vendredi 29 décembre 2017
Une seule mauvaise personne...
jeudi 28 décembre 2017
J'ai pas l'temps !
mercredi 27 décembre 2017
En haut de la piste...
Descendre une piste noire est risqué. Tout le monde le sait. Et parce que c'est risqué, cela fait peur. Alors nous avons tendance à vouloir limiter ce risque, à prendre des précautions, à vouloir vivre l'expérience par procuration, la vivre sans la vivre et nous dire que cela suffira bien...
La seule manière de vivre une expérience, c'est de la vivre...
mardi 26 décembre 2017
Beyonce...
Quelques minutes de face à face et la gorge se serre. Quelques minutes...
Imaginez Beyonce, 9 000 mouvements de danse à mémoriser, avec un degré de précision à la milliseconde ou cela ne marcherait pas, ce à quoi s'ajoutent les paroles de ses chansons, puis l'interprétation... Que se passe-t-il dans sa tête avant de rentrer sur scène ? Quel est l'intensité de son stress ? Comment se manifeste-t-il ? Pense-t-elle comme nous, de plus rien savoir, ne pas y arriver... Regrette-t-elle d'être là ?
Imaginez le pianiste solo au Royal Albert Hall et l'effet que produirait sur sa carrière la moindre fausse note, le moindre écart devant un public de connaisseurs avertis, attentif au moindre bémol, au plus petit défaut dans le "crescendo" du deuxième mouvement...
Pensez-vous que ces artistes soient si exceptionnels qu'ils ne ressentent pas le stress ? Qu'ils soient gratifiés d'un don, que leurs gènes ne sont pas les notres ?
Rien de tout cela, bien sûr... L'endurance à la pression et au stress se construit une répétition après l'autre. Pour Beyonce, un spectacle représente pas moins de 300 à 400 répétitions. Pour le pianiste, plusieurs milliers, notamment pour ce fameux deuxième mouvement... Des milliers...
Combien de fois avez-vous répété la présentation que vous vous apprêtez à donner ?!
vendredi 22 décembre 2017
C'est Noël, le temps de changer !
jeudi 21 décembre 2017
Notre combat quotidien...
mercredi 20 décembre 2017
mardi 19 décembre 2017
Le spécial !
Parfait !
lundi 18 décembre 2017
Quand faut-il tout risquer ?
vendredi 15 décembre 2017
Trop dur !
jeudi 14 décembre 2017
Demain et puis demain…
mercredi 13 décembre 2017
Nycthéméral
mardi 12 décembre 2017
Le pouvoir de dire Non
lundi 11 décembre 2017
La plus belle invention de l'Homme pour l'Homme...
Une machine qui lui donnerait le goût du savoir, une vaste quantité d'information qu'il pourrait alors substituer à sa quête de sagesse et de compréhension.
Une machine qui exigerait de lui du temps et de l'attention, mais dont il n'obtiendrait presque rien en retour, ce qui l'obligerait à investir encore plus de temps et d'énergie, et donc à s'oublier lui-même...
Si quelqu'un inventait cette machine qui libèrerait en grande partie l'Homme de sa misère et de sa condition, ce quelqu'un serait riche, à millions !
Cette machine a bien été inventée. Elle s'appelle "Internet".
Ce qui compte, ce qui a de la valeur, ce qui est beau demande, exige du travail.
vendredi 8 décembre 2017
De qui se MOOC-t-on ?
Ceux qui me connaissent ou m'ont déjà entendu parler sur le sujet connaissent mon scepticisme sur cet outil de formation et d'apprentissage.
Comme je ne déteste pas PowerPoint, en dépit de ma réputation ! (Je l'utilise !), il me sera dorénavant possible de dire de même avec les MOOC !
Les MOOC ne peuvent se substituer à une formation présentielle, parce que la plupart des apprentissages sont expérientiels. L'être humain a besoin, pour enregistrer quelque chose et le faire sien, de vivre, de ressentir, d'expérimenter... Cela s'inscrit alors en lui, dans son être, et l'apprentissage devient seconde nature.
En matière de prise de parole en public, c'est encore plus criant !
Les MOOC ne marchent pas comme le souhaiteraient ceux qui les commanditent. Vous pourrez prendre le problème par tous les bouts, tenter de faire entrer des ronds dans des carrés et exiger de vos collaborateurs qu'ils apprennent comme jamais un être humain ne l'a fait, cela ne changera rien au fait que l'être humain apprend d'une certaine manière et que cette manière n'inclut pas de passer des heures devant un écran !
Les processus d'apprentissage se sont développés en nous au fil de millions d'années d'évolution... et les écrans n'existent que depuis une petite centaine d'années !
Alors qu'est-ce qui fait un bon MOOC ?
Pour moi, il est court, rythmé et il donne envie d'aller à l'expérimentation.
Il est bref sur la théorie qui peut être trouvé sur un autre média.
Il est vivant et truffé d'interactions avec l'expert qui le donne...
Quel est l'utilité d'un MOOC ?
Il ouvre sur d'autres possibles, donne une idée de ce que pourrait être une formation plus longue sur le sujet. Il permet de toucher du doigt des principes fondamentaux et d'ouvrir sa conscience à ce qui existe sur le sujet.
Si un MOOC vous donne envie d'aller plus loin, de vous former, d'entrer dans une salle de formation où vous aller vivre quelque chose de nouveau et de risqué, alors c'est un bon MOOC !
Ajout au 30 mars 2018 :
Le Mooc est ici - Pour ceux que cela pourrait intéresser !!
jeudi 7 décembre 2017
Au sommet des montagnes...
Quel est le but de tout cela ?
C'est une question qui se pose...
S'il devait y avoir un sens pour nous, humains, quel serait-il ? Même s'il nous fallait le découvrir, le créer... Qu'est-ce qui peut nous donner le sentiment de faire, d'être, ce que nous sommes censés faire et être ?
Je n'ai pas de réponse.
Mais, j'ai mon idée...
Je pense que nous sommes attirés par la sagesse. Je pense que le but de tout ce cirque, est d'accéder à plus de sagesse, de compréhension, de recul.
Je pense aussi qu'existe une part de nous-même qui est cette sagesse incarnée. Nous portons tous en nous un Prince, un être supérieur, et ce qui caractérise ce Prince, c'est son immense sagesse.
Si nous aspirons à quelque chose qui est déjà en nous, cela ne veut pas dire que la partie est gagnée pour autant ! La sagesse, la conscience se gagnent par la nécessité de s'ouvrir à l'infini de ce que nous ne savons pas. Est sage pour moi celui qui voit à quel point nous sommes limités et petits, mais qui plutôt que de s'en sentir accablé, saisi ces limites, ces contraintes et les projettent en avant comme autant de bouées pour le futur, comme autant de phares pour éclairer l'obscurité qui nous entoure. Est sage celui qui sait l'immense ignorance dont nous sommes affligés et qui reste humble, parce que tout événement est la manifestation de quelque chose qui, sans doute, ne peut être compris aujourd'hui. La sagesse est la conscience de l'océan à laquelle s'ouvre un grain de sable.
Ou quelque chose comme ça...
mercredi 6 décembre 2017
Kintsugi
Puis il y eut un accident et la cassure, définitive. Mais ce bol connu une deuxième chance. Quelqu'un en recolla les morceaux. Avec de l'or.
Kintsugi.
L'art de réparer ce qui est cassé avec de mince filet d'or et de donner à ce qui n'était qu'un bol, une histoire, une identité. Un passé. Et les blessures se font fleuves, sentiers, uniques et merveilleux.
Ces fêlures, ces blessures, ces coups, ces morceaux... ce sont les nôtres et nous choisissons de quel métal recoller les morceaux.
Mais il est une chose certaine : qui aspirerait à rester immaculé, sans éraflure, sans blessure ?
Je ne peux parler de bol sans parler du travail fantastique et merveilleux de deux artistes céramistes que vous trouverez ici et ici, que je vénère et dont je vous recommande chaudement le travail et vous invite à soutenir !
mardi 5 décembre 2017
Tout ce temps parti en fumée !
lundi 4 décembre 2017
A la face de la mort...
vendredi 1 décembre 2017
Début de mois !
Nous sommes le 1er décembre, et comme à chaque début de mois, alors que je m'enfonce dans le métro, je suis sidéré de voir que la queue pour s'acquitter de l'abonnement du mois s'étend jusqu'à l'extérieur de la station, sur une bonne cinquantaine de mètres...
Une vie, c'est du temps... ce temps peut être divisé en parties plus petites, en paquets de temps d'une dizaine de minutes par exemple... Chaque journée est composé de 144 paquets de 10 minutes. Que faire de ces paquets ? Que faites-vous de chacun de ces paquets ?
Il est possible de suivre et de faire le décompte de ce que chacun de ces paquets de temps vous a rapporté, combien sont dédiés aux autres, à vous-même, à faire quelque chose qui va améliorer votre futur, combien furent dédiés à de l'amusement, de la procrastination ? Il est possible de savoir !
Pour moi, il est certain qu'avec un peu plus de cette conscience du caractère fini du nombre de paquets dont nous disposons dans une journée et donc dans une vie, la longueur des queues à l'entrée des métros aurait tendance à diminuer !
jeudi 30 novembre 2017
Leurre
La seule façon d'obtenir un résultat est de travailler. Cela vaut pour tous et toutes. Aucune exception.
C'est sans doute rassurant... mais alors pourquoi attendre de se mettre au travail ?!
mercredi 29 novembre 2017
La justice n'est pas de ce monde !
mardi 28 novembre 2017
Une autre gravité !
lundi 27 novembre 2017
Le grand vol !
Oui, ce n'est pas bien de voler…
Je suis d'accord. Voler, c'est laid. Voler un texte, voler une œuvre écritepar quelqu'un d'autre et se l'approprier sans le dire, c'est moche. Très moche. Disons que ça ne raconte pas quelque chose de sympathique concernant l'artiste qui s'y abandonne!
Cela dit : que dire de l'artiste qui vole ceux qui l'ont précédé… Que dire de l'influence ? Des idées qui doivent aller, évoluer, grandir ?
Si voler n'était pas voler ? Pas toujours ?
Et s'il fallait pour une part, se saisir de ce qu'ont fait les autres pour avancer plus vite, voir plus grand, se sentir pousser des ailes de géants… ailes que nous n'aurions pas pu construire seuls.
Ne naviguons-nous pas tous sur les épaules de ceux qui nous ont précédés ? d'autres plus avancés que nous, plus inspirés que nous… mais cela ne veut pas dire que nous n'avons pas droit à la parole.
Depuis que j'écris ce blog, je vole des idées partout où je le peux… Je vole Seth Godin, parcequ'il m'en a donné la permission ! Il n'est pas le seul que je dépouille ! Je me balade numériquement sur des dizaines d'autres blogs que je dévalise ; je rempli ma besace de milles idées qui ne sont pas les miennes, et qui viennent coaguler en moi et donner naissances à de nouvelles idées, de nouvelles sensations qui sont à la fois miennes et un peu ceux à qui je les ai subtilisées. Je vole des idées. Jamais je ne volerais une phrase ou un texte entier, parce qu'où serait le fun à faire une chose pareille, quel plaisir y trouverais-je ? Parce que ce serait moche. Parce que le mot "auteur" a une importance et que pour être auteur, il faut être l'inventeur de ce qui est écrit.
Mais une idée… Je lis le billet d'un autre et tout à coup, au fond de mon estomac, je sens une petite étincelle, une lumière : quelque chose qui fait sens pour moi vient de se réveiller. Je ressens une envie puissante d'en parler, de me l'approprier, de le partager, de le faire savoir et cette envie est bouleversante… Ce besoin de dire est enivrant… Je me jette sur mon clavier et rédige un billet jusqu'à ce que l'idée soit vidée, jusqu'à ce qu'elle ait donné tout son jus !
Le résultat, me semble-t-il est que les choses ont avancé. Qu'une idée vient d'être relayée et qu'elle en sort grandie. Ce n'est pas qu'elle fut exprimée de meilleure façon, mais elle a retrouvée une vie.
Vous qui lisez ce blog, je veux aussi que vous voliez les idées qui s'y trouvent. Lorsque vous parlez de ce que vous avez lu ici, inutile de citer vos sources, rien ne nous appartient vraiment de toutes façons… Volez ! Relayez ! Mes idées, (qui ne sont pas toutes les miennes !), demandent à continuer d'exister dans votre regard, dans votre voix,dans votre envie de devenir meilleur et de le faire savoir !
Voler (se saisir dubien d'autrui), c'est aussi voler (déployer ses ailes)… Cette similitude n'est-elle pas fascinante, d'ailleurs ?
vendredi 24 novembre 2017
Un bon coup de gueule !
Combien de fois nous nous abandonnons à ces facilités, à une communication à sens unique, peu productive, mais tellement libératoire ?
Hurler, crier, hausser la voix n'a jamais donné de résultat intéressant, que ce soit à court ou à long terme, il viendra forcément un moment où il faudra payer le prix de ce raccourci.
S'intéresser à l'autre, faire un pas vers lui, dépasser la colère ou le stress et travailler ensemble, c'est cela qui rapporte, c'est cela qui marche... même si une partie de vous-même commande cet abandon à la facilité de l'emportement.
jeudi 23 novembre 2017
Le prix de l'originalité...
Cette quête de l'originalité ne doit pas vous faire oublier tout ce qui a été fait, avant que vous n'interveniez, avant que vous ne penchiez sur le problème en question...
McKee dans son séminaire sur le storytelling fait référence à tous ces scénaristes qui se jettent sur des formes de narrations qui s'écartent, sans les maîtriser, des règles établies, des chemins taillés par des centaines d'autres écrivains... et qui échouent.
Ce n'est pas de respecter ou non la règle qui est important, c'est de la connaître.
Ce sont ces règles qui vous indiqueront jusqu'ou il est possible d'aller sans se fourvoyer...
Si vous êtes original par essence puisqu'il n'y a que vous qui ayez votre point de vue, vouloir forcer le trait, s'écarter de tout ce qui a été fait avant vous, n'est sans doute pas la meilleure idée que vous puissiez avoir si vous souhaitez que votre art, vos idées, vos ambitions soient entendues et respectées...
mercredi 22 novembre 2017
Peters et ses conséquences...
Tout le monde connaît le principe de Peter… "Chaque manager doit atteindre son niveau d'incompétence…".
Simple : lorsque vous faites du bon travail, il est probable que vous obteniez une promotion, ceci se renouvelant, vous finirez par atteindre une position dans laquelle vous n'avez pas les compétences nécessaires, et vous y resterez coincé, à moins d'apprendre, de vous développer, de prendre les risques et de commencer à accepter de faire ce que vous n'avez encore jamais fait pour élargir votre zone de compétence.
A moins de cela, le principe de Peter dont la plupart reconnaissent la véracité, nous indique que l'entreprise d'aujourd'hui est dirigée par une armée de managers tous incompétents.
Le taux de formation des dirigeants étant ce qu'il est, on peut se demander si cela n'est pas proche de la réalité !
mardi 21 novembre 2017
Cela commence par la tête !
Au hasard de mes pérégrinations, je rencontre ce jeune écrivain qui prend plaisir à éclairer l'histoire moderne à la lumière de l'Histoire... et de considérer notre président, Monsieur Macron, comme un digne descendant de Louis-Philippe...
Pour moi Louis-Philippe incarne cette volonté de faire ce qu'il faut, mais au fond d'en être incapable. Louis-Philippe donnait à voir une réelle ouverture vers le peuple de France, mais tous ses soutiens étaient issus de la bourgeoisie. Il commença son règne doté d'une réelle et sincère popularité, mais le termina on sait comment : il dut abdiquer, parce qu'il n'abandonna jamais sa vision monarchiste du pouvoir...
A chacun de juger et de jauger de ce qu'il adviendra de notre président... mais cela ne s'applique-t-il pas à d'autres présidents, d'autres dirigeants ?
Lorsqu'il y a une règle, une consigne, une nécessité, combien sont-ils à se l'appliquer à eux-mêmes, ces dirigeants dont nous parlons ici ?
Combien respectent ces directives contraignantes, ces économies de moyens qu'ils recommandent au reste de leurs équipes ?
Bien sûr, nous avons tous des représentations particulières de la façon dont les hommes de pouvoir devraient se comporter et un retour à la "normalité" comme le voulait notre ancien président, François Hollande, n'est sans doute pas la solution... Mais il demeure que si l'objectif est de voir ces règles respectées, ces consignes appliquées, ces économies réalisées, il ne serait pas inutile que ceux qui nous dirigent les respectent en premier. Sans doute la meilleure manière de s'assurer que ces règles seront appliquées par le plus grand nombre...
lundi 20 novembre 2017
Y a qu'à demander !...
Exemple : je visite en famille cette merveille qu'est la Grotte Chauvet. Sa réplique, il va de soi. La visite se termine et notre jeune et compétente guide interpelle la foule et demande : "Avez-vous des questions ?". Bien sûr, comme souvent : personne ne prend la parole. Personne n'ose s'avancer et poser une question alors que les mystères de cet endroit commanderaient d'en avoir quelques dizaines…
vendredi 17 novembre 2017
Vous et les autres !
L'affirmer ne servirait à rien, si je ne vous rappelais que vous êtes un être humain !
Que vous aussi prenez vos décisions sur des critères qui n'ont rien à voir avec la raison, la logique et le bon sens !
Si les autres semblent irrationnels, vous l'êtes aussi !
jeudi 16 novembre 2017
On entend que toi !
Je fais mes commentaires de ci de là dans la conversation... Puis ma compagne pointe le bout de son nez et me dit : "arrête de hurler ! on entend que toi !".
Et je réalise que cette décision de mettre le haut parleur change complètement la façon dont je parle, dont j'exprime mes idées. Mon client en face devait sans doute ressentir ce changement, mais nous sommes habitués aux formes et aux façons étranges d'interagir, parce que la technologie nous pousse à faire ce que nous ne ferions pas autrement...
Cette situation existe pour vous, lorsque vous passez un entretien sur Skype ou lorsque vous êtes en "conference call", comme c'est de plus en plus le cas...
Ma recommandation ici est la même que celle que je donne lorsque je parle de micro et de scène. "Ne parlez pas pour le micro !". Le micro est là pour faire un travail bien spécifique, qui est de prendre votre voix et de l'amplifier pour ceux qui pourraient avoir du mal à l'entendre... Parler pour le micro et vous transformez inutilement votre voix et le micro va amplifier ce ton de voix différent, cette façon de vous tenir différente aura aussi un effet sur la façon dont vos mots vont parvenir à ceux qui vous écoutent. On ne crie pas comme on parle !
Conclusion, que ce soit sur scène avec un micro, que ce soit en salle de réunion autour d'un haut-parleur, ignorez le micro, parlez normalement, comme si la personne était face à vous. Si le volume n'est pas suffisant, augmentez le volume du micro, pas le vôtre !
mercredi 15 novembre 2017
Dessus ou dessous
mardi 14 novembre 2017
Cette fraction de seconde...
Vous allez parler…
Maintenant !
lundi 13 novembre 2017
Du bon son !
vendredi 10 novembre 2017
Yù Yï
La langue chinoise dispose d'un mot totalement étranger à la langue française, plus façonnée dans le rationnel et attirée par une représentation de la réalité du monde et moins de nos émotions…
En chinois, le mot Yù Yï évoque le désir inconsolable que nous avons de ressentir avec toute l'intensité de notre enfance.
Si ce mot existe dans une langue qui s'intéresse sans doute d'un peu plus près à ce que nous sommes profondément, c'est que ce désir, ce besoin d'intensité retrouvée existe en chacun d’entre nous.
Je voulais simplement le rappeler…
jeudi 9 novembre 2017
De 13 à 4312
Lors de l’un de mes cours de marketing il y a maintenant quelques années, j’ai appris qu’un client insatisfait parvenait à contacter et à parler de son expérience négative à 13 personnes…
13
Aujourd’hui, comptez plutôt 4312…
C’est le nombre de personnes qui ont lu un commentaire rédigé sur TripAdvisor après une expérience particulièrement négative dans une grande enseigne de vacances au Maroc.
4312
Internet démultiplie les potentiels, dans un sens comme dans l'autre… Il n'a jamais été aussi facile de faire ou de défaire une carrière, un projet, une entreprise.
mercredi 8 novembre 2017
TTU, Extrêmement important, à lire toutes affaires cessantes. Ce billet va changer votre vie !
mardi 7 novembre 2017
Petit héros du quotidien...
Il passe à ma hauteur et je lui lance, d'une traite "Vous avez 80% de chance d'être percuté par une voiture si vous continuez de courir là !"... Le gars est un "runner". Il ne s'arrête pas. Il se retourne brièvement. Continue sa course. 100 mètres plus loin, il bifurque légèrement et rejoint le trottoir. En sécurité.
Et moi, je me dis que je viens peut-être de sauver une vie.
Vous devriez essayer !
Pour ceux qui se demandent d'où vient ce chiffre de 80%, il ne me vient pas de statistique faites sur la voie des bus, mais sur la bande d'arrêt d'urgence d'une autoroute. J'ai considéré que cela devait s'appliquer ici, en toute logique !
lundi 6 novembre 2017
Et si Maman et Papa nous foutaient la paix !
vendredi 3 novembre 2017
Avec constance...
jeudi 2 novembre 2017
Lost in Comparison
mardi 31 octobre 2017
Les cordes du succès
Il est possible que ce sur quoi vous travaillez n'intéresse personne. Que votre art n'attire pas les regards. Cela ne le rend pas moins important pour autant ; aussi longtemps que ce travail vous place dans l'inconfort, le risque et la profonde originalité de qui vous êtes et de ce que vous pensez du monde.
Il est aussi possible que vous soyez reconnu dans votre domaine. On vous sollicite. Cette popularité ne rend pas votre travail plus important qu'il ne l'était avant cette reconnaissance, mais il a trouvé un écho auprès de certains et ceux-ci continueront de vous donner leur attention. Ils aiment et sans doute aimeront ce que vous faites. Vous avez ce qu'on appelle "une fan base"…
Il est enfin possible que vous fassiez le buzz. Que votre travail explose les compteurs. C'est une sensation qui doit être étrange ! Ils ne peuvent s'empêcher de parler de vous et de ce que vous avez fait, écrit, crée…
Enfin, il est possible que les trois phénomènes se produisent simultanément. Que votre art soit à la fois important, populaire et viral. C'est le succès. C'est le Graal.
Si cela devait vous arriver, et je vous le souhaite, tant mieux !
Pour la plupart d'entre nous, ce ne sera que l'un des trois.
A l'évidence, vous aurez la possibilité d'en viser un plus que les autres !
lundi 30 octobre 2017
Au juste moment...
vendredi 27 octobre 2017
Où commence le harcèlement ?
Il n'y a pas de réponse toute faite à cela et vouloir y répondre de manière générale et pour tout le monde n'a pas vraiment de sens.
Le harcèlement commence lorsque la personne avec qui vous êtes en interaction vous signifie que sa limite est dépassée. C'est tout et c'est ainsi.
Si vous faites une blague un peu lourde, c'est votre droit... Mais si la personne à qui cette blague est adressée se sent offensée et vous le signifie, et que vous décidez d'insister, votre comportement est celui d'un harceleur.
La même blague avec une autre personne ne poserait sans doute pas de problème, mais cela n'a pas d'importance, ce sont les limites de la personne qui pose la limite du harcèlement.
Cette problématique est en fait une problématique du respect que nous nous accordons les uns les autres, mais aussi, celle du respect que nous nous accordons à nous-mêmes, lorsque nous nous retrouvons dans de telles situations...
jeudi 26 octobre 2017
Balanceton...
Dire que je pourrais encore être dans cette entreprise aujourd'hui !
Les harceleurs n'ont de pouvoir sur nous que si nous le leur permettons.
mercredi 25 octobre 2017
A qui profite le crime ?
mardi 24 octobre 2017
La constante cosmologique...
lundi 23 octobre 2017
Culture Physiques !
vendredi 20 octobre 2017
Il est urgent d'attendre !
jeudi 19 octobre 2017
70 ans et pour quoi ?
Admettons...
Voilà deux peuples qui se chamaillent depuis plus de 70 ans sur la question de savoir qui étaient là en premier, fouillent dans le désert à la recherche d'ossements, de traces qui en apporterait la preuve, ne parviennent pas à s'entendre en dépit d'efforts désespérés de la communauté internationale, gaspillent l'argent, la sueur et la créativité de milliers d'individus extérieurs au conflit, restent campés sur leurs positions en dépit des enseignements et de l'invitation de leurs religions et du plus évident bon sens à traiter l'Autre avec respect et bienveillance...
Cette réflexion politique parce qu'il est dit, en psychologie et en science de la communication, que lorsque la situation est bloquée, jusqu'à l'absurde, c'est à la partie capable du plus de souplesse, capable du plus d'intelligence émotionnelle de s'adapter et de permettre à la situation d'évoluer, comme il en serait d'un adulte avec un enfant...
Quelle est ici la partie la plus souple, la plus riche et la plus intelligente ? C'est à chacun de se faire son opinion...
Quoiqu'il en soit, les générations futures auront peut-être sur ce triste spectacle un regard bienveillant et plein de compréhension.
mercredi 18 octobre 2017
52 minutes ? Mon oeil !
"Les cadres décrochent au bout de 52 minutes de réunion en moyenne, alors que celles-ci durent en général une demi-heure de plus, indique un sondage Ifop rendu public mardi. Selon l'enquête, 92% des cadres participent régulièrement à des réunions, avec en moyenne 3 rendez-vous par semaine. Et chaque rencontre dure 1h19 en moyenne."
Après une capacité d'attention de 18 mn, souvenez-vous, voici que celle-ci passe à 52 minutes d'après une toute aussi sérieuse enquête IFOP, somptueusement illustrée :
La capacité de concentration d'un cadre, lorsqu'il a affaire à des interventions, des présentations et des prises de paroles rasoires, grises, ternes, ennuyeuses, comme le sont l'immense majorité des prises de paroles en entreprises n'est pas de 52 minutes. Je la placerais plutôt à 25% des 1h19 que durent en moyenne les réunions, soit environ 20 minutes. C'est le chiffre que donne ma propre étude, après avoir posé la question à des centaines et des centaines d'individus. La plupart d'entre eux reconnaissent décrocher après 25% de la présentation.
Mais la vraie folie n'est pas dans ces chiffres, elle est dans le fait que ceux-ci étaient exactement les mêmes il y a près de 15 ans lorsque j'ai commencé à former des gens à la prise de parole
mardi 17 octobre 2017
Puisqu'il est évident que les voitures rouges vont vite !
On dit alors que les noirs courent vite.
Plus vite que ceux dont la peau est blanche.
Bien sûr, on ne le dit pas, parce que ce serait un propos raciste, mais on le pense.
Tout d'abord, dire que les noirs courent vite parce que tous les vainqueurs du sprint sont noirs reviendrait à considérer que les blancs sont de bons skieurs, puisque tous les skieurs sont blancs. Ce qui est absurde : la neige ne fait que tomber sur des territoires où la majorité est à peau blanche et ceci explique cela.
D'autre part, où trouve-t-on le plus d'hommes dont la peau est noire sur terre ? En Afrique ! Et combien d'Africains, originaires d'Afrique ont remporté la finale du 100 mètres sur les 121 dernières années ?
Aucun !
(Je ne tiens évidemment pas compte de Reggie Walker, sprinter blanc vainqueur en 1908, représentant l'Afrique du Sud raciste du début du siècle.)
S'il suffisait d'être noir, au moins un africain serait parvenu en finale et fini par l'emporter ! Ils sont à peine deux à avoir fini dans les trois premières places, dont un naturalisé Portugais, depuis 1896...
La couleur de la peau n'influence pas les performances sportives des athlètes, comme d'avoir une voiture rouge n'influence pas les performances du moteur.
(Démonstration faite avec des hommes... mais qui pourrait tout autant être faite avec des femmes et avec encore plus de poids, puisqu'aucune athlète féminine originaire d'Afrique n'a fini la course dans les trois premières depuis l'année 1896 !)
lundi 16 octobre 2017
L'écoute...
Ecouter, c'est reconnaître que son opinion compte et que cette opinion pourrait bien modifier la vôtre.
Il y a plusieurs façons d'écouter.
Avec la tête : les arguments, l'information, le rationnel.
Avec le coeur : les émotions, les ressentis.
Et puis il y a cette troisième écoute, celle qui part d'on ne sait où, des tripes, de l'intérieur... Celle qui nous invite à écouter l'autre depuis ce que nous avons de plus bienveillant, de plus amoureux, de plus respectueux. Cet endroit de nous-même où tout est simple et lumineux, dense et léger, facile et complexe... Cet endroit mêlé d'enfance et d'histoire passée... Ce lieu de nous-même où notre personnalité se fait quantique ! (Nous savons que c'est là, mais impossible de l'expliquer !...)
Écouter l'autre depuis cet endroit peut créer des miracles. Il nous donne d'envisager le monde par d'autres sens que ceux habituels, de voir la vie sans opposition, sans comparaison. D'être connecté à une partie de nous-même qui nous dépasse en tout et dans laquelle il est possible de se fondre sans avoir pourtant la moindre idée de ce dont il s'agit et d'où nous viennent ces intuitions, cette compréhension et pour finir cette compassion.
C'est une expérience.
Une façon de faire... pour mieux être...
Pas la plus commune dans le monde professionnel.
(Notez que je ne parle pas d'écoute active ! Selon moi, si l'écoute n'est pas active, elle n'est pas. Ne pas écouter activement, c'est ne pas écouter du tout !!)