Après des décennies du tout voiture, du tout "moteur"... ce changement est difficile, âpre, et soulève de nombreuses critiques. Pourquoi si vite, pourquoi si doucement, pourquoi là et pas là, pourquoi, pourquoi ?...
Le changement.
Pour la maire de Paris, la voie de la facilité serait de changer doucement, de protéger un certain status quo, de faire en sorte que tout le monde y trouve son compte et que doucement et lentement et calmement les automobilistes s'habituent à la lente, patiente, comptée diminution de l'espace qui leur était alloué.
Il est aisé de protéger le status quo, de remettre le changement à plus tard, juste un peu plus tard... et d'aller à petits pas.
Le changement est difficile. C'est pour cela qu'il s'appelle le changement.
Et parce que c'est difficile, les appels au status quo sont nombreux. Il faudrait laisser le temps, prendre le temps. Sauf que prendre le temps, ce n'est pas changer. C'est stagner.
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