vendredi 31 juillet 2020
Cet investissement que nous faisons tous les jours...
jeudi 30 juillet 2020
Le dernier qui a parlé a raison !
mercredi 29 juillet 2020
Ce qu'il y a devant...
mardi 28 juillet 2020
Gare au "fashion faux-pas" de l'été !
lundi 27 juillet 2020
N'en déplaise à Diderot...
dimanche 26 juillet 2020
Une trop lente agonie : l'avenir de la voiture en ville !
samedi 25 juillet 2020
Penser comme un Fremen !
vendredi 24 juillet 2020
Les nombres pertinents
jeudi 23 juillet 2020
Hors de nous...
mercredi 22 juillet 2020
Click, click, click...
mardi 21 juillet 2020
Porter un masque : seule chose intelligente à faire... LA SEULE...
Le texte de Aurélien Barreau sur la nécessité de sortir masqué !
Essentiel si nous ne voulons pas que se prolonge cet entre-deux délétère...
La désobéissance civile est un geste fort. Il y a peu, des milliers de scientifiques ont appelé à y recourir face à la catastrophe écologique en cours. C'est, à ma connaissance, sans précédent. D'autres causes immenses méritent sans doute que soit envisagée cette forme radicale de résistance. Il y a là matière à penser et à agir. Avec solennité.
Mais comment n'être pas triste de constater que le refus des gestes sanitaires de base - qui ne sont qu'un infime effort d'intelligence collective élémentaire - soit aujourd'hui revendiqué comme une telle résistance ? Il me semble que cette obstination à mettre en danger la vie d'autrui relève en réalité plutôt de la bouderie presque obscène d'un enfant gâté paranoïaque qui ne veut rien, jamais, sacrifier de son confort. Fût-ce au prix de la mise en danger délibérée de la vie d'autrui.
Et, une dernière fois, pour rappel :
1) "Masquer" la population ne fait pas les affaires de l'État : rien ne fait plus peur à une société de contrôle que des citoyens non identifiables !
2) Nous avons réclamé - à juste titre - ces masques quand ils manquaient. Refuser de les utiliser, en espace clôt, quand ils sont disponibles est totalement incohérent.
3) Nombreux sont ceux qui dénoncent les enjeux de pouvoir et d'argent des laboratoires pharmaceutiques. Raison de plus pour endiguer l'épidémie à moindre frais et sans médicament ! Même les plus "conspirationnistes" ne peuvent nier que le port du masque n'enrichira aucune puissance occulte...
4) Que le virus soit plus petit que les mailles du masque ne dit évidemment pas que ces derniers ne servent à rien : les gouttelettes qui portent une bonne partie des agents pathogène sont arrêtées.
5) Oui, il y a d'autres maladies graves actuellement à l'oeuvre dans le monde. Et alors ? Que la seconde guerre mondiale ait été plus meurtrière que la première signifie-t-il que cette dernière soit anodine ?
6) Oui, nous pouvons - et c'est mon cas ! - avoir de nombreux griefs contre ce gouvernement et sa politique. Et alors ? En quoi cela nous autorise-t-il à mettre en danger la vie des plus fragiles ? Nous "entretuer" fragiliserait le pouvoir en place ?
7) J'ai souvent lu ces derniers jours que "bien respirer est essentiel à la santé". Certes. Bien boire aussi. Pour autant, quand l'eau de la marre est empoisonnée mieux vaut se retenir quelques minutes et aller à une source pure, non ?
8 ) N’y a-t-il pas une forme d’arrogance assez stupéfiante à penser que les experts n’ont rien compris et que des analyses ne reposant sur aucune compétence sont évidemment celles auxquelles donner crédit ? Comme si tout n’était qu’affaire de sondage, d’opinion et de choix personnel.
9) Refuser d'obéir aveuglément est sans doute une posture intéressante. Il y a tant de lois et de schèmes d'oppression à contester... Pourquoi manifester ce "courage" face à ce qui relève, justement, du soucis élémentaire de la santé d'autrui ? C'est un contresens radical.
10) Il n'y a aucune légitimité à craindre une "nouvelle normalité". De même que le confinement chez soi a été levé dès que possible (ralentir l'économie ne fait jamais les affaires de l'État), le port du masque (toujours terrifiant pour les forces de police) ne durera évidemment pas. L'émergence d'une société de contrôle assez terrifiante est possible et doit, à mon sens, être combattue. Mais, justement, c'est l'inverse qui a lieu ici !
11) Certains se vantent de n'avoir pas peur. Soit. La disposition psychologique de chacun est parfaitement légitime. Mais n'avoir pas peur des armes à feu n'autorise pas à tirer dans le tas. Tout est là.
12) Il n'y a vraiment rien de révolutionnaire ou de transgressif à nier les vérités médicales dans un geste d'égoïsme assumé qui prend la forme exacerbée de l'individualisme dominant du monde contemporain.
13) Et même si, de façon extrêmement improbable, le masque s'avérait essentiellement inutile, l'infime effort ne méritait-il pas d'être tenté ? Mettre en regard ce dérisoire inconfort (l'occident oublie si souvent les véritables maux de ce temps) face à la possibilité d'une vie sauvée ne clôt-il pas immédiatement le dilemme ?
14) Franchement, face à la souffrance des malades intubés, face aux 600 000 morts - ici et ailleurs -, le refus de l'infime effort dont il est ici question n'a-t-il pas quelque chose d'indécent ? Comme le symptôme de l'oublie définitif de tout soucis du bien commun.
Consommer la musique aujourd'hui...
lundi 20 juillet 2020
Action !
Cela ne veut pas dire que les livres ne sont pas précieux, ou que planifier n'est pas une manière intelligente de s'assurer que tout est en place ou encore que prévoir est inutile... Mais ils ne seraient et ne serviraient pas à grand chose si nous ne passions pas à l'action.
vendredi 17 juillet 2020
Le premier pas de toute relation...
jeudi 16 juillet 2020
Le meilleur qui nous entoure !
mercredi 15 juillet 2020
Le jeu de solitaire de Microsoft en un chiffre !
mardi 14 juillet 2020
Une infinité de mondes à visiter...
lundi 13 juillet 2020
Comprendre la violence verbale...
dimanche 12 juillet 2020
Une paire de Sneakers à 1255 euros !
samedi 11 juillet 2020
"Tu me siffles, je te crame"
vendredi 10 juillet 2020
Brique par brique, la confiance...
jeudi 9 juillet 2020
La patine du temps...
mercredi 8 juillet 2020
Dans un an, à compter d'aujourd'hui !
Si vous étiez dessinateur et que votre crayon était le plus affuté, vous seriez sûrement choisi pour travailler sur les dessins les plus fins, les plus détaillés… Vous bénéficieriez d'un avantage certain sur les autres, vos collègues...
Si la quasi totalité de ces collègues n'avaient que des Sharpy ou des Sign Pen pour travailler, cet avantage serait encore plus marqué ! Vous deviendrez une ressource rare. Bien sûr affûter votre crayon vous demanderait du temps et des efforts, mais le retour sur investissement serait formidable…
Il en est de même avec votre emploi actuel. Prendre le temps de développer des compétences uniques dans le domaine qui est le vôtre peut vous donner un avantage remarquable. Le prix à payer est connu : du travail et des efforts. Plus que n'en fournissent ceux qui vous entourent...
La plupart du temps, nous sommes tous trop occuper à nous fondre dans le lot, à faire corps, à nous conformer à ce que font les autres... Ce besoin d'appartenance nous endort et nous conduit à passer à côté de bien des opportunités. Comment faire la différence, comment être différent, quelle compétence acquérir en une année, deux années ou plus pour devenir celui qu'on remarque, dont on a besoin, qu'on regarde avec envie !?
mardi 7 juillet 2020
Encore des problèmes avec les derniers étages...
lundi 6 juillet 2020
Control - Pomme - Q
dimanche 5 juillet 2020
Baisser la barre...
samedi 4 juillet 2020
Solidaires
Je vis, par exemple, avec ma femme depuis près de 14 ans... pourtant notre histoire, comme toutes les histoires a connu son début et dans les premiers jours de ma relation avec celle qui est devenu mon épouse, parce que c'était moi, je fus pris d'une avalanche de doutes, à peine trois jours après notre première rencontre. Je ne me sentais pas emporté dans un océan de passion amoureuse, dans une cascade irrésistible d'un désir délirant... Je m'en suis confié à un collègue, une personne que je connaissais pourtant à peine, mais avec qui je faisais tous les jours le même trajet et en qui j'avais suffisamment confiance. Sa réponse fut : "Laisse-vous une chance, ça ne fait que trois jours ! (et je revois son rire !)... Si dans une semaine tu ressens toujours la même chose, il y a des chances pour que ce ne soit pas la bonne histoire..."
vendredi 3 juillet 2020
Pascal à la rescousse !
Puisque nous sommes ces histoires que nous gardons en nous-mêmes, il est intéressant de se dire que ces histoires peuvent être non seulement modifiées, mais qu'il est parfaitement possible d'en sélectionner certaines qui ajouteront à la personnalité que nous souhaitons. Les histoires de succès, de bonheur, de réussite... voilà ce que nous devrions raconter à propos de nous-mêmes... jusqu'à ce qu'elles constituent l'histoire dominante, jusqu'à ce qu'elles deviennent nous.