vendredi 29 mars 2024
Le pourquoi
jeudi 28 mars 2024
Obsession !
mercredi 27 mars 2024
Tourner sa langue...
mardi 26 mars 2024
Cette arrogance nécessaire...
lundi 25 mars 2024
Toutes nos super stars...
"We are the world". 1986. Cette chanson a une histoire. Celle du rassemblement des plus grandes stars du moment pour une nuit dans l’espoir de renouveler l’exploit de Bob Geldof et de son concert mythique « Live Aid ». Cette histoire est captivante à plus d'un titre. Netflix a su capturer l’essence de cet événement dans un documentaire qui nous en dévoile les coulisses.
Une nuit plongée dans l'intimité des superstars qui ont bercé mon adolescence. Les Michael Jackson, les Huey Lewis, les Bob Dylan, les Lionel Richie et les Tina Turner... Ce documentaire est particulièrement fascinant pour un musicien, révélant toute la complexité qu’il y a à vouloir capturer trois minutes de magie musicale. Il met aussi en lumière combien le syndrome de l'imposteur est omniprésent, partagé par tous les artistes.
Il faut voir Huey Lewis, confessant à quel point ses jambes tremblaient, submergé par l'insécurité. Observer les luttes d'ego, comme celle de Waylon Jennings, figure de proue de la country outre-Atlantique, quittant la salle, refusant de chanter en swahili à l’invitation de Stevie Wonder, se sentant marginalisé. Bob Dylan, l’immense Bob Dylan, timide, effacé, luttant pour trouver sa place, jusqu’à ce que Stevie Wonder et Quincy Jones le rassurent sur ses capacités. Bob Dylan, le lauréat du prix Nobel de littérature, l’auteur de "Knockin' on Heaven's Door", ce même Bob Dylan !
Certains, rongés par le doute, ont même choisi de ne pas participer.
Parmi la cacophonie, seuls Diana Ross, Stevie Wonder et Quincy Jones semblent à leur aise et naviguer dans leurs éléments. Les autres luttent avec leurs démons internes, se demandent s'ils méritent vraiment leur place, craignant que le monde découvre ces failles qu’ils ont cachées depuis tout ce temps.
Il est facile de croire que, lorsque le monde nous renvoie une image valorisante, que le succès et la fortune sont notre, soutenus par l’adulation de millions, nous serons alors enfin prêts à nous détendre et à offrir notre meilleur.
Le syndrome de l'imposteur est intrinsèquement lié à notre quête perpétuelle d’excellence. Nous restons aveugles aux implications de ce que signifie vraiment d'être au sommet.
Avec cette perspective en tête, pourquoi ne pas simplement se lancer, faire le nécessaire et savourer l'instant présent… et pourquoi pas : chanter en swahili !
vendredi 22 mars 2024
Un petit "Icebreaker" pour tuer l'ambiance ?
jeudi 21 mars 2024
L'IA nous parle : "Dépasser le Talent : L'Alchimie du Succès"
Dans un univers où les récits de prodiges naturels abondent, il est facile de tomber sous le charme de l'idée séduisante selon laquelle le talent brut est le seul précurseur du succès. De Vinci, Mozart, Serena Williams – des noms synonymes de génie dans leurs sphères respectives. Mais réduire leur succès à un simple don naturel serait non seulement réducteur, mais également une méprise sur la nature du progrès et de l'excellence humaine.
Le mythe du talent inné, infaillible et autosuffisant persiste, créant une fausse dichotomie entre don naturel et travail acharné. La réalité, cependant, est bien plus nuancée et inspirante. Le talent, bien qu'un facteur significatif, n'est souvent que le point de départ d'un voyage beaucoup plus complexe et exigeant vers la maîtrise et le succès.
La véritable alchimie du succès réside dans la fusion du talent avec un engagement inébranlable envers le travail acharné, la discipline, la persévérance et une insatiable quête d'amélioration. Cette synergie transforme le potentiel brut en compétences affinées, en innovations révolutionnaires et en performances époustouflantes.
Le travail acharné est l'architecte qui bâtit sur le fondement du talent. Il sculpte, affine et améliore, transformant la capacité brute en compétence, en art et en réalisation. Le travail incarne l'endurance face aux échecs, la résilience contre les revers et la détermination dans la poursuite des objectifs. Loin d'être un fardeau, le travail acharné est une célébration de la capacité humaine à se transformer et à transcender ses limites.
Dans cette odyssée vers l'excellence, la discipline joue le rôle de boussole, guidant avec constance et régularité. La discipline forge des habitudes qui mènent à l'accomplissement, transformant les aspirations en réalités tangibles. Elle enseigne la valeur de la structure, de l'ordre et du dévouement dans la quête d'objectifs ambitieux.
La persévérance, quant à elle, est le phare dans la tempête, permettant de naviguer à travers les défis, les doutes et les échecs inévitables. Elle est le cri de guerre qui nous pousse à nous relever, à apprendre de nos erreurs et à continuer d'avancer avec une foi inébranlable en nos visions et en nous-mêmes.
La curiosité, l'éternelle quête de connaissance et d'expérience, est le moteur de l'innovation et de la croissance personnelle. Elle nous incite à explorer, à expérimenter et à apprendre sans cesse, élargissant ainsi notre compréhension et notre maîtrise de nos domaines d'intérêt.
Et enfin, le mentorat, qui sert de pont entre les générations, offrant sagesse, guidance et inspiration. Un mentor peut illuminer le chemin, partager des leçons vitales et accélérer le voyage vers la compétence et la réalisation.
En somme, si le talent est le point de départ, le véritable voyage vers le succès est une œuvre collective – une symphonie de travail acharné, de discipline, de persévérance, de curiosité et de mentorat. Ce n'est qu'en embrassant et en cultivant ces éléments que l'on peut espérer transformer le talent brut en accomplissements remarquables et durables. Le talent peut allumer l'étincelle, mais c'est le travail, avec toutes ses nuances et ses défis, qui forge la flamme du succès.
Ce billet a été rédigé par trois IA mises en compétition (Mistral, Gemini et ChatPT4) à l'aide d'un guide de style calqué sur trois de mes billets précédents et rédigé par Mistral.
La dernière version vient de ChatGPT 4 (version payante de ChatGPT).
Prompt de base : "Rédige un billet sur les notions de talent et de travail."
Qu'en pensez-vous ?
mercredi 20 mars 2024
HEEHA
mardi 19 mars 2024
À la limite...
lundi 18 mars 2024
Aspirés ou inspirés !
Dans l'armée de l'air, il est interdit de porter son calot ou n'importe quel couvre-chef sur les pistes. Pour une raison fort simple, ce calot pourrait être aspiré par les turbines d'un aéronef et endommager gravement son moteur.
En matière de communication, ce ne sont pas des calots que je vois absorbés par le système, mais des personnes entières et leurs potentiels !
Ce système tel qu'il fonctionne aujourd'hui s'agissant de communication, de présentation, de temps de parole passé devant un auditoire, que ce soit face à face ou devant une foule, est un système tourné vers la médiocrité. Les réunions auxquelles vous avez l'habitude d'assister sont médiocres. Les orateurs que vous côtoyez durant vos journées de travail sont médiocres. Les résultats que ces réunions ou ces orateurs permettent d'obtenir sont médiocres.
Médiocre. Médiocre. Médiocre.
Cela continue pourtant et depuis des années. Rien ne change.
Au fil du temps, cela crée un trou noir de médiocrité. Une boule dense, opaque, visqueuse de nullité interpersonnelle, d'inefficacité inter relationnelle dont le pouvoir d'attraction et de gravité gagne un peu plus chaque jour. C'est cette gravité qui vous attire, vous englobe, vous empêche de vous révéler à vous-même ! Votre lumière, votre talent, votre désir sont aspirés dans ce trou noir et désespérant dont la force gravitationnelle semble irrésistible.
La bonne nouvelle, c'est que ce n'est pas une fatalité ! Il existe une force anti-gravitaire qui pourrait vous permettre de sortir de ce système fait de façons de faire absurdes et d'inefficacité tolérée.
Vous méritez tout de même mieux que toute cette médiocrité.
Non ?
vendredi 15 mars 2024
Mauvais goût ?
Bien sûr, certaines façons de faire sont inacceptables et tout simplement mauvaises.
La plupart du temps, cela relève de la loi, du règlement intérieur, du cadre.
Pour tout le reste, ce que vous voyez n'est pas mauvais en soi, ce n'est tout simplement pas de votre goût.
jeudi 14 mars 2024
Prendre la parole et ce qu'il faut travailler...
Pour progresser dans votre communication et vos prises de paroles, il serait tentant de penser que votre priorité est de travailler votre langage corporel et votre voix et ses intonations.
Il n'en est rien.
Votre langage corporel et les intonations de votre voix vont s'améliorer dramatiquement si vous travaillez votre connaissance de votre auditoire. Si vous envisagez toutes vos prises de paroles comme un acte de communion avec autrui.
La plupart des orateurs en herbe sont totalement concentrés sur eux-mêmes, sur ce qu'ils donnent à voir, sur leur stress, leurs supports, leurs compétences, leurs connaissances : moi, moi, moi, moi !
Une bonne prise de parole, c'est justement renoncer à l'ego et se concentrer sur votre public.
Pourquoi sont-ils là, quels sont leurs problèmes que je vais pouvoir résoudre, leur statu quo que je vais pouvoir améliorer, leurs préoccupations que je vais pouvoir lever ?
Une bonne prise de parole commence par comprendre que personne ne se soucie de ce que vous avez envie de dire et de tout ce que vous savez ! Tout ce qui compte, c'est ce qu'ils sont venus chercher auprès de vous et la manière dont vous allez leur rendre ce service !
Si à la fin de votre temps de parole, votre auditoire vous regarde avec reconnaissance parce que vous leur avez apporté quelque chose qui méritait le temps passé à vous écouter, alors c'est que vous avez fait une bonne présentation !
Cela ne nécessite ni un langage corporel particulier, ni des intonations de voix extraordinaires ! C'est un bonus, un plus, mais rien d'essentiel à vos futurs succès d'orateur.
mercredi 13 mars 2024
Un bon moment pour se taire !
Réflexion d'un stagiaire en cours de formation :
« Je pense tout de même qu'il est inutile d'apprendre par cœur son script, cela me ferait passer pour une personne inauthentique et je trouve que cela sonnerait trop peu naturel… »
Ma réponse :
« Peu m'importe ! »
Deux réflexions. Non pas tant autour de la nécessité d'apprendre ou de ne pas apprendre votre script lorsque vous prenez la parole en public, cela n'est au bout du compte pas si important que cela. Ce qui l'est plus, c'est la posture de l'apprenant ! Quelle est la bonne posture lorsque vous voilà en situation d'apprendre quelque chose de nouveau.
La première :
Faites confiance au processus qui vous est proposé. En d'autres termes : restez ouvert ! Si vous vous mettez en résistance, cela vient de ce que vous savez déjà et que vous refusez encore de remettre en question. Lâchez ce que vous savez pour la durée de la formation et ouvrez-vous à de nouvelles manières de faire. À moins de cela, vous n'apprendrez rien. Vous n'êtes pas là pour confirmer ce que vous savez déjà, ou ce que vous pensez savoir !
La seconde :
Au moment de la réflexion ci-dessus, le training devait en être à la fin de sa première heure. Si l'on met bout à bout les moments durant lesquels je parlais, les moments durant lesquels les autres stagiaires se sont présentés, etc. Il est raisonnable d'estimer que la durée de réflexion prise par cette personne pour parvenir à sa conclusion se chiffre en minutes.
Je réfléchis à la problématique de la prise de parole et de l'efficacité relationnelle depuis plus de 15 ans. Tous les jours. C'est ma passion. C'est ma mission. J'y pense chaque jour, plusieurs heures.
Et donc, il convient de mettre en regard ces heures de réflexion et ces quelques minutes d'intérêt sur le sujet. Ce n'est pas que je sois meilleur ou plus intelligent, c'est que j'y ai réfléchi bien plus longtemps. Pour cette raison, il peut être intéressant d'écouter ce que j'ai à dire ! À la fin de la journée, ce sera toujours à vous de décider ce que vous gardez et ce que vous laissez ! Une formation, même si elle est obligatoire, ne peut vous contraindre à changer vos comportements, à moins que vous ne le désiriez.
De plus, il est impossible de tout savoir et lorsque nous nous exprimons sur un nouveau sujet, ce n'est pas un savoir que nous donnons à entendre, mais une opinion. Si notre opinion n'est pas totalement sans intérêt, elle n'est jamais qu'une opinion et tout le monde a une opinion sur tous les sujets !
mardi 12 mars 2024
Vous n'avez pas besoin de progresser...
lundi 11 mars 2024
Où habitez-vous ?
vendredi 8 mars 2024
Quelle est le but
Ne faites rien sans savoir pourquoi vous le faites.
Parler, vous mettre en colère, faire une sieste...
Quel est le but ? quelle est la mission ?
jeudi 7 mars 2024
D'autres, en face...
La plupart d'entre nous souhaitons avoir un impact lorsque nous présentons nos arguments. Nous sommes là pour que quelque chose se passe. Que quelque chose change.
La plupart du temps, il faut le reconnaître, il ne se passe rien.
Quelqu'un parle. D'autres en face écoutent puis décrochent ou font semblant d'écouter.
Cela se termine. Chacun retourne à ses occupations sans qu'il soit possible de constater de grands changements, un peu de désir supplémentaire, la possibilité de voir les choses autrement.
Personne ne se souviendra de ces moments et comme personne ne s'en souviendra, c'est comme s'ils n'avaient jamais existé. Les voilà perdus dans les limbes du temps. Dans le fil des jours. Anonymes.
Il est possible que cela se passe autrement. Il est possible de rendre vos temps de parole mémorables.
Cela commence par reconnaître qu'il est fort peu probable qu'ils se souviennent un jour de vos slides. Il est en revanche certain qu'ils se souviendront de votre bienveillance, de votre générosité, de votre écoute, de votre regard sur eux et sur le monde, de votre intérêt à les voir grandir.
mercredi 6 mars 2024
Pour quoi la science, si nous sommes ce que nous sommes ?
« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point »
Nous le savons depuis Blaise Pascal et ses Pensées, dont est extraite cette citation : l'être humain n'agit pas selon la logique, le sens, la réalité ou les faits. Notre espèce agit, décide et évolue en fonction de ce que lui dicte son cœur. Ses émotions, son éducation, sa culture.
Nous sommes des êtres de croyances. Nous ne sommes pas des Spock de la série Star Trek, venu de la planète Vulcain et parfaitement logiques et en prise avec ce que les faits ont à nous enseigner.
Pour palier à ce « problème », nous avons inventé la Science. Seule la science nous indique ce qui est réel, ce qui est vrai, ce qui est factuel.
Encore faut-il l'écouter !
Mais, il faut aussi se rassurer, la science est là. Dans son coin. Qui veille.
Cela ne fut pas toujours le cas.
mardi 5 mars 2024
Bon vent...
lundi 4 mars 2024
Par où commence le leadership
Leadership.
Qu'est-ce que c'est ?
Poutine,Trump, Netanyahu sont-ils des leaders, au sens ou nous entendons ce mot ?
Ils dirigent certes, mais peut-on dire que ce sont des leaders ?
À l'évidence, la réponse à cette question est non. Ni Poutine, ni tous ces dictateurs dont notre histoire est si tristement chargée ne sont de véritables leaders.
Car le leadership, le vrai, commence avec la vérité. Avec l'honnêteté et l'authenticité.
À moins de cela, ce n'est plus de leadership dont il est question, mais d'avidité et de mauvaise utilisation du pouvoir. Ce qui est rien moins que dégueulasse.