mercredi 31 juillet 2024
"Vers l'infini, et au delà !..."
mardi 30 juillet 2024
Tant de Tartuffes...
lundi 29 juillet 2024
Stations services...
vendredi 26 juillet 2024
La quête de soulagement...
jeudi 25 juillet 2024
Image de soi...
mercredi 24 juillet 2024
Habitudes et personnalité...
mardi 23 juillet 2024
Le T-shirt de Jeremy Allen White
lundi 22 juillet 2024
Dieu créa le Verbe...
vendredi 19 juillet 2024
Ne jamais reculer...
jeudi 18 juillet 2024
Les petits coachs...
mercredi 17 juillet 2024
Face à la peur...
Je ne connaîtrai pas la peur,
Car la peur tue l'esprit.
La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale.
J'affronterai ma peur.
Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien.
Rien que moi.
mardi 16 juillet 2024
Quand cela devient difficile...
lundi 15 juillet 2024
L'omelette et la routine
Existe un homme qui depuis quarante ans fabrique chaque soir la meilleure omelette qui soit. Une omelette roulée comme très peu de chefs savent en exécuter la recette avec excellence.
La question est de savoir si cet homme vit dans une routine dont il ne peut se défaire. Souffre-t-il de devoir ainsi faire et refaire chaque jour les mêmes gestes.
Et s'il ne souffre pas, comment cela s'explique-t-il ?
Il n'y a pas de routine quand il y a de l'amour. Il y a bien sûr l'amour du geste bien fait. La précision et la maîtrise. La satisfaction de savoir faire avec ce qui se rapproche de la perfection.
Mais, surtout l'amour de celui qui, aujourd'hui, va consommer cette omelette. Ce client, qui n'est pas celui d'hier, et qui n'est pas celui de demain, qui connaîtra ce moment d'extase au moment de goûter à ce travail.
C'est lui qui fait qu'aucune omelette n'est tout à fait la même, ni tout à fait différente. C'est lui qui enlève toute routine, pour en faire un acte d'intention quotidien.
Il n'y a pas de routine dans la répétition !
vendredi 12 juillet 2024
La mer n'existe pas !
L'une des grandes joies des inventeurs du plastique résidait dans le fait que ce matériau, entièrement chimique et totalement inconnu de la nature, était virtuellement indestructible ; pratiquement gratuit à produire, aussi longtemps qu'il y aurait du pétrole pour cela.
Aujourd'hui, cette indestructibilité est une malédiction. Tout ce que nous consommons dans ou avec du plastique restera d'une manière ou d'une autre sur Terre. Pour longtemps.
Ces bouteilles d'eau, ces bouteilles de soda, ces contenants de plats cuisinés. Rien ne disparaîtra.
La mauvaise nouvelle par-delà cette mauvaise nouvelle est que le recyclage ne marche pas.
Comprenez que des 8 milliards de tonnes de plastique produites par l'humanité ces vingt dernières années, 60 % ont fini dans nos déchets, sur lesquels 10 % ont été incinérés, 30 % sont toujours utilisés et seulement 6 % ont été recyclés pour un total de 1 % remis en circulation.
Le recyclage du plastique n'existe pas.
La mer, elle, existe...
jeudi 11 juillet 2024
Paresse : la fin de la lutte ?
mercredi 10 juillet 2024
Reconnaissance...
mardi 9 juillet 2024
Qui faut-il blâmer ?
lundi 8 juillet 2024
Sommes-nous vraiment en enfer ?
Il serait dommage de retourner en enfer de notre plein gré !
vendredi 5 juillet 2024
Agile
jeudi 4 juillet 2024
Pression
mercredi 3 juillet 2024
Râleurs...
Gâtés.
Lorsque cela se produit, il devient pour ainsi dire impossible d'apprécier ce qui est là et partir en quête de perfection semble devenir la bonne chose à faire.
Pire encore, cela mène à des crises de colère, des moments d'hystérie, parce qu'il n'y a pas assez, que rien n'est partagé avec équité, qu'il en est toujours qui profitent plus, s'amusent plus.
Plus notre société évolue et grandit, plus le nombre d'individus gâtés augmente. Cela devient un poison qui tue la magie de ce qui a créé autant de richesse et de facilité... qu'il devient si difficile de voir aujourd'hui, parce que gâtés...
Râler, se plaindre est un symptôme. Ce n'est sûrement pas une solution à tous nos problèmes !