coffee-shop préféré où j'aime travailler et réfléchir, écrire mon journal et passer du bon temps à ne rien faire est en face de chez moi.

Simplifiez-vous la vie autant qu'il est possible.

Facilitez tout ce qui peut l'être.

Si vous vous rendez la tâche plus difficile qu'elle n'aurait besoin de l'être, ne soyez pas surpris si la réussite vous échappe. Tous les grands objectifs réclament de la constance. La constance réclame de la simplicité et de la facilité ! 

Vous ne bénéficierez d'aucun bonus si réussir vous a demandé de souffrir !

Faut-il le dire ?

La base du style et de la classe, c'est qu'ils n'ont pas besoin d'être signifiés.

S'il vous faut dire combien vous êtes « stylé », c'est sans doute que vous n'y êtes pas !

De la même manière, si ce que vous faites est de qualité, hors norme, remarquable, ce sera rarement à vous de le dire ou de l'annoncer. 

Vos clients sont là pour ça !

Offensé par les réseaux...

Si vous deviez vous sentir offensé ou choqué par quelque chose que vous auriez vu sur X ou sur Facebook ou ailleurs. Si vous éprouviez le besoin, l'urgence de répondre par un message reflétant l'outrage que vous ressentez et espérez ainsi contribuer à un monde meilleur (sinon, pourquoi répondre ?).

Vous vous leurrez.

Rien de ce qui est dit ou fait dans le monde ne devrait vous offenser. 

Rien.

Parce que le monde est ainsi et que ce n'est pas à vous de dire comment il devrait être.

Oui, il y a des racistes, des sexistes, des salauds et des enfoirées, des meurtriers, des assassins de masse, des terroristes, des monstres...

C'est ainsi.

Votre commentaire et votre émotion n'y changeront rien.

Alors pourquoi vous manifester ?

Tournez les yeux ailleurs, lisez autre chose, restez joyeux, heureux... détendus !

N'intervenez que si vous pouvez le voir de vos yeux... Dans la rue, dans votre entreprise, dans votre famille, dans la réalité de vos vies... Lorsqu'il vous faudra rassembler plus de courage que ce que vous demande un tweet, un like, un pouce bleu...

Tout le reste n'existe pas.

Une bonne obsession pour un manager...

Si vous êtes un manager, vous ne devriez de mon point de vue, n'avoir qu'une seule obsession : la qualité des relations dans votre équipe.

La valeur ajoutée de votre équipe est directement proportionnelle à la qualité des relations qu'entretiennent les membres de l'équipe dont vous avez la responsabilité.

Si les relations sont tendues, difficiles, exacerbées, alors il sera difficile d'être productif, inventif... Il sera impossible de travailler de façon détendue et joyeuse...

Si les relations sont apaisées, honnêtes, incarnées, alors tout devient possible. Même l'impossible...

La relation n'est en général pas prise au sérieux (l'expression ridicule : "soft skills" en est la parfaite incarnation !)

Il faut que cela change. 

Pour vous, comme pour eux !

La vie / Les relations...

Peut-être faut-il se le rappeler régulièrement : la qualité de nos vies est entièrement dépendante de la qualité des relations que nous entretenons avec les personnes de notre entourage.

Nous n'existons que dans la relation : "je sais qui je suis parce que je suis avec vous". Parce que j'ai votre regard et votre point de vue sur moi, je peux me définir. La relation nous rend vivant, parce que sans elle nous sommes mort socialement. La relation est essentielle.

Aucun vrai problème n'existe, qu'il soit de compétence ou de logistique ou de savoir-faire... Tous ceux-là trouvent aisément une solution.

Les vrais problèmes, dans nos vies personnelles, et donc intimes, ou dans nos vies professionnelles, et donc, là où nous passons le plus clair de notre temps, sont des problèmes de nature relationnelle. 

Si la relation est de qualité, tous les problèmes sont à peine de l'intendance !

Si la relation est dégradée, méprisée, altérée, alors tous les problèmes s'en trouvent multipliés par dix, sans parler que leur résolution n'améliorera en rien la relation elle-même... 

Travailler sur la qualité de la relation que vous avez aux autres, sur votre enthousiasme à les aider, à les regarder grandir, à les voir s'épanouir... Sur votre émerveillement à les voir se débattre et tenter de faire au mieux. Sur leurs efforts désespérés pour vous montrer leur meilleure face, leur force plutôt que leur faiblesse, leur invincibilité plutôt que leur vulnérabilité.

Travailler sur votre bienveillance, votre douceur, votre gentillesse.

Soyez-en remercié chaque jour. Car chaque jour, vous le constaterez, les problèmes trouveront leurs solutions d'eux-mêmes.

We're human beings, we're killers...

Star Trek

Episode 23

Saison 1

Première diffusion : 1967 

"We’re human beings with the blood of a million savage years on our hands! But we can stop it. We can admit that we’re killers…but we’re not going to kill today. That’s all it takes! Knowing that we’re not going to kill – today!"

"Nous sommes des êtres humains avec le sang de millions d'années de sauvageries sur nos mains ! Mais nous pouvons arrêter tout cela. Nous pouvons admettre que nous sommes des tueurs... mais nous ne tuerons pas aujourd'hui. Juste cela ! Décider que nous ne tuerons pas – aujourd'hui !"

Faire le bon choix...

Ce que ressentent les gens de votre entourage proche affectera votre état émotionnel général. Si vous ne côtoyez que des gens agacés, en colère, énervés, il est fort probable qu'après quelques mois, pas même années, vous vous sentirez à votre tour en colère, énervé... 

Les émotions sont contagieuses. Elles tissent le lien social. Pour le meilleur comme pour le pire.

Pour cela il est important de bien choisir de qui vous voulez être entouré. S'il vous semble que vous aidez celui qui se noie, il est possible qu'il vous entraîne avec lui dans les profondeurs... 

Se changer soi-même...

Il arrive que les choses se passent mal avec quelqu'un de votre entourage. 

Professionnel ou personnel, c'est tout comme. 

Dans ces moments-là, la tentation est grande de se dire : je fais ce que j'ai toujours fait, j'agis comme j'ai toujours agi, donc le problème ne vient pas de moi. C'est donc à l'autre partie qu'incombe la responsabilité des difficultés que nous rencontrons.

Vous attendez ainsi que l'autre s'ajuste, s'adapte à votre style de communication, et cela ne marche pas...

Lorsque vous constatez une difficulté relationnelle, le premier réflexe à avoir est de vous demander ce qui dans votre façon de communiquer a déclenché la difficulté que vous rencontrez. En quoi pouvez-vous être, même de manière infime, responsable de ce qui est en jeu.
Cela pour une raison toute simple : il est bien plus facile de se changer soi-même que de changer les autres. Si ce qui se passe dans la relation vous gêne, vous dérange, vous fait souffrir, que pourriez-vous changer dans votre manière de communiquer qui puisse faciliter les choses ?

En général, ce premier pas permet aussi des changements chez l'autre, jusqu'à ce qu'un compromis apparaisse...

Inconfort...

En 2007, à moins que ce ne fut 2006, la compagnie aérienne Southwest a pris une décision surprenante. Elle supprima les "boarding pass"...

Les passagers n'avaient qu'à se présenter à la porte qui leur était indiqué et monter dans leur avion. 

L'intention était claire : placer les clients en situation d'inconfort en retirant le seul indice qu'une place dans l'avion leur était réservée. 

Résultat : les passagers inquiets formaient rapidement une file d'attente devant la porte. Ils entraient plus rapidement dans l'avion qui, alors, pouvait décoller plus vite.

Tout le monde était gagnant. La compagnie améliorait la fréquence de ses rotations et les passagers arrivaient plus vite à destination.

À quel prix ?

Ce qui semble être meilleur ne l'est pas forcément !

Aujourd'hui, cet inconfort est partout. Les soldes, les réseaux sociaux, les "Black Friday" de tout bord... Toutes ces opérations ont pour seul objectif de créer un déséquilibre, un inconfort sournois. Il n'y en aura pas pour tout le monde... C'est maintenant ou jamais pour être servi, entendu, écouté... Cette peur de manquer quelque chose, de manquer de quelque chose...

La vérité reste pourtant que dans un monde d'abondance, tout le monde est et sera servi. 

Cela commence par sortir de la queue.

Envie d'avoir une conversation difficile ?...

La plupart des conversations difficiles qui se présentent à nous ont un point commun : nous faisons tout pour les éviter !

Parce qu'une conversation difficile est inconfortable, que son résultat est incertain, que cela pourrait prendre un tour émotionnel, nous nous mettons en situation de refuser cet obstacle. Nous trouvons toutes les bonnes raisons possibles pour ne pas nous exposer à ce risque...

Ainsi, les harceleurs, les "connards", les « petits chefs », continuent leur rôle de sape, de destruction de l'atmosphère générale. 

Par manque de courage.

Mais, pas seulement... 

Par manque de compétences. Avoir une conversation difficile est un savoir-faire. Il est possible de se préparer, de comprendre les mécanismes en jeu, de maîtriser une part de l'irrationnel que cette conversation pourrait révéler.

Une formation à une telle compétence existe. Vous n'êtes plus qu'à un e-mail de la détenir !

G. G.

Il est un fait acquis que la Générosité et la Gratitude améliorent tout sur leur passage. 

Celui qui donne se connecte avec son humanité la plus profonde. La générosité ne diminue en rien celui qui donne. 

La gratitude ouvre la porte à des représentations du monde plus ouvertes et pour lequel les possibles sont démultipliés.

Alors pourquoi ne voit-on pas plus d'actes de générosité et ne reçoit-on pas plus de gratitude ? 

La réponse est simple : la peur.
Peur de se connecter à l'autre, peur des changements que cela pourrait induire. Peur de voir les possibles que je mentionnais plus haut et ce qu'ils pourraient exiger de nous, en joie, en bonheur, mais également en travail ou en efforts... 

Il peut paraître plus sûr, plus rassurant de se dire que ce monde est limité et que ce qui va à l'un doit être retiré à l'autre. Il peut être plus sécurisant de voir en notre monde un endroit de danger, de risques constants et de se recroqueviller, de se rabougrir, de céder à une colère froide et blasée. 

La générosité et la gratitude nous montrent un autre chemin, de connexion, de prospérité partagée, d'évidence humaine...

Et oui, à ceux qui me connaissent, c'est aussi pour cela qu'existe Gordon Gary !