C’est faux.
En réalité, nous sommes rarement jaloux d’une personne entière.
Nous sommes jaloux d’un fragment de sa vie, d’une facette précise, d’un talent particulier :
sa maison baignée de lumière, son jardin où tout pousse sans effort, son aisance sociale, son aplomb en réunion…
Ou, par exemple, dans mon cas, la capacité de Justin Vernon à faire naître des mélodies qui me retourne l’âme en deux accords.
La jalousie, vue sous cet angle, cesse d’être un défaut honteux.
Elle devient un indice, un signal sur nos tableaux de bord intérieur :
“Regarde ici. C’est quelque chose que tu veux développer.”
La jalousie que j’éprouve me dit simplement :
Travaille ton art, ta musique, ta capacité à créer quelque chose d’unique.
Pour vous, ce sera peut-être votre créativité, votre voix, vos compétences, votre manière d’habiter votre vie. Peu importe.
Ce qui compte, c’est ceci :
La jalousie n’est pas un poison, c’est une boussole.
Elle pointe vers une ambition personnelle, parfois enfouie, parfois ignorée.
Il ne reste plus qu’à marcher dans cette direction.
Pas pour “rattraper” l’autre, mais pour devenir un peu plus nous-même.
La jalousie que j’éprouve me dit simplement :
Travaille ton art, ta musique, ta capacité à créer quelque chose d’unique.
Pour vous, ce sera peut-être votre créativité, votre voix, vos compétences, votre manière d’habiter votre vie. Peu importe.
Ce qui compte, c’est ceci :
La jalousie n’est pas un poison, c’est une boussole.
Elle pointe vers une ambition personnelle, parfois enfouie, parfois ignorée.
Il ne reste plus qu’à marcher dans cette direction.
Pas pour “rattraper” l’autre, mais pour devenir un peu plus nous-même.
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